Opter pour le vivant, c’est avant tout prendre soin d’ignorer royalement ce qui s’y oppose.
Ne laisser le moindre courant d’antipathie ou de peur entraver un instant notre empathie naturelle pour la vie, ainsi que notre joie de la partager avec tous.
Rendre hommage au vivant, c’est se respecter soi-même en respectant tout ce qui renferme la vie.
C’est assurer à toutes les espèces qui viendront après nous, y compris nos descendants, de toujours pouvoir compter sur ce bien.
Le boycott, si l’on considère une approche positive de la protection du vivant, n’est qu’un aspect tout à fait secondaire.
Il n’est pas totalement dénué d’importance, mais ce n’est que lorsqu’il s’articule dans la continuité d’une ambition plus noble, qu’il prend tout son sens.
Lorsque nous optons pour une source d’énergie propre, nous investissons nécessairement dans un domaine réduisant les moyens financiers d’une industrie polluante, à laquelle notre cotisation échappe.
Cependant, nous ne souhaitons pas détruire des centrales nucléaires ayant permis l’apogée d’une hyper-industrialisation, même si elle est aujourd’hui archaïque.
Nous souhaitons laisser le temps aux milliardaires contrôlant ces secteurs de réinvestir leurs fortunes dans un sens commun, indispensable à tous.
Tandis qu’en visant uniquement le prisme du boycott, certes, nous mettons plus rapidement à mort une industrie polluante, toutefois nous risquons en même temps de devenir les auteurs de conséquences dramatiques.
Dans notre exemple, la privation immédiate et totale de ressources pour l’industrie nucléaire mènerait soit à un désastre écologique, soit à une dictature militaire.
Conséquences étant bien évidemment toutes deux diamétralement opposées aux bonnes intentions ayant motivé votre boycott.
A contrario, en laissant faire et consommant « comme tout le monde », les puissances économiques se sentiraient bien trop libres de prolonger leur investissement dans le nucléaire, en dépit de toutes les promesses électorales.
Considérant l’importance de ces nuances, la voie que nous aborderons donc dans cette liste de résolutions pour l’année à venir, propose un esprit de transitions douces permises par la réorganisation naturelle des marchés, de l’offre et de la demande.
En investissant dans des énergies et modes de vie plus propres, vous épuisez progressivement les moyens financiers des industries nucléaires, tout en les contraignant à convertir et adapter leurs ressources vers de nouveaux modèles de production.
Restituant leurs richesses au monde, pour éviter de rejoindre trop rapidement les dinosaures du Jurassique.
Mais ce n’est pas en s’opposant à ces industries que nous parviendrons à un réel changement.
C’est en misant, créant, consommant, appelant, voire en finançant, apportant de l’énergie, spéculant sur les valeurs qui nous tiennent à cœur, que nous favoriserons le travail spontané de la Cohésion Universelle.
Les industries s’opposant à celles œuvrant pour le respect du vivant devront s’adapter par une innovation verte bien plus volontaire qu’un bilan carbone, ou disparaître.
Et ce n’est que pour mieux les ignorer, que nous indiquerons les principales enseignes à boycotter.
Ceux travaillant dans ces secteurs devraient d’or et déjà considérer que leur temps, leur énergie et leur volonté d’être heureux en général seraient bien mieux respectés en œuvrant avec, pour ou dans une entreprise interagissant positivement vers la transition dont il est ici question.
Les cinq propositions suivantes sont autant de lignes conductrices susceptibles de mener à la réorganisation de secteurs ou d’activités ne respectant pas le vivant.
En fonction de l’intensité avec laquelle nous les soutiendrons, ils émergeront ou disparaîtront.
1. Pour une santé naturelle et consciente
Opter pour une santé naturelle, c’est avant tout affirmer être maître de son corps, en saisir les mécanismes essentiels et favoriser quotidiennement son bon fonctionnement.
Contrairement aux croyances populaires, le principe de santé naturelle n’a jamais été opposé au diagnostic du médecin généraliste.
Une longue étude du corps humain ainsi que de sa biochimie est souveraine pour identifier rapidement et précisément un mal.
Cependant, opter pour la santé naturelle signifie aussi bien comprendre le mal que le résoudre à la source, prenant soin d’éviter d’en alourdir les conséquences.
Refuser l’ingestion ou la transfusion de molécules de synthèse susceptibles de cacher à l’organisme les signaux de douleurs, d’inflammations, etc. évitera de saper le travail des défenses immunitaires tout en se préservant de l’intoxication.
Préférer l’emploi de molécules naturelles à même de calmer la douleur tout en accompagnant et régulant les processus de défenses spontanées, est bien plus appréciable.
Par conséquent accepter un diagnostic, des prises de sang ou des conseils, tout en refusant de suivre aveuglément des ordonnances motivées par les labos, fait partie du tout premier réflexe nécessaire à la réappropriation des mécanismes naturels de l’entretien de votre santé.
Massivement, une telle consommation aura pour conséquence d’équilibrer les marchés des lobbies pharmaceutiques avec les laboratoires de santé naturelle et les artisans, au même titre que l’agroalimentaire et la bio l’ont fait.
Certains « spécialistes » vous diront qu’une telle chose est impossible, toutefois les mêmes prédisaient que l’alimentation biologique ne serait qu’une mode passagère.
Refuser les vaccins, c’est refuser d’entrer le moindre orteil dans un engrenage qui vous délestera de la responsabilité de votre corps.
Si, ce faisant, les médicaments en deviennent plus rares et plus chers, les médecines naturelles n’en seront que plus variées, plus sûres, et accessibles à tous.
Et, par la même occasion les biotopes, artisans et écologistes apportant cette diversité, pourront enfin prospérer et motiver d’importantes adaptations futures qui profiteront à l’ensemble de la société.
Les vaccins habituels laissant abruptement place à des technologies plus dangereuses encore, l’hygiène de vie et la compréhension de la notion de terrain, ainsi que l’entretien de celui-ci, pourront avantageusement se substituer à de trop nombreuses visites chez le médecin.
2. Pour une alimentation saine et variée
Par le bais d’habitudes rapidement transformées en drogues par l’habileté des chimistes de l’industrie agroalimentaire, nous avons fait une place inconsidérée à des myriades de produits amenuisant nos forces physiques et morales, tout en polluant la planète.
A savoir :
- Les plats industriels préparés avec additifs, conservateurs et agents de saveur.
Que vous pourrez facilement remplacer par des jus frais, des paniers de fruits et légumes, ainsi que de savoureux super aliments.
En préparant les repas à la maison, afin de garantir autant que possible la fraîcheur des matières premières.
- Les eaux en bouteilles plastique ou PLA destinées à une consommation quotidienne.
Qu’il est possible de remplacer par une osmose inverse portative, en prenant soin de minéraliser et ioniser négativement l’eau à l’aide de blocs de charbon activé, et en la dynamisant avec les minéraux les plus demandés par votre organisme.
- Toute forme de préparation nécessitant l’usage d’un four à micro ondes.
Que vous pourrez remplacer par de nombreux accessoires bien plus propices à la cuisson des aliments ou, faute de moyens, vous contenter d’un bon vieux four à gaz.
Tout en évitant soigneusement les machines auto-réparatrices et auto-nettoyantes de l’électroménager actuel, à la base d’une industrie de nanotechnologies similaire aux lobbies pharmaceutiques.
- Les sucres industriels ainsi que les préparations en incorporant systématiquement dans leur composition.
Qu’il conviendra de remplacer par de véritables sucres naturels, rééduquant au besoin les papilles des plus jeunes.
Pour ce faire il y a les véritables tablettes de cacao cru, les fèves de cacao aux fruits, fruits séchés, purées d’oléagineux, super fruits et, une fois de plus, les fruits et jus frais.
- Les gadgets abusant de pétrole, matières plastiques ou PLA.
Auxquels l’on préférera des matières organiques ; ou au moins, lorsque c’est possible, on réutilisera le contenant plastique, avant un recyclage méticuleux.
Soit, en définitive, plus de quatre-vingts pour cent de ce qui constitue actuellement le catalogue des hyper, super-marchés et supérettes.
Il s’agira de préférer la consommation de fruits et légumes bio et locaux, d’épices et fruits exotiques bio et équitables, d’aliments frais à cuisiner… et de recettes équilibrant le goût et l’apport nutritionnel.
Favorisant les circuits courts, mais aussi les voies maritimes et commerciales acquises au fil des siècles, faisant désormais partie du patrimoine de nos cuisines occidentales multiculturelles.
Un patrimoine dynamisant l’artisanat sous toutes ses formes.
Tant pour la nourriture physique qu’il permet, que pour la vitalité intellectuelle nécessaire au développement de valeurs émergentes.
Évitant les écueils de révolutions culturelles brûlant aveuglément les leçons de leurs ancêtres.
3. Pour une attention focalisée sur les écosystèmes du vivant
Chaque centime dépensé, chaque effort, chaque information glanée, chaque minute devrait marquer très clairement notre volonté à discerner en tout point ce qui peut avoir une conséquence sur les écosystèmes du vivant.
Il nous appartient d’adopter une vigilance constante concernant le moindre produit que nous puissions employer, emprunter, plébisciter, ou conseiller.
Bannissant unilatéralement les marques manquant de transparence quant aux informations relatives à la santé du consommateur ou de l’environnement.
Préférant les emballages réutilisables, même s’ils sont en plastique, et s’assurant de la possibilité de trier et recycler ce qui peut l’être.
Préférant toujours soutenir une entreprise œuvrant réellement pour le vivant.
Mettant à l’honneur les plantes et herbes sauvages, les randonnées et balades, la cueillette de champignons, la vitalité des forêts…
4. Pour une prise de conscience des enjeux actuels
L’économie traditionnelle s’effondrant et le web 3.0 émergeant, il devient plus complexe de préserver son pouvoir d’achat tout en assumant une consommation libre de produits essentiels, d’informations, et finalement de tout ce que proposait le web 2.0 lorsqu’il était encore libre.
Des dizaines de monnaies numériques apparaissent, prenant tour à tour autant d’importance dans l’univers virtuel dont elles sont issues, qu’elles le seront demain pour acheter votre pain quotidien.
Investir dans certaines d’entre elles donnera davantage de perspectives aux libertés du web 2.0, spéculer sur d’autres risquera de l’achever au profit du web 3.0.
Il en va de même pour tout type de technologie émergente.
Discerner les fausses promesses des vraies solutions, fait partie de notre responsabilité commune dans l’évolution immédiate du monde.
Refuser Nestlé, Total, EDF, Areva, Pfizer, Danone, Auchan, Carrefour, Lidl, Intermarché, McDonald, Coca-Cola, Monsanto, Servier, Amazon, Facebook… ne sera suffisant que dans la mesure où l’on sait remplacer leurs services par des équivalents respectueux du vivant.
Considérant fondamentalement, à la fois le bien-être des consommateurs et celui de l’environnement.
Ainsi refuser le pétrole pour favoriser l’énergie nucléaire en consommant abondamment des véhicules électriques, ne sera pas une solution de long terme.
Le problème ne résidant d’ailleurs pas tant dans la forme d’énergie, ou notre capacité à concevoir des véhicules s’y adaptant, que dans la volonté du marché de permettre une libre circulation de cette dernière.
5. Pour une résilience de l’information et des produits de consommation
Puisque les dernières vagues de censure ont assimilé la presse libre aux lanceurs d’alertes, tentant de décrédibiliser les uns comme les autres, il conviendra de prendre son temps, tout le temps nécessaire à une bonne intégration des informations glanées.
Que ce soit à la télévision, dans la presse quotidienne, dans la plupart des milieux de l’édition papier, et de plus en plus uniformément sur le web, la désinformation va bon train.
OMS, AFP, instituts de renom, prestigieux magazines, antennes gouvernementales et autres marques de référence, ne sont désormais plus que les garants d’une information formatée par les lobbies.
Si vous voulez être absolument sûrs de voir disparaître jusqu’à la dernière trace de vos libertés, écoutez-les !
Autrement il conviendra de choisir des sources alternatives spécialisées dans leurs disciplines, tout en prenant soin d’éprouver soigneusement le bien-fondé de chaque information.
La volonté individuelle de chacun étant l’arme la plus efficace pour mettre en pratique des résolutions réellement ancrées dans le présent.
Que 2022 soit pour vous l’occasion d’en saisir l’opportunité, sous la bienveillante égide de la nature.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
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Merci.
Partageons les sites de Qualité qui défendent la Vérité comme actuellement :
« verite-covid19.fr ».
MERCI
Nous, consommateurs, avons le pouvoir de changer les choses et de laisser aux nouvelles générations un monde meilleur et pus propre.
Notre vie est faite de choix, alors quels choix allons-nous faire pour nos enfants ?
MERCI !
merci !
c’est le « buycott » déjà initié par ailleurs
Merci une bonne Année surtout santé à vous tous et toutes.
Nous vivons une bataille la Lumiére contre le Satan qui n´a plus beaucoup de temps pour réaliser ses objectifs.
Belle journée dans le ViVant.
Merci pour ce talentueux message de paix et d’harmonie. Ensemble nous devons avoir la force de nous épanouir dans un monde plus juste, plus équitable et bienveillant. Merci à toute votre équipe pour votre dévouement
Merci !
MERCI
Merci pour vos articles très instructifs et utiles
nous appliquons autant que possible ces conseils depuis déjà longtemps,question de bon sens et sens de nos responsabilités…merci pour vos articles et bonne année, quelle nous apporte les changements que nous attendons !
Merci !
Meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2022 🌞 et que l’on retrouve notre liberté…..
Merci pour vos lettres toujours très intéressantes.
Bien cordialement.
Bon soleil,
Très positif !
Merci