La cure d’herbe de blé, de l’énergie solaire à l’état pur

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cure de jus d'herbe de blé

Bien avant l’ère chrétienne, les Esséniens bâtirent les principes fondamentaux de l’alimentation vivante et de leur secret de longévité.

Plus de deux mille ans après, différents spécialistes revisitèrent scientifiquement l’importance fondamentale de l’apport en chlorophylle, aussi appelée « sang des plantes », que ce type de nourriture fournit.

Or, s’il est un super aliment recelant plus que tout autre cette précieuse chlorophylle, c’est sans conteste le jus d’herbe de blé…

Les Esséniens et l’alimentation vivante

« Sur notre planète rien ne représente plus parfaitement cet océan cosmique de vie éternelle que l’herbe qui pousse depuis cinquante millions d’années… en la touchant, nous touchons l’infini. » écrit E. Bordeaux Szekely dans sa traduction quelque peu romancée de « L’Evangile essénien de la paix », qui rappelons-le tout de même a été en partie extrait des archives du Vatican et répertorié comme appartenant aux manuscrits retrouvés dans les grottes de la Mer Morte.

Cette conception du monde pourrait peut-être expliquer pourquoi et comment les Esséniens réussissaient, selon les anthropologues, à vivre au-delà de cent vingt ans.

Parce qu’en plus d’un jour de jeûne par semaine et d’une hygiène évitant soigneusement toute forme de gloutonnerie, ils prônaient de toute évidence une alimentation vivante et solaire.

Alimentation solaire directement issue de la photosynthèse que permet le soleil, ni transformée ni cuite de quelque manière que ce soit.

S’appuyant sur une philosophie simple et pleine de bon sens, ils réussirent en tout cas à éviter les affections de leur époque en vivant principalement d’une diététique faisant maintenant fureur un peu partout dans le monde en tant que raw food, signifiant littéralement « alimentation crue ».

Les Esséniens se seraient par exemple interdit de « manger ce que le feu, le froid, ou l’eau ont transformé. Car les aliments cuits, gelés ou avariés brûlent, refroidissent et empoisonnent », tout en précisant « aussi, ne soyez pas comme le laboureur insensé qui sèmerait sur sa terre des graines cuites, gelées ou gâtées ».

Offrant volontiers paradis et longue vie aux crudivores, la vision de ces Esséniens prônant la paix a spontanément été partagée par quantité de médecins modernes cherchant désespérément une issue aux maladies de civilisation.

La découverte des bienfaits de l’alimentation vivante par le Docteur GersonMax Gerson Alimentation vivante

C’est au début du vingtième siècle que le Docteur polonais Max Gerson apprécia à son tour l’importance de l’alimentation vivante, en se guérissant d’un mal alors considéré comme incurable : le lupus.

Découvrant ensuite qu’elle était souveraine pour reconstituer la force vitale de l’organisme dans son ensemble, il l’adapta progressivement à toutes sortes de troubles physiques et mentaux.

Mais c’est en 1928 qu’il devint célèbre pour avoir guéri de la tuberculose la femme d’un de ses éminents collègues, le Docteur Albert Schweitzer.

Puis par un heureux concours de circonstances, il guérit le Docteur Schweitzer lui-même d’une forme de diabète insulino-dépendant qu’aujourd’hui encore la médecine moderne ne sait toujours pas résoudre.

Encouragé par ces franches réussites, le Docteur Gerson entreprit d’étudier plus en détail comment ce type d’alimentation faisait tant de miracles.

Il comprit entre autres qu’en plus de renforcer indéniablement le système immunitaire, c’est par l’amélioration de la respiration cellulaire qu’une si grande prophylaxie est concevable.

Ce qui l’amena à s’attaquer non sans succès à ce qui semblait – et semble encore – totalement impossible au corps médical, à savoir la rémission du cancer.

Ce fut d’ailleurs le thème de son plus fameux ouvrage : A Cancer Therapy que l’on peut traduire par « Une thérapie du cancer ».

Le Docteur Kristine Nolfi et le cancer du sein

Dans les années qui suivirent, quantité de chercheurs et de médecins s’intéressèrent au pouvoir curatif des aliments vivants, et parmi eux, la doctoresse danoise Kristine Nolfi.

Après avoir fini ses études de médecine générale, elle devint rapidement interne dans un service hospitalier, où on lui diagnostiqua un cancer du sein.

Cancer qu’elle identifia immédiatement comme étant le résultat d’habitudes alimentaires et d’une suite de mauvaises tendances prises à l’hôpital. 

Se tournant pleine d’espoirs vers l’alimentation vivante, elle adopta à son tour un régime digne des anciens préceptes de longue vie les plus stricts, et vainquit incontestablement le cancer.

Puis, cherchant à partager ses formidables découvertes avec le plus grand nombre, elle accompagna et guérit des patients de tous horizons.

Malheureusement, ses collègues médecins firent jalousement pression sur elle dans le but de la faire radier à la première occasion.

Suite à quoi elle s’orienta entièrement vers les médecines naturelles et créa le sanatorium Humlegaarden qui remporta un succès éclatant au Danemark.

Ann Wigmore et le jus d’herbe de bléann wigmore jus d'herbe de blé et alimentation vivante

Souffrant de divers troubles de santé, Ann Wigmore, après avoir pris connaissance des travaux du Docteur Nolfi, fit rapidement le lien entre l’alimentation crue, l’oxygénation cellulaire et sa grand-mère qui guérissait des soldats blessés de la Première Guerre Mondiale grâce à l’herbe et aux plantes médicinales qui poussaient dans son jardin.

Après quelques études, il apparut à Ann Wigmore que c’était en particulier la chlorophylle que contenaient les herbes de sa grand-mère, qui avait une incidence positive sur la régénération du système lymphatique. 

Elle entama donc une cure du jus d’herbe qui contiendrait le plus de chlorophylle possible, qu’elle identifia sans tarder comme étant l’herbe de blé, et constata bientôt ses effets exceptionnels sur la santé :

« Mon expérience avec le jus d’herbe de blé a bien prouvé qu’il avait un effet miraculeux pour compenser les déficiences organiques et rajeunir.

A 50 ans, j’avais les cheveux gris et une très douloureuse inflammation du côlon ainsi que d’autres problèmes intestinaux.

J’avais très peu d’énergie et ma vie partait à la dérive.

Je me suis donc tournée vers la nature en espérant trouver une solution…»  et «…en découvrant le jus d’herbe de blé, les aliments crus et l’exercice, j’ai atteint la fontaine de jouvence.

Vingt-cinq ans après cette expérience, mes cheveux ne sont plus gris, ils ont complètement retrouvé leur coloration brune naturelle.

Je pèse 60 kilos (mon poids de jeune femme) et je suis pleine d’énergie.

Depuis ces dix dernières années, je dors en moyenne 4 heures par nuit et je ne suis pas allée chez le médecin depuis des années.

Pour mon travail il a fallu que j’aille de par le monde pour faire des tournées de conférences très exigeantes.

Et j’ai plus d’énergie que quand j’étais enfant, pourtant à 76 ans je ne suis plus une petite fille. »

Devenue la papesse de l’alimentation vivante, Ann Wigmore soigna un nombre étonnant de malades auxquels elle fit découvrir l’étonnant principe des jus d’herbe de blé et de graines germées, qu’elle baptisa pour leur activité spectaculaire sur la régénération des globules rouges et blancs : « le sang des plantes ».

Ses recherches lui ont d’ailleurs valu de nombreux prix pour ses remarquables découvertes réalisées dans sa clinique de santé naturelle de Boston ainsi que dans son célèbre institut Hippocrate.

L’institut californien Hippocrate, actuellement dirigé par Brian et Anna-Maria Clement, propose aujourd’hui encore le programme « Life Change », qui repose sur un séjour de trois semaines mettant en pratique les préceptes de l’alimentation vivante d’Ann Wigmore.

Basée sur des préparations végétales biologiques variées et savoureuses, cette cure consiste en une alimentation strictement crue pour que les éléments nutritifs vitaux puissent rester parfaitement intacts. 

Il y est question d’absorber principalement ce qu’Ann Wigmore avait baptisé « le sang des plantes » issu avant tout du jus d’herbe de blé, mais aussi de jus verts de légumes et jeunes pousses, de pratiquer une certaine activité physique ainsi qu’une attitude positive, offrant la possibilité de redevenir maître de sa santé.

Ann Wigmore disait à propos de cette diététique :

« Nous devons donner au corps de la nourriture riche en légumes, légumes verts, et en fruits et graines germées »…

… « Lorsque l’on combine ces aliments avec du repos, une bonne activité et une attitude positive, on renforce le corps et on peut par la même occasion surmonter les problèmes de santé les plus graves. »

La chlorophylle pour régénérer les cellules

La chlorophylle, signifiant en grec ancien « feuille verte » est, comme son nom l’indique, présente dans toutes les feuilles, plus ou moins vertes, se nourrissant de la lumière du soleil.

Toutefois cette présence se révèle être plus que variable, puisque si certaines plantes et algues en sont bien pourvues, la chlorelle par exemple, reconnue comme l’une des plus riches, n’en contient que 4%. 

Or, l’herbe de blé crue offre ni plus ni moins que 70% de chlorophylle, ce qui est tout simplement gigantesque.

Et cette chlorophylle, vous l’aurez compris, a des vertus tout à fait particulières puisqu’elle aide à :

  contrôler le taux de glycémie,

  abaisser l’hypertension,

  nourrir les glandes sexuelles,

  accélérer la cicatrisation,

  régénérer le sang,

  détoxifier le foie, les poumons et le côlon,

  éliminer les mauvaises bactéries,

  purger les toxines accumulées dans les tissus,

  et prévenir le grisonnement des cheveux.

D’autres études mettent en évidence que la chlorophylle reconstitue le taux de globules rouges et blancs dans l’organisme, pouvant incidemment soutenir les personnes suivant des chimiothérapies.

Par ailleurs le Docteur Yoshihide Hajiwara et son équipe ont prouvé que les enzymes et acides aminés présents dans le jus d’herbe de blé désactivent les effets cancérigènes du benzopyrène des viandes grillées, ainsi que des poisons présents dans les gaz d’échappement.

Une expérimentation plus récente du Docteur Chiu-Nan de l’Université du Texas va dans le même sens.

Et le Docteur Lai a pour sa part montré que le jus d’herbe de blé avait, en plus de son pouvoir antimutagène, un pouvoir antinéoplasique sans la toxicité des médicaments de synthèse.

Même l’armée américaine s’est penchée sur les propriétés de la chlorophylle, en constatant dans une expérience que ceux en ayant absorbé une quantité importante peuvent supporter des doses létales de radiations.

Le jus d’herbe de blé, une véritable panacée

Faisant partie des aliments les plus complets disponibles dans la nature, il est prouvé que 30cl de jus d’herbe de blé ont la même valeur nutritionnelle que plus d’un kilo de légumes verts frais. 

De plus, riche en protéines, le jus d’herbe de blé est une nourriture vivante qui est en quelque sorte pré-digérée puisque ses acides aminés et glucose sont prêts à être assimilés tels quels, ce qui réduit à néant le travail digestif que doit généralement fournir l’organisme après une collation.

D’après les différentes recherches et observations de l’institut Hippocrate, l’herbe de blé :

  contient du calcium de haute qualité, du phosphore, du magnésium, du sodium et du potassium,

  apporte du fer bio-disponible,

  recèle 92 des 102 des oligo-élements que l’on trouve dans les plantes,

  est la forme la plus biodisponible en chlorophylle,

  aide à réduire la tension artérielle, 

  se trouve être similaire à la structure chimique moléculaire des globules rouges, améliorant la capacité du sang à transporter l’oxygène vers les cellules,

   favorise l’élimination des résidus de médicaments et de métaux lourds dans l’organisme en général, et dans les cellules en particulier,

  purifie le foie,

  participe à la cicatrisation des plaies,

  neutralise les toxines métaboliques,

  aide à réguler la glycémie,

  peut ralentir ou stopper la chute des cheveux et les arrêter de grisonner,

  soulage la constipation,

  augmente la résistance aux radiations et élimine les symptômes d’empoisonnement par rayonnement,

  agit comme désinfectant en détruisant les bactéries dans le sang, la lymphe et les tissus,

  est considérée comme un aliment complet, puisqu’elle contient les acides aminés nécessaires à l’organisme,

  permet d’assimiler plus facilement les vitamines B, y compris le laetrile (B17), qui peut détruire certaines cellules cancéreuses sans affecter les cellules saines,

  est un concentré d’actifs vitaux, qui confèrent sur l’organisme une action alcalinisante, tandis que l’alimentation moderne a fortement tendance à être acidifiante.

C’est d’ailleurs un détoxifiant si puissant que si vous en consommez des portions importantes et que vous avez beaucoup de toxines à libérer, vous pouvez vous sentir immédiatement nauséeux.

C’est pourquoi il est toujours préférable de commencer la cure par de petites quantités d’environ une cuillère à café par jour, puis d’augmenter progressivement jusqu’à quatre fois la dose initiale.

Sous quelle forme utiliser l’herbe de blé ?

Bien évidemment il est possible de cultiver l’herbe de blé dans son jardin puis de la passer dans un extracteur pour en faire un jus frais, mais comme tous les jus, ses propriétés sont très volatiles et par conséquent il faudra le consommer rapidement.

Cependant il est tout de même possible de conserver l’herbe fraîche au réfrigérateur pour en optimiser la conservation pendant quelques jours.

En revanche, son goût d’une amertume très prononcée et toutes les complications que cela impose, invitent volontiers à lui préférer la poudre d’herbe de blé qui, en fonction de sa provenance peut s’avérer bien plus pure que celle que vous pourriez cultiver vous-même, et aura un goût considérablement plus discret. 

Elle se consommera mélangée avec de l’eau, sous forme de jus reconstitué, pour profiter de toutes les vertus que nous venons d’observer.

Dans le cadre d’une cure progressive vous pourrez commencer par une cuillère à café le matin à jeun au cours des cinq premiers jours, puis éventuellement augmenter d’une cuillère à café au bout de cinq jours, jusqu’à un maximum de quatre cuillères quotidiennes. 

En fonction des réactions de votre organisme, il vaudra mieux éviter d’en prendre de grandes quantités trop rapidement, pour vous épargner des crises de détox plus ou moins gênantes. 

Si c’est votre cas, revenez à une dose inférieure jusqu’à disparition des troubles, avant d’augmenter à nouveau la prise.

Il est également possible de concevoir une cure de lavements pour agir de manière locale au niveau du côlon. 

Enfin, l’herbe de blé aura des vertus complémentaires en application externe, préparée en cataplasmes de consistance pâteuse, qui agiront contre les :

  brûlures, 

  boutons,

  staphylocoques,

  plaies ouvertes,

   et démangeaisons.

Ils accéléreront en effet la cicatrisation tout en régénérant les zones lésées.

Il conviendra alors de changer les cataplasmes toutes les trois heures.

Mais l’herbe de blé peut aussi améliorer la santé des cheveux abîmés en frictions de jus sur le cuir chevelu une heure avant le shampoing.

Ou encore aider vos animaux de compagnie pour lesquels vous ajouterez une cuillère à café dans leur alimentation, et frictionnerez leur fourrure de jus pour qu’elle retrouve éclat et vitalité.

 Jean-Baptiste Loin 

Pour commencer une cure de jeunes pousses d’herbe de blé biologiques et de qualité crue, rendez-vous ici :

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Marite
Marite
8 années il y a

Je prends cette herbe en poudre et c est très bien. On peut faire les pousses fraîches et extraites le jus. Avec du blé bio non traité

Claire
Claire
8 années il y a

Bonsoir,

C’est avec beaucoup d’attention et de plaisir que je lis vos courriers.

Aujourd’hui une simple question : ce jus d’herbe doit il être consommé 365 jours par an ? Sinon des cures de combien

de jours et nombre de cures dans l’année ? Je voudrais vraiment essayer.

J’ai consulté le site « Docteur Nature  » et rien à ce propos.

Je ne sais si vous pourrez me répondre mais vous en remercie à l’avance.

Bien à vous

Claire

Réponses Bio
Administrateur
8 années il y a
Répondre à  Claire

Claire Bonjour,  Une cure s’étale généralement entre quelques semaines et trois mois.   Tout dépend du degré d’intoxication de l’organisme, et du dosage qui sera lui-même étroitement lié à votre ressenti.  Un organisme très encrassé ne supportera par exemple que de petites doses, au moins au début, afin de limiter l’intensité de l’effet détox.  Par conséquent il lui faudra un certain temps pour passer progressivement à la dose journalière maximale recommandée.  Dans ces conditions la cure pourra facilement durer trois mois.   Ensuite, si vous êtes végétarienne ou que vous avez besoin d’une source d’acides aminés, de fer et de protéines,… Lire la suite »

Yvonne
Yvonne
8 années il y a

merci pour ce que vous etes et le partagez a vos amis. Par contre est-cee qu il y a du gluten dans le jus d herbe ???

Réponses Bio
Administrateur
8 années il y a
Répondre à  Yvonne

Bonjour Yvonne,
Non il n’y a pas de gluten dans le jus d’herbe de blé, puisqu’il ne contient que les jeunes pousses, et non le grain.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin

Guy
Guy
8 années il y a

Merci pour l’information,c’est très intéressant.

Mayline
Mayline
8 années il y a

Bonjour J ai déjà fait des cures de jus vert , mais .. d ‘orge verte . et c était super .. cependant j entends parler de jus de blé .. j aimerais avoir quelques réponses : – les jus des autres céréales sont bénéfiques, et qu apporterait de plus le jus de blé ? – avec cette mode du » sans gluten  » et donc du « déni » sur le blé dont la variété cultivée ne serait pas si naturelle, car « normalisée » par l ‘industrie pour avoir une farine « unique » donc génétiquement … modifiée .… Lire la suite »

Réponses Bio
Administrateur
8 années il y a
Répondre à  Mayline

Bonjour Mayline, Le jus d’herbe d’orge, tout comme celui de blé, est un excellent détoxiquant et permet de compenser les déficiences organiques. Cela dit il y a quelques différences don le goût, celui d’orge étant beaucoup plus amer que le jus d’herbe de blé. Par ailleurs, je ne connais pas de jus de pousses plus riche en nutriments et en chlorophylle, que le jus d’herbe de blé. Il est difficile de vous indiquer la variété de blé cultivée pour fabriquer la poudre de jus dont il est question dans l’article avec précision, si ce n’est qu’elle vient de Nouvelle Zélande… Lire la suite »