Est-ce pour pouvoir sortir plus souvent et plus facilement ?
Parce que le monde souffre de solitude ?
Ou, grâce au télétravail, parce que beaucoup disposent de davantage de temps pour s’occuper d’un animal ?
Quelles qu’en soient les raisons, les adoptions d’animaux de compagnie explosent depuis que les confinements et restrictions de déplacement entravent vie sociale et sorties de la majorité des Européens.
Voyages annulés, rassemblements, fêtes de famille et festivals interdits, sorties restreintes…
Les bêtes à poil et à plume ne vous permettront peut-être pas de vous joindre aux ministres lors de leurs dîners au restaurant, mais semblent néanmoins aider beaucoup d’entre nous à supporter les vagues de confinement.
Apportant réconfort et joie de vivre lorsque les contraintes s’accumulent et que le moral s’épuise.
Selon un récent sondage, 84 % des personnes partageant leur quotidien avec des animaux de compagnie, affirment que leur animal les aide à mieux vivre les restrictions liées au Covid-19.
Rappelons que pour beaucoup, depuis ces dernières années l’animal de compagnie est désormais la forme de vie intelligente avec laquelle ils passent le plus de temps au quotidien.
Attention toutefois, l’adoption d’un compagnon à quatre pattes doit être réfléchie et non compulsive, il s’agit d’un engagement.
Après les canins et félins, lapins, cochons d’Inde, hamsters, rats, perruches, caméléons, tortues et escargots, chèvres, ânes, poules et parfois même lamas… le soutien psychologique et affectif n’est plus l’apanage des chats et des chiens.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
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