De l’inutilité du masque en Occident et en Orient

Aucun ethnologue n’aurait pu espérer des preuves plus criantes concernant l’inutilité du masque pour protéger les Occidentaux du Covid-19.

Non pas que je sois convaincu, comme beaucoup semblent l’être, que le virus soit fictif, destiné à détourner l’attention de la dictature sanitaire à laquelle nous assistons.

Non pas que je prétende qu’il n’y ait pas de différence entre ce virus et une simple grippe.

Pourtant…

Force est de constater que l’utilisation du masque comme mesure préventive d’infection, par les Européens, les Africains, les Indiens, et les Américains du nord comme du sud, s’avère être un dangereux fiasco.

Bien que les Japonais, les Coréens et les Chinois aient montré être capables, dans la grande majorité, d’utiliser un masque correctement.

Bien qu’ils soient même souvent prêts à risquer une complète hypoxie, tombant à la renverse plutôt que de l’enlever.

Les Occidentaux, eux, mettent leurs mains partout, ne toussent dans leur coude qu’une fois sur dix, ne savent pas respirer correctement… n’ont pas l’habitude.

Plusieurs millénaires de conception de la distanciation sociale séparent Latins et Orientaux des Extrême-Orientaux, chez qui l’accolade, la bise, les câlins, sont considérés comme grossiers depuis toujours.

Les germaniques et peuples du nord, se situant probablement quelque part entre les deux.

Une des illustrations des plus parlantes de la chose étant la dernière allocution du Président français, montrant très clairement à quel point, dans certaines situations, le port du masque relève de la mascarade.

Après un échange animé d’une toux persistante le contraignant à quitter son masque pour un plus léger, le chef du gouvernement partage joyeusement ses miasmes dans l’atmosphère tout en prenant soin de toucher et retoucher l’objet.

Illustrant les dires du Premier Ministre ainsi que la porte-parole gouvernementale, expliquant respectivement quelques mois plus tôt que les masques sont inutiles et qu’ils ne savent pas s’en servir.

Quant au chef de l’État, il a déclaré après avoir manqué de s’étouffer, qu’il avait dû avaler quelque chose provenant du même type de masque qu’il impose aux Français.

Si le masque est devenu inutile depuis le mois de septembre, c’est :

1/ Parce qu’une fois que le virus s’est propagé, une organisation minutieuse des gestes barrières et de l’utilisation du masque sont indispensables pour donner le moindre sens à ces mesures.

Cette conception du quotidien étant culturelle, elle est le fruit d’un conditionnement qui ne saurait s’acquérir en l’espace de mois ou même d’années par des cultures diamétralement opposées.

En tout cas, pas sans entrainer de graves frustrations, problèmes identitaires et troubles mentaux liés à une hypersurveillance.

2/ Parce que des études montrent que le virus, tant qu’il n’aura pas été suffisamment en contact avec un système immunitaire sain susceptible de développer des anticorps, risquera de ré-infecter son hôte à plusieurs reprises, voire de ne pas quitter l’organisme des porteurs sains.

Inutile d’espérer passer quelques mois avec un masque et l’enlever, mis à part dans un bunker rien sur le long terme ne saurait éviter le contact de l’humanité avec le virus.

Même les tribus les plus reculées au monde, où le souvenir d’une éradication de leurs ancêtres par une grippe hispano-portugaise est encore brûlant, sont touchées de plein fouet.

Sept cents Amérindiens sur les quelques dizaines de milliers restants en Amazonie ont trouvé la mort, et parmi eux certains de leurs derniers guides spirituels. (1)

3/ Parce qu’une fuite en avant, espérant qu’un vaccin puisse singer le système immunitaire est d’autant plus grotesque que ces nouveaux vaccins, déjà vendus à plusieurs pays et proposés à de nombreux utilisateurs, semblent bien plus dangereux que les anciens.

Les plus attendus par les scientifiques étant ceux basés sur la modification du code génétique du virus censé interagir avec l’ADN humain. (2)

Et celui développé par AstraZeneca, un lobby Anglo-Suédois ayant déjà vendu des millions de doses à l’Angleterre, aux États-unis, au Brésil, à l’Inde et à l’Afrique, provoquant, entre autres effets secondaires, la myélite.

La myélite est une inflammation aiguë de la moelle épinière dont l’origine, bien qu’elle puisse également être infectieuse, est généralement auto-immune et provoquée par une sclérose en plaques. (3)

Les autres prétendants au trône vaccinal, à savoir Merk, Sanofi, BioNTech, Novavax et GlaxoSmithKline, semblent naviguer sur des voies sensiblement identiques, tout en s’inquiétant fort peu de la Drug and Food Administration et des autorisations de mise sur le marché.

Sans oublier qu’une utilisation abusive du vaccin et des médicaments, risque, comme cela a pu s’observer avec de nombreux autres virus, de faire muter le Covid-19 vers une forme plus résistante.

4/ Parce qu’il est démontré que cette maladie, bien que nous n’en connaissons pas encore les conséquences sur le long terme, n’est pas mortelle ou incapacitante pour quelqu’un dont la réaction immunitaire est adaptée.

Il est donc encore temps d’organiser des aides de prévention immunitaire parmi l’arsenal des soins naturels, pouvant s’avérer vitales pour les plus fragiles tout en évitant l’engorgement des structures hospitalières.

5/ Parce qu’une utilisation abusive du masque, à une époque où la pollution des villes, le stress et le manque de connaissance ont privé les populations d’une oxygénation suffisante, fait courir un risque généralisé d’hypoxie.

Une mauvaise oxygénation des cellules, quotidienne et soutenue, est la source de très nombreuses maladies pouvant mener à la dégénérescence cellulaire ainsi qu’à la mort cérébrale.

L’étourdissement du Président français, suivi d’une toux sèche et du besoin d’air frais, pourraient en être les signes précurseurs les plus courants.

Un port constant à partir de ces symptômes est susceptible de mener les utilisateurs à des troubles privant progressivement le sang de l’oxygène nécessaire pour alimenter correctement les organes en demandant le plus.

Comparable à une dette de sommeil, un manque d’oxygène sur le long terme peut provoquer une carence qu’il sera impossible de combler en respirant mieux les week-ends.

Pour la liberté de choix

Comme je le disais en préambule, je n’ai jamais douté qu’un virus étrange puisse se balader dans la nature.

De nombreuses preuves s’accumulent, en dehors même du fait que les symptômes soient plus lourds qu’une simple grippe et la rémission des cas non critiques trois à quatre fois plus longue.

Que ceux l’ayant contracté font très nettement la différence, dans leur témoignage, avec les coronavirus auxquels nous sommes confrontés depuis des décennies.

Que le cerveau, les poumons, le cœur, et finalement le système nerveux, puissent être touchés par des réactions immunitaires comparables à celles provoquées par des maladies auto-immunes. (4)

A cela près que les réactions en question peuvent s’avérer rapidement mortelles lorsqu’elles ciblent des organes vitaux.

Il est donc normal que quiconque souhaite porter un masque, de préférence adapté aux nanoparticules, en porte un.

Bien qu’à moins de le visser sur les oreilles et de manger avec, il sera probablement inutile à la grande majorité, loin de moi l’idée d’en priver qui que ce soit.

Cependant, il est ridicule de voir quelqu’un masqué refuser d’entrer dans une boutique lorsque quelqu’un d’autre ne l’est pas.

D’assister à des mécanismes de délation avilissants, associés à des polices sanitaires liberticides.

De considérer comme suspecte toute personne malade ou susceptible de le devenir.

D’incarcérer les gens en fonction de leur état de santé ou de leur choix vestimentaire.

À titre d’exemple, cet été la Serbie a fait figure de proue, contrairement aux Gilets Jaunes, en renversant les nouvelles mesures de son gouvernement en seulement trois jours.

La détermination des Serbes aura permis à Belgrade d’obtenir une ré-ouverture de ses bars et commerces jusqu’à minuit, à la place du reconfinement initialement prévu.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

Me concernant, le réflexe immunité que j’applique quotidiennement reste la Phycocyanine dosée à 10g par litre.

Sources et références :

1. Amazonie : Le covid se rapproche dangereusement des tribus isolées : https://www.nationalgeographic.fr/sciences/2020/08/amazonie-le-coronavirus-se-rapproche-dangereusement-des-tribus-isolees
2. Les vaccins Covid approchant de la ligne d’arrivée utilisent une nouvelle technologie : https://www.voanews.com/covid-19-pandemic/covid-vaccines-approaching-finish-line-use-new-technology
3. AstraZeneca suspend son essai de vaccin pour examen de l’innocuité : https://www.nytimes.com/2020/09/08/health/coronavirus-astrazeneca-vaccine-safety.html
4. Syndrome respiratoire aigu sévère Coronavirus 2 (SRAS-CoV-2) et système nerveux central : https://www.cell.com/trends/neurosciences/fulltext/S0166-2236(20)30091-6?_returnURL=https%3A%2F%2Flinkinghub.elsevier.com%2Fretrieve%2Fpii%2FS0166223620300916%3Fshowall%3Dtrue
5. Serbie : Pourquoi le virus déclenche la colère ? https://www.courrier-picard.fr/id114758/article/2020-07-11/serbie-pourquoi-le-virus-declenche-la-colere

Pour soutenir Réponses Bio et nous permettre de rester un media indépendant, RDV sur notre page Tipeee en cliquant sur ce lien.