Agressées par de plus en plus de pollutions chimiques, les hormones, dont le rééquilibrage devrait se faire naturellement au fil du temps, subissent des dérèglements allant du simple désagrément aux conséquences les plus catastrophiques.
Que nous prenions soin de les éviter ou non, les pollutions chimiques générant un déséquilibre hormonal sont si nombreuses qu’aujourd’hui rares sont celles et ceux y réchappant totalement.
Plus encore que les hommes, les femmes sont principalement sujettes à ces troubles dans la mesure où tout en elles répond aux cycles de la nature.
Thyroïde, règles et ménopause ne sont donc plus aussi faciles à gérer qu’il fut un temps.
Par conséquent, en dehors de remèdes spécifiques adaptés à chacune, il est crucial d’aider l’organisme à faire son œuvre.
Pour cela il est bon de connaître au moins une solution adaptée au quotidien, tout en appréciant à leur juste mesure les raisons de cet imbroglio hormonal.
Les signes d’un déséquilibre hormonal
Un déséquilibre hormonal peut se confondre avec d’autres symptômes, comme par exemple :
→ une transpiration excessive,
→ une fatigue régulière,
→ des problèmes cutanés,
→ des cheveux abîmés ou une chute anormale,
→ des règles trop abondantes ou pas assez régulières,
→ une absence totale ou un excès de libido,
→ des maux de tête trop fréquents,
→ des humeurs envahissantes,
→ une perte ou un excès de poids.
Bien qu’il existe encore beaucoup de facteurs et sous-facteurs, cette liste non exhaustive permettra déjà de comprendre des maux demeurant « inexplicables » malgré les recherches et tentatives de médications ponctuelles.
En dehors des pollutions chimiques dégradant intrinsèquement la qualité de l’écosystème et de l’alimentation, les modes de vie modernes non naturels y jouent un rôle prépondérant.
Ainsi lorsque l’on implante dans les habitudes :
→ le stress,
→ l’alimentation industrielle,
→ une sédentarité constante,
→ la pilule contraceptive,
→ les médicaments de synthèse…
L’équilibre hormonal de la femme ne pourra qu’aller en se dégradant, augmentant progressivement l’impact des troubles que nous venons d’observer jusqu’à provoquer une ménopause problématique, voire pire.
Le non-sens de la pilule contraceptive
Comme solution à une quantité impressionnante de troubles hormonaux, les allopathes n’ont rien trouvé de mieux que… de proposer l’un des plus dangereux perturbateurs endocriniens, à savoir la pilule contraceptive.
Pourtant la pilule est sans doute la première cause de dérèglements hormonaux, et la consommation à long terme d’œstrogènes de synthèse une cause non négligeable de cancers.
Les premières victimes en sont bien évidemment les femmes, qui par la même occasion génèrent des rejets d’hormones œstrogènes dans les rivières et cours d’eau souterrains à travers les urines et déchets, allant directement féminiser les poissons… puis ceux qui s’en nourrissent.
Phénomène qui interviendra également dans une baisse considérable de la production de spermatozoïdes chez les hommes.
Cela dit, en plus de la pilule, des pesticides et conservateurs entrant pour leur part dans la composition de quantité de produits cosmétiques et aliments industriels seraient également en cause.
Et si les contraceptifs hormonaux sont les premiers impliqués, il a été prouvé que toutes les formes de pilules sont terriblement iatrogènes, provoquant :
→ perturbation de la libido,
→ anxiété,
→ maux de tête,
→ dépression immunitaire,
→ allergies,
→ accidents vasculaires cérébraux (A.V.C.),
→ insomnies,
→ troubles cutanés,
→ candidose,
→ problèmes de poids,
→ tensions mammaires,
→ kystes ovariens,
→ hypercholestérolémie,
→ hypertension artérielle,
→ rétention d’eau,
→ tumeurs,
→ ainsi que de nombreuses formes de cancer…
Cette inquiétante liste vous rappelle quelque chose ?
Oui effectivement, il s’agit des symptômes du dérèglement hormonal, en bien pire.
Qui plus est, en 2003 la FDA autorisait la mise sur le marché de la « pilule saisonnière » censée réduire les menstruations à quatre au lieu de douze par an, voire à les supprimer complètement.
Dans la même veine, il existe maintenant des implants sous-cutanés et anneaux vaginaux contenant les mêmes hormones que les pilules.
Une fois ces dispositifs mis en place, les hormones se diffusent directement dans le sang et suppriment l’ovulation, avec un effet particulièrement délétère sur la nature des cycles menstruels.
Conséquence désastreuse d’une désinformation programmée, alliée à des méthodes de marketing industriel se basant sur le besoin, bien réel, de la liberté des femmes, la pilule est dans presque tous les sacs à main et tables de chevet.
Quelques précautions alimentaires du rééquilibrage hormonal
Il sera certainement nécessaire de revenir ultérieurement sur l’alimentation de l’équilibre hormonal tant les possibilités sont variées, mais en voici déjà quelques principes de base qui pourront sans doute s’avérer utiles.
Bien que l’excès de cholestérol soit néfaste, si vous absorbez trop peu de sources de cholestérol le corps sera privé des composants dont il a besoin pour fabriquer les hormones ovariennes et surrénaliennes.
Sachant que 75% du cholestérol proviennent des glucides et les 25% restant des graisses et des huiles.
Par ailleurs, une consommation non contrôlée de sucres rapides entraînera une variation en dents de scie des taux de cortisol et d’adrénaline, provoquant une anxiété maladive et un dérèglement des autres hormones.
Inversement, trop peu de ces sucres pourra mener à des crises d’hypoglycémie provoquant irritabilité et ralentissement intellectuel.
Il conviendra dans tous les cas de consommer d’importantes quantités de fibres pour aider le côlon à éliminer plus facilement les excédents d’œstrogènes et de toxines.
A défaut de cet apport en fibres, ces derniers seront alors recyclés dans le foie.
En outre, il sera important de favoriser :
→ les acides gras essentiels,
→ de bonnes sources de fer,
→ du calcium,
→ du magnésium,
→ des vitamines E et D…
Que vous trouverez aisément dans les graines et l’huile de chanvre ainsi que dans une alimentation équilibrée et variée.
Une plante salvatrice
Salvatrice, la sauge, du latin salvare, l’est au sens propre comme au sens figuré.
Principalement pour ses vertus globalement adaptées à l’équilibre hormonal de la femme :
→ régulant la transpiration,
→ réduisant les désagréments de la ménopause,
→ favorisant l’amincissement,
→ renforçant les cheveux,
→ aidant la digestion,
→ luttant contre les flatulences,
→ restituant force et vigueur,
→ apaisant les troubles nerveux,
→ et… assurant bien-être lors des cycles menstruels.
Mais attention, il existe plus de 500 espèces de sauges, et seulement 2 jouissant de toutes ces qualités thérapeutiques :
→ et la sauge sclarée.
Ces variétés ont en plus la particularité d’être des œstrogène like tout à fait remarquables.
Mais si en son temps Charlemagne imposa à toutes les abbayes d’en cultiver, et que je vous invite à faire de même dans votre jardin, des remèdes bien plus puissants qu’une simple infusion sont dorénavant à la portée de chacun.
Le plus efficace d’entre eux est sans doute la formule d’extrait de plante fraîche d’Alfred Vogel, dans la mesure où en plus des feuilles, la plante entière est utilisée dans un procédé unique pour en potentialiser toutes les vertus.
Il était effectivement convaincu qu’aucune partie de la plante n’est inutile, chacune d’entre elles remplissant un rôle particulier et s’accordant les unes aux autres, tout comme l’ensemble des instruments d’un orchestre restitue les subtilités d’une symphonie.
Aux yeux d’Alfred Vogel :
« Soins attentifs, sensibilité intuitive, compréhension totale et amour des plantes, mais aussi un vif intérêt pour soulager les personnes souffrantes sont indispensables pour accepter les contraintes qu’entraîne la fabrication de produits haut de gamme.
Cela signifie souvent gravir les montagnes pour cueillir les plantes à leur stade le plus actif, et les transformer le jour même.
Les extraits doivent être fabriqués soigneusement, sans être chauffés, selon un procédé qui permet de recueillir tous les composants, afin qu’ils soient présents dans les mêmes proportions que dans la plante ».
Une « intuition » allant bien au-delà des connaissances actuelles n’intégrant malheureusement pas encore l’importance de la synergie des principes actifs d’une plante, de ses racines jusqu’à ses feuilles.
Jean-Baptiste Loin
Pour trouver l’extrait de plante fraîche de sauge officinale bio d’Alfred Vogel, je vous invite à vous rendre sur cette page
Merci
Mille merci
Merveilleuse plante, mais vous ne précisez pas que lors de certains cancers, il est préférable de ne pas la consommer.
A moindre que vous possédiez des informations que j’ignore.
Yode bonjour, Vous avez raison, il aurait été bon d’ajouter à cet article les contre-indications de la sauge officinale, mille pardons pour ce regrettable oubli. Tout d’abord il est vrai que dans la mesure ou c’est un oestrogène like, elle est à proscrire en cas de cancer du sein hormono-dépendant. Ensuite les épileptiques devraient également éviter d’en consommer. Enfin, comme tout remède naturel travaillant en profondeur sur la santé, il est conseillé de faire une pause d’au moins deux semaines tous les deux ou trois mois, ou après chaque cure prescrite par votre naturopathe ou phytothérapeute. Bien à vous, Jean-Baptiste… Lire la suite »
Merci
Merci pour vos informations
merci !!!
Merci
Merci !