Les récentes déclarations du Professeur Montagnier à propos du SARS-Cov-2, ayant répondu avant-hier aux questions d’André Bercoff et de quelques auditeurs (1), soulèvent un inquiétant débat nié en bloc par la presse scientifique officielle.
Le SARS-Cov-2 provoquant la maladie du Covid-19, a-t-il été conçu par l’homme ? Est-il en mesure de contaminer l’humanité avec le syndrome d’immunodéficience acquise ou sida ?
Bien que :
- nous puissions facilement être enclins à nous fier au statut de prix Nobel du Professeur Montagnier,
- nous saluons son soutien à la reconnaissance des travaux de Jacques Benveniste,
- et que nous ne puissions qu’abonder dans le sens de sa politique contre l’intoxication par les vaccins…
Ses révélations à propos de la manipulation humaine du SARS-Cov-2, susceptible d’intégrer certaines séquences de génomes de sida, sont lourdes de conséquences.
Si lourdes que, malgré le principe de précaution nous invitant d’ores et déjà à anticiper l’éventualité que ce nouveau coronavirus puisse être un virus mixte, nous ne devons pas perdre de vue qu’à l’heure où je rédige ces lignes les travaux du mathématicien ayant formulé cette théorie sont encore au stade d’hypothèse.
Hypothèse soutenue par la publication d’un article sur le séquençage du SARS-Cov-2, ayant profondément déplu à la communauté scientifique.
En effet, les méthodes d’analyse de cette étude révélant la trace de plusieurs souches de HIV/SIV dans le SARS-Cov-2, s’articulent sur un langage que peu semblent enclins à partager.
Raison de plus, à mon humble avis, pour vous en faire votre propre idée.
La thèse de la manipulation humaine du virus
Le témoignage de quelques scientifiques et politologues vont plus ou moins directement dans le sens de la thèse de la manipulation humaine du Covid-19.
En premier lieu s’impose le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de Médecine en 2008 décerné pour la co-découverte en 1983, avec Jean-Claude Chermann, du virus responsable du syndrome d’immunodéficience acquise ou sida.
A 87 ans, malgré le fait qu’il ait dirigé le service d’oncologie virale de l’Institut Pasteur pendant plus de trente ans, une majorité écrasante de la presse officielle tente de le discréditer, criant presque unanimement aux « fake news ».
Notons ici, afin de tenter de mitiger quelque peu l’engouement des Français pour la presse gouvernementale, semblant omniprésente, un article du Times intitulé : « Le coronavirus menace la liberté de la presse dans le monde » (2)
Toujours est-il que le véritable auteur de cette découverte est Jean-Claude Perez, un collègue mathématicien du Professeur Montagnier.
Luc Montagnier l’encourage vivement à publier le résultat de ses recherches, tout en lui apportant ses conseils en tant que spécialiste du VIH.
Je vous invite à cliquer ici pour prendre connaissance de l’article témoignant du résultat de leurs recherches (en anglais) (3).
Qui est Jean-Claude Perez et sur quelles connaissances se base-t-il pour parvenir à de telles conclusions ?
Décrypteur des codes numériques de l’ADN et des génomes, Jean-Claude Perez est chercheur dans le domaine de l’intelligence artificielle, et auteur de l’ouvrage : « L’ADN décrypté ».
À la fin son analyse il est intéressant de noter qu’il remercie pour leur participation, et le résultat de leurs recherches :
- Le Dr. Robert Friedman M.D., expert du « Ratio d’Or de la Vie », ou spirale du nombre d’or
- Le Professeur Diego Lucio Rapoport, mathématicien spécialiste du ruban de Möbius
- Le mathématicien Marco F. Paya Torres
- Le Professeur François Gros, membre de l’Institut Pasteur et co-découvreur du rôle messager de l’ARN
- Le Professeur Sergey V. Petoukhov, membre du Research Institute of the Russian Academy of Sciences of Moscow, Chef du laboratoire des systèmes biomécaniques
- Le très controversé Volkmar Weiss, grand spécialiste du Q.I., à la base d’une théorie semblant aussi proche du nazisme qu’elle s’en défend, selon laquelle il existerait une intelligence biologique liée, non pas à la race, mais à la classe sociale
- Et, bien entendu, le Professeur Luc Montagnier pour ses conseils et suggestions ayant mené à la rédaction de l’article.
Que l’on adhère ou non aux résultats de leurs recherches, les trois principaux points communs entre ces scientifiques demeurent dignes d’intérêt :
1/ Leur connaissance de la structure moléculaire des virus.
2/ Leur compréhension des « vagues de Fibonacci » caractérisant le génome.
3/ Ainsi que leur propension à faire partie des quelques « électrons libres » que compte la science moderne.
Ensuite les analyses présentées dans l’article de Jean-Claude Perez sont basées sur plusieurs séquençages du SARS-Cov-2, publiés par des chercheurs chinois, comparés à 9 autres coronavirus tels que les SARS, MERS, Bat SARS-like, etc.
L’article, précise-t-il, est motivé par une volonté de compréhension des comportements d’évolution du génome SARS.
La méthode utilisée pour le décryptage, spécialité de Jean-Claude Perez, s’appuie sur la fréquence des « Fibonacci fractal stationary waves ».
Une étude des vagues de Fibonacci fractales et stationnaires émises par le génome du virus, basée sur une classification hiérarchique des 24 chromosomes.
A titre d’exemple, il y propose la comparaison de trois génomes, qu’il utilisera en référence dans la suite de son déroulement afin de mettre en évidence certaines périodes d’ondes fractales et d’ondes de résonance :
- 1 Neandertal
- et 2 Sapiens.
Il démontre à travers un graphique que la résonance de 34 bp – ou paire de bases la plus haute correspondant à la suite de Fibonacci dans la signature du génome humain – est partagée par les espèces Neandertal et Sapiens, mais proviennent de fréquences diamétralement opposées.
Il va ainsi montrer pas à pas que les différents SARS, mis à part le dernier, contiennent chacun des fréquences allant de 5 bp à 13 bp, sans jamais aller jusqu’à 21 bp.
Tandis que le SARS-Cov-2, contient toutes les fréquences, y compris celle de 21 bp.
Il en déduit une grande adaptabilité du génome SARS chez l’humain, montrant comment depuis 2002 il n’a cessé de muter en acquérant de nouvelles fréquences de vagues de Fibonacci :
En observant ce mécanisme il prédit que le processus de mutation du Covid-19 pourrait rapidement atteindre la fréquence de 34 bp.
Selon lui, le fait qu’un simple virus puisse atteindre cette fréquence signifierait qu’il est en mesure « de rivaliser avec l’intégralité des chromosomes 4 ou 13 humain, seuls à détenir un tel degré d’organisation ».
Tentant de répondre au questionnement soulevé par l’enquête scientifique initiée par le Dr James Lyons-Weiler (4), il utilise son système de référence pour comprendre ce « vide » pointé par Lyons.
Focalisant ses recherches sur la signification de la non conformité avec le SARS-1.
Il y découvre rapidement une corrélation avec le virus du VIH ou sida :
« Il apparaît pour la première fois une vague de Fibonacci de 34 bp.
Ce génome serait donc structuré par un nid fractal de 5 ondes Fibonacci, 5 8 13 21 et maintenant 34 bp.
Curieusement, nous n’avons rencontré ce niveau d’organisation que dans l’ensemble du chromosome humain. »
Ce qui, à ses yeux, soulève une nouvelle question :
« Existe-il une sorte d’affinité entre les vagues d’un rétrovirus et le génome hôte humain dans lequel ce rétrovirus pourrait s’intégrer ? »
S’appuyant globalement sur les travaux du Dr James Lyons-Weiler visant à prouver la manipulation humaine du virus, Jean-Claude Perez pense avoir trouvé les preuves de l’existence de minuscules séquences de rétrovirus VIH et SIV.
Le Simmian Immunodeficiency Virus, se traduisant par virus d’immunodéficience simienne, soit la version simiesque du sida.
Il va même jusqu’à indiquer les origines précises des génomes de VIH et SIV qu’il identifie comme provenant de Russie, de Côte d’Ivoire, des Pays-Bas et de Malawi.
Puis, apparemment en admiration devant un travail qu’il juge « plein de logique et de symétrie », il décèle un désir d’organisation de la nature humaine dans la création du virus.
« D’une part, nous venons de démontrer que ce génome Covid-19 contient une insertion de 6 régions stratégiques du VIH/SIV concentrées dans un mini espace représentant moins de 1 % de la longueur du génome.
On peut penser qu’une telle « perturbation » peut avoir des effets sur la structure de l’ADN de ce génome à travers le monde.
Par ailleurs, nous venons de montrer que depuis le premier SRAS de 2003, la structure des génomes successifs dans le monde n’a été que croissante, mise en évidence ici par les ondes numériques fixes étalonnées sur l’augmentation du nombre de Fibonacci.
En particulier, le Covid-19 est structuré sur une longue distance par une onde d’amplitude de 21 bp.
Toutefois pour s’adapter au désordre de son ADN résultant de l’insertion des 6 VIH/SIV, le génome Covid-19 a certainement augmenté son niveau d’organisation dans le monde par des mutations… la suppression dans ce génome de la petite région, y compris les insertions de VIH/SIV, vont s’accroître, ce qui entraînera l’apparition de vagues de 34 pb, le nombre de Fibonacci après 21 bp.
Et nous devons maintenant craindre que ce génome continue de muter pour optimiser son niveau d’organisation global. »
Cependant, l’article de Jean-Claude Perez et les déclarations du Prix Nobel de Médecine ne semblent pas mettre tout le monde d’accord.
Le Professeur Montagnier dénonce « un verrou scientifique ».
Les institutions scientifiques « officielles » s’offusquent d’un manque de conformité dans le déroulement des recherches.
Les gouvernements accusent plus ou moins directement la Chine d’opacité.
La presse… botte en touche, ou presque.
Les déclarations du Professeur Montagnier
Vus plus en détails, les propos du Professeur Montagnier issus de l’interview d’avant-hier, sont-ils corroborés par des sources fiables ?
- Il prétend tout d’abord qu’il existe un laboratoire P4 à Whuan, ville reconnue comme étant l’épicentre de l’épidémie.
Cela semble effectivement se confirmer, il est même probable que l’étude des coronavirus soit la spécialité du laboratoire P4 de Wuhan récemment fondé en partenariat avec les Français. (5) (6)
- Ensuite, il avance que le SARS-Cov-2 a été fabriqué par l’homme.
Là encore, des témoignages plus ou moins divers abondent en ce sens :
-> Concernant « la maladie qui nous affecte en ce moment », dans une interview à propos des liens entre ses récentes découvertes et l’Alchimie, Nassim Haramein, astrophysicien, témoigne d’un « virus alchimisé en laboratoire » . (7)
-> Dans son article sur la pensée positive, Jacques Attali compare ce virus à un « mal apparu dans la nature et aggravé par les hommes ». (8)
À cela vient évidemment s’ajouter le décryptage de Jean-Claude Perez, ainsi que les spécialistes cités en remerciement de son article approuvant plus ou moins directement son hypothèse.
Dans une récente interview donnée au Point (9) Jean-Claude Perez affirme :
« Je suis certain à 100 %
Dans un article à venir, nous démontrerons avec Luc Montagnier qu’il existe bien plus de 6 fragments VIH et SIV.
Certains sont placés côte à côte avec une précision d’horloger. »
Il y précise également avoir choisi un mode de publication scientifique controversé, mais libre, suite à l’étouffement de son premier article « déposé en janvier sur Preprints Basel, puis supprimé, malgré sa bonne audience ».
« Des chercheurs indiens qui trouvaient aussi des VIH ont vu leur article supprimé dans bioRxiv, un autre site américain de preprints.
C’est à la suite de cela que mon article est paru le 23 février 2020 dans la revue indienne. »
Il précise qu’« il a été plus tard reproduit et validé par une PhD de l’université d’Oxford. »
Le journaliste finit son article en notant que « la conception d’un vaccin utilisant un coronavirus inactivé comme vecteur et sur lequel on aurait greffé des fragments du virus du VIH afin de déclencher une réaction immunitaire, est bel et bien étudiée depuis plusieurs années ». (9-10)
Le premier Brevet de l’Institut Pasteur sur le coronavirus de 2004
Il y a quelques semaines nous avons pris connaissance d’un fascicule de brevet européen disposant d’un dépôt légal de 2004.
Son objet étant « l’étude de nouvelles souches de coronavirus associées au SRAS et à ses applications. »
Parmi l’équipe de scientifiques signant le document on trouve plusieurs chercheurs français de l’Institut Pasteur, dont certains travaillent actuellement sur le vaccin du Covid-19 à l’Institut Pasteur, avec, par exemple, Frédéric Tangy.
Comme je l’expliquais dans un de mes derniers articles, Frédéric Tangy et son équipe préparent des « dizaines de millions de doses de vaccin » dont il a récemment prédit la sortie lors d’une interview donnée à BFM, « au cas où l’épidémie serait encore présente », au mois de septembre.
Ce document que je mets à votre disposition, montre également une accointance avec certains termes comme HIV, HBV, HCV, semblant être liés à des recherches vaccinales.
N’étant pas expert en la matière, une fois de plus, je vous laisse seul juge des faits sur la base de l’intégralité du document en téléchargement ici. (11)
La thèse de l’origine animale
Bien que peu de sources sérieuses existent en langue française, plusieurs revues scientifiques internationales ont publié des articles contradictoires destinés à réfuter la thèse d’une fabrication humaine, étant le résultat, à leur yeux, de théories complotistes ou d’un manque de rigueur scientifique.
C’est par exemple le cas de Tina Hesman Saey, qui publie son compte rendu dans la revue Science News. (12)
Cependant, même pour un non initié, cet article semble léger en comparaison de l’étude du mathématicien français.
Ses contre-arguments concernant la présence de VIH ajouté artificiellement ne sont que vaguement évoqués, sans être étayés.
Tout comme la revue Nature (13) qui, bien que crédible, ne fait absolument pas mention d’une probable incrustation d’un ou plusieurs brins de VIH dans le séquençage du virus.
En toute logique, et bien que d’éminents virologues et spécialistes s’accordent à dire que des coïncidences similaires puissent s’observer avec toutes sortes de génomes, dans la mesure où les six marqueurs de HIV/SIV trouvés par Perez sont bel et bien présents dans le Covid-19, cela tendrait à signifier que le stade de la « coïncidence » est révolu.
Les interprétations du Professeur Luc Montagnier
Étant médecin, le Professeur Montagnier se permet quant à lui d’interpréter ces recherches dans un tout autre registre, avec une tout autre connaissance des pratiques en vigueur.
Selon lui « l’Institut Pasteur a isolé ce virus et pris un brevet qui couvre le virus, mais qui ne couvre pas le corona actuel ».
Ce que le document présenté plus haut pourrait tendre à prouver. (11)
Il ajoute que « la polémique venait du rôle des petites fractions du virus du sida » qui pourraient être trop petits pour agir sur l’humain, ou au contraire assez grands pour avoir un impact.
Et prétend avoir « la preuve qu’ils sont assez grands pour faire quelque chose. »
Ce qui, en termes profanes, pourrait probablement vouloir dire que le débat s’articulait autour de l’insertion du VIH dans le coronavirus, la taille des insertions, ainsi que de sa capacité à interagir avec la santé humaine.
Il n’hésite pas non plus à se prononcer sur l’installation des antennes 5G et de la « nature vibratoire du virus » :
« Il faut appliquer le principe de précaution concernant la nature vibratoire du virus, pouvant le rendre plus ou moins agressif, il est préférable d’éviter l’utilisation de la 5G ».
Plus loin, il « plaide pour développer des instituts de recherche au niveau des thérapies vibratoires pour combattre le virus.
Au niveau de la France on n’a pas l’air de beaucoup écouter cela, mais on peut le faire ailleurs. »
« C’est très mauvais d’imposer la recherche au nom d’une idéologie.
Ou de mettre son veto s’il y a quelque chose qui ne plait pas au gouvernement.
Malheureusement il y a une intrusion du politique dans la science, partout on peut dire.
Non seulement en Chine mais partout, aux États-Unis, en France etc.
Aussi il existe des vetos, des dictatures qui sont moins fortes mais qui ont le même pouvoir, en ce sens qu’écrire un article qui est contre le corona, qui est la doctrine officielle aux État-Unis, et bien vous ne pouvez pas.
Parce qu’il y a un veto qui dépend des politiques sans doute.
Pour refuser des articles.
C’est très mauvais, c’est à dire qu’on impose des dictats scientifiques, qui n’ont rien à voir à voir avec la vérité scientifique. »
Par ailleurs, force est de reconnaître que de nombreux médicaments contre le sida sont proposés en bi-thérapies dans certains établissements proposant un traitement provisoire contre le Covid-19. (14)
Nouveaux virus, nouvelles stratégies
Étant donné ces nouvelles découvertes, et bien qu’elles ne soient pas prouvées, voici un résumé des éléments de réflexion que propose le Professeur Montagnier :
– Le virus semble ubiquitaire et sa faculté de mutation pourrait se décupler au soleil.
– Il serait capable de survivre dans l’eau, les voies aérosoles et la pluie.
– Il pourrait devenir plus agressif en présence d’ondes électromagnétiques intenses à hautes fréquences comme la 5G.
– Une campagne de vaccination préventive pourrait être orchestrée depuis des années.
Pendant que de nombreux gouvernements dont la France, les États-Unis, la Russie et l’Angleterre, se défaussent en prétextant un manque d’informations concernant l’origine véritable du Covid-19.
Tentant de tenir la Chine responsable d’une sorte de Tchernobyl bactériologique.
Les thèses des origines humaines ou animales du virus n’empêchant pas de considérer une troisième hypothèse, ayant le mérite d’exister dans certains pays comme la Suisse (15), fondée sur l’idée que le désir de contrôler les populations par des mécanismes de peur super sophistiqués, pourrait s’avérer, quant à lui, plus grave encore que le virus.
En attendant, puisqu’il vaut mieux prévenir que guérir, je viendrai prochainement vous parler d’une solution me semblant fort utile pour optimiser vos réactions immunitaires profondes, tout en favorisant l’équilibre de la thyroïde et en nourrissant les cellules.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Sources et références scientifiques :
(1) Dr Montagnier : « Par accident, un chercheur aurait pu faire sortir le Covid-19 de ce labo ! » :
(2) Selon un rapport, le coronavirus menace la liberté de la presse dans le monde : https://www.nytimes.com/2020/04/21/world/americas/coronavirus-press-freedom-journalism.html
(3) Article en anglais : https://www.reponsesbio.com/wp-content/uploads/2020/05/35_IJRG20_B03_3147.pdf
(4) À l’origine du Covid-19, Wuhan, Chine : https://jameslyonsweiler.com/2020/01/30/on-the-origins-of-the-2019-ncov-virus-wuhan-china/
(5) À l’intérieur d’un laboratoire chinois des agents pathogènes : https://www.nature.com/news/polopoly_fs/1.21487!/menu/main/topColumns/topLeftColumn/pdf/nature.2017.21487.pdf
(6) Institut de virologie de Wuhan : https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_de_virologie_de_Wuhan
(7) Nouvelle découverte de Nassim Haramein : https://www.youtube.com/watch?v=xe2b3lQKJ9s
(8) Pensez et vivre positif : http://www.attali.com/non-classifiee/pensez-et-vivre-positif/
(9) Le virus du Sars-CoV-2 a-t-il été créé par l’homme ? https://www.lepoint.fr/sante/le-virus-du-sars-cov-2-a-t-il-ete-cree-par-l-homme-tous-les-elements-pour-en-juger-18-04-2020-2371937_40.php#
(10) Coronavirus : tout comprendre sur les différents vaccins en développement : https://www.industriepharma.fr/coronavirus-tout-comprendre-sur-les-differents-vaccins-en-developpement,109871
(11) Fascicule de brevet Européen de l’Institut Pasteur d’un SARS-CoV-1 en 2004 : https://www.partage-temporaire.fr/2020/05/04/ep1694829b1/
(12) Non, le coronavirus n’a pas été fabriqué en laboratoire : https://www.sciencenews.org/article/coronavirus-covid-19-not-human-made-lab-genetic-analysis-nature
(13) L’origine proximale du Sars-CoV-2 : https://www.nature.com/articles/s41591-020-0820-9
(14) Des molécules anti-VIH à l’étude contre l’épidémie de Covid-19 : https://vih.org/20200220/les-molecules-anti-vih-a-la-rescousse-de-lepidemie-de-covid-19/
(15) Article de Michel Moreau (Genève) https://www.linkedin.com/pulse/peurs-des-%C3%A9pid%C3%A9mies-de-protections-humanitaires-et-solutions-moreau/
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Merci
Je me pose une question – est-ce une bête? S’il y aura effectivement des fragments du VIH greffés dans le vaccin anti-corona, est-ce que cela implique, que les personnes vaccinées pourront tester positives pour le VIH? Je me rends bien compte que la personne ne sera pas « atteinte » du VIH dans ce cas, mais puisque le test VIH standard (!) vise à détecter la présence d’anticorps, cela me semble possible, ou est-ce que les choses sont bien plus compliquées que ça? Evidemment un test vih qui détecte le virus même, sera négatif, mais ce test est bien plus compliqué et… Lire la suite »
Bonjour, si c’ est un virus « normal » cela devrait être fini fin mai, d’ après le professeur Raoult et d’ autres .
Mais COVID veut dire parait il Certificate Of Vaccination Identification Digital et 19:
1 Artificiel (1 ère de l ‘alphabet) et 9 Intelligence (9 ème lettre de l’ alphabet)
Qu’ en pensez vous ?
Bonjour, un grand merci pour ces informations techniques sur les différents génomes. Il y a un problème, la recherche sur le site ncbi.nlm.nih.gov sur wuhan2 et wuhan soit MN908943.2 et .3 ne donne pas d’issue. c’est ok par contre pour wuhanold MN908943.1. D’où cela vient-il?
Plus d’ infos
Jean-Claude PEREZ. (2020). WUHAN COVID-19 SYNTHETIC ORIGINS AND EVOLUTION. International Journal of Research – Granthaalayah, 8(2), 285–324. http://doi.org/10.5281/zenodo.3724003
Perez, J. C., & Montagnier, L. (2020). COVID-19, SARS AND BATS CORONAVIRUSES GENOMES PECULIAR HOMOLOGOUS RNA SEQUENCES. International Journal of Research -GRANTHAALAYAH, 8(7), 217-263. https://zenodo.org/record/3975578
See also on this topic
http://realpolitikasia.blogspot.com/2020/05/synthetic-origins-of-wuhancovid-virus.html?m=1
[…] allant dans le sens de la modification génétique du SARS-CoV-2, en tout début de pandémie. (2) et […]