Bronches fragilisées ? Inflammations ? HE de Manuka et Curcuma, mode d’emploi

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Depuis l’apparition de différents variants du SARS-CoV, dont la manipulation génétique semble avoir amplifié la capacité du coronavirus à se transformer en agent pathogène latent, se réfugiant tant dans les bronches, que le système digestif ou le côlon, que penser de son action à long terme ? (1) (2)

Sans forcément y voir une relation de cause à effet, de par le monde, des milliards de personnes bien portantes ayant ou non été diagnostiquées positives au Covid, se plaignent de désagréments si variés et parfois si insignifiants, que les inquiétants rapprochements d’éminents médecins, comme par exemple ceux du Pr Montagnier, sont encore considérés comme marginaux.

Bien qu’un déni relativement tenace continue d’opérer en la matière, il semble pourtant plausible que des conséquences totalement inconnues sur le long terme soient actuellement en cours d’action.

Un des risques pouvant s’avérer, dans le temps, tout aussi dramatique que les décès dus au Covid, ou les conséquences de molécules inconnues répandues lors des campagnes vaccinales « anti-covid », serait susceptible de se traduire par un épuisement généralisé de l’organisme.

Fort heureusement, nous sommes enfin arrivés à un stade où la dangerosité du virus semble décliner de jour en jour, pour, on l’espère, retourner à sa nature originelle de banal coronavirus, et disparaître.

Montrant par la même occasion que la manipulation génétique d’un virus bénin, ne semble pas avoir la capacité de durer sans une relance artificielle, ou mise à jour, environ tous les six mois.

Autant qu’il m’a été donné de l’observer en ma qualité de rédac’chef, et malgré l’emploi de précautions indispensables comme le renfort de la Phycocyanine et la micro-nutrition orientée vers les antioxydants vivants, ou encore la dépollution au charbon activé, certaines personnes auront malgré tout pu se laisser submerger par de nouvelles vagues inattendues.

En conséquence de quoi, parfois même sans bien s’en rendre compte, des symptômes allant de très bénins à chroniques peuvent insidieusement faire leur apparition.

La surenchère virale

Le corps humain est doté de mécanismes naturels s’inscrivant dans une systémique vivante, située quelque part entre les échelles microscopique et macroscopique de l’univers.

En d’autres termes, si l’échelle de valeur du vivant est susceptible d’être sensiblement différente entre un virus, un microbe et un organisme humain, tous ces attributs, dans la mesure où ils sont d’origine naturelle, répondent à un fonctionnement complémentaire.

Vous n’êtes pas sans savoir qu’il existe une chaîne du vivant inter-équilibrant l’écosystème environnemental, animal, végétal, partagé par tous.

Eh bien, vous devriez aussi savoir que l’humain, pour fonctionner de manière optimale, est censé s’intégrer sans réticence à cette chaîne.

Si bien qu’en fonction de la vitalité de chacun, il n’est pas rare qu’un petit virus dévore un gros animal ou vice et versa.

Même si l’on faisait abstraction des diverses pollutions modernes en admettant que vous compreniez tous les bénéfices et modes d’emploi du Moso 3000, demeure un problème de surenchère virale tout à fait comparable au virus du Sida.

Dans la mesure où, comme nous l’avons évoqué, l’équilibre organique se concrétise sur un ensemble de fonctions, si ce n’est épuisantes, nécessitant tout au moins une régénération mentale et physiologique quotidienne.

Sur la base de ce simple constat, que se passerait-il si, pour la première fois depuis l’apparition du genre humain, un artefact viral embarquant une séquence inconnue par la nature, faisait son apparition ?

Dans ces conditions une surenchère virale, se cumulant aux traces d’artefacts viraux, pourrait créer un terrain où l’oxydation, tant par le stress que le besoin constant de livrer bataille contre des pathogènes étrangers, serait capable de tourner le merveilleux équilibre cellulaire humain en la défaveur de ce dernier.

L’exemple le plus précis à donner en ce sens, serait la faculté du syndrome d’immunodéficience acquise à exténuer le système immunitaire, jusqu’à ce qu’un simple coronavirus, ou grippe, soit en mesure de décimer un homme ou une femme bien portant(e).

Si c’était le cas, il ne suffirait pas d’être sorti(e) vivant(e) de cette « crise » pour crier victoire.

Les Covid longs et bronchites bénignes persistantes s’installant en symptômes chroniques, nécessitent très probablement une décontamination synergique, assurant tant le traitement des zones touchées que l’élimination des molécules parasitaires et virus morts.

Le traitement et la dépollution des zones successives

Nous avons longuement parlé de la dépollution intestinale au charbon, de la réinformation du système immunitaire par la Phycocyanine, de la protection des voies respiratoires par les huiles essentielles, ou de l’ingestion soutenue d’antioxydants vivants.

Vous en connaissez déjà très probablement les vertus.

C’est pourquoi nous allons tout de suite nous focaliser sur un point non moins intéressant, mais bien plus pratique :

Les modes d’emploi qui vous permettront de prévenir et traiter l’installation de troubles bronchiques, intestinaux, cérébraux et cardiaques, voire même nerveux et neuronaux.

1/ L’application d’une synergie d’huiles essentielles prévenant et traitant les troubles chroniques

La recette que je vais maintenant partager avec vous, a tout spécialement été étudiée pour libérer les bronches des résidus latents du Covid.

D’une part avec l’emploi d’huiles essentielles reconnues déjà efficaces sur les variants des SARS-CoV (3), d’autre part avec celui d’une autre, plus rare, dont une étude récente montre son étonnante capacité à neutraliser les processus inflammatoires liés à l’évolution du Covid.

À savoir les huiles essentielles de Manuka et d’Eucalyptus globulus, et l’huile essentielle de Curcuma, capable d’empêcher la prolifération virale et de protéger la réponse inflammatoire. (4)

Il conviendra donc de vous procurer un flacon d’HE de Curcuma des Indes de la meilleure qualité, un flacon d’HE de Manuka, un flacon d’HE d’Eucalyptus globulus, un flacon d’HE de Pin sylvestre, ainsi qu’un peu d’huile de noyau d’abricot pour protéger la peau et dynamiser l’action des huiles.

Notez qu’en cas de troubles cutanés vous pourrez ajouter à l’huile de noyau d’abricot un peu d’HV de rose musquée du Chili.

Mode d’emploi :

Dans un flacon en verre de 10ml ou plus, versez :

• 1 cuillère à café d’huile végétale de noyau d’abricot
• 30 gouttes d’huile essentielle d’Eucalyptus globulus
• 20 gouttes d’huile essentielle de Manuka
• 20 gouttes d’huile essentielle de Pin sylvestre
• 10 gouttes d’huile essentielle de Curcuma.

Mélangez, puis appliquer quelques gouttes de ce mélange dans le creux de la main du masseur, avant de frotter légèrement jusqu’à l’apparition d’une chaleur.

Procédez au massage sur le torse, le dos et le bas de la gorge, matin, midi et soir, en massage plus lent et complet avant le coucher, pendant deux semaines ou jusqu’à disparition des troubles.

Cette précaution vous permettra de tirer pleinement partie de la synergie de ces huiles essentielles sans risquer de vous brûler suite à une application directe ou un surdosage.

Comme vous le savez l’HE de Manuka est plus puissante que le Tea tree.

Antivirale, antibactérienne et antifongique, elle est aussi cicatrisante et peut être utilisée telle quelle, sans HV, contre quantité de problèmes cutanés :

• abcès,
• cors,
• coup de soleil,
• eczéma,
• escarre,
• herpès,
• infections,
• plaies,
• piqûres d’insectes,
• teignes,
• tiques,
• mycoses,
• verrues (en association à la sève de chélidoine)
• zona.

Son action s’avère reconnue contre une foule de problèmes d’origine respiratoire, comme par exemple :

• les bronchites,
• les états grippaux,
• les rhumes,
• les sinusites (en fumigation avec de l’HE d’Eucalyptus radiata)
• ou encore la toux.

2/ L’intelligence de la Phycocyanine pour l’immunité

Les nombreux articles rédigés sur ce sujet dans l’urgence de la situation, font encore partie à mes yeux de la meilleure approche sur le long court.

Tant pour soutenir la versatilité des interactions immunitaires, que pour fournir une énergie se matérialisant comme un joker majeur contre de nombreux troubles connexes, l’oxydation cellulaire, ou, tout simplement, la fatigue.

3/ La dépollution au charbon pour retrouver des bases saines

Si ce n’est déjà fait, ou s’il vous était arrivé de rechuter vers un quelconque variant après avoir entamé une cure de charbon, n’hésitez pas à entamer ou recommencer une cure d’une à deux semaines de charbon Moso 3000.

Pour dépolluer les nanoparticules, les métaux lourds, les traces virales dormantes dans les intestins et l’estomac, mais aussi divers types de polluants.

Il vous suffira de mélanger une cuillère à soupe (en bois ou en plastique) de poudre de charbon avec 35cl d’eau, à boire le soir ou le matin, loin des repas et des médications.

Les nombreuses alternatives offertes par l’HE de Manuka

Contre des troubles inflammatoires :

Il vous suffira de remplacer l’huile essentielle d’Eucalyptus indiquée dans la recette présentée plus haut, par une HE de Menthe poivrée.

À raison de 20 gouttes de Menthe poivrée pour 20 gouttes de Manuka et 40 gouttes de Curcuma, diluées dans 20ml d’huile végétale.

Massez trois fois par jour, ou plus en fonction des douleurs, jusqu’à amélioration de la situation.

Contre les troubles cutanés :

Dans un flacon d’au moins 10ml, mélangez :

• 100 gouttes d’huile végétale de Rose musquée
• 20 gouttes d’huile essentielle de Lavande fine
• 20 gouttes d’huile essentielle de Laurier Noble
• 20 gouttes d’huile essentielle de Manuka
• 20 gouttes d’huile essentielle de Niaouli.

Mélangez bien avant d’appliquer sur les zones concernées, deux à quatre fois par jour, jusqu’à disparition des troubles.

Champignons, herpès, piqûres d’insectes :

Si les troubles sont légers, il vous est possible de vous contenter de quelques gouttes d’HE de Manuka pure.

Cependant pour les zones étendues il conviendra de diluer l’huile essentielle de Manuka dans une huile végétale de noyau d’abricot à raison de :

Appliquez 1 à 3 fois par jour en massant la zone touchée, jusqu’à disparition des symptômes.

Pour les peaux grasses :

Dans un flacon en verre d’au moins 10ml, mélangez :

• 100 gouttes d’huile végétale de Jojoba,
• 20 gouttes d’huile essentielle de Manuka,
• Une pression de Bambou Spray.

Secouez pour bien émulsionner le mélange, puis appliquez quelques gouttes de cette synergie soir et matin.


En prévention et traitement des gingivites, mais aussi des ulcères buccaux, des amygdalites et de la mauvaise haleine :

Versez l’équivalent d’une pression de Bambou Spray dans un gobelet en verre, mélangez avec quelques gouttes d’huile essentielle de Manuka.

Gargarisez-vous avec le contenu en prenant bien soin de ne pas en avaler, laissez reposer sous la langue quelques minutes, puis crachez le tout après avoir fait pression sur les dents et les gencives.

Laissez agir un quart d’heure de plus sans boire et sans manger, puis rincez vous la bouche à l’eau claire avant de boire un grand verre d’eau.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

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HE Manuka sauvage

HE Curcuma des Indes bio 10ml

Sources et références :

  1. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34239265/
  2. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32915959/
  3. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32408699/
  4. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8138567/
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maddy
maddy
2 années il y a

Avec mon asthme l eucalyptus n est pas recommandé, et là après une visite chez le coiffeur son cumulus à lâché et voilà bronches obstruées, fièvre etc soigner à l azithromycine, alors que je me soigne en homéo’ depuis 33ans, ce poison obliger de le prendre pour m en sortir! peut on faire la préparation sans l eucalyptus S.V.P merci pour votre réponse Sincères salutations

Réponses Bio
Administrateur
2 années il y a
Répondre à  maddy

Maddy Bonjour,

Oui, il vous est tout à fait possible de remplacer l’Eucalyptus par l’huile essentielle de Iary Sauvage, qui est indiquée en cas de troubles asthmatiques.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

GERARD
GERARD
2 années il y a

Merci .

Marie-line
Marie-line
2 années il y a

Merci beaucoup pour toutes ces précieuses informations.

Mottier
2 années il y a

Articles très bien faits. j ai découvert aussi l’inhalation aux cristaux d eucalyptus. attention ne pas confondre avec les cristaux de menthe.

suricate
suricate
1 année il y a

(pour n’évoquer que l’aspect pulmonaire). J’ai été opéré d’un cancer des poumons en 2005; sur le cancer était le germe d’une tuberculose pulmonaire. Traitement inefficace et après d’autres analyses, ils ont diagnostiqué une bactérie atypique, le Xénopi. En tout, 4 ans de traitement…. très très lourd à supporter ! Puis différents épisodes de grandes maux pulmonaires, un des derniers, qui a duré qqs années, est un champignon, l’Aspergillus (traité) et il y a un an et demi, une embolie pulmonaire (avec une thrombose profonde).Aujourd’hui, Emphysème, BPCO à un stade avancé. Que me conseillez-vous ? J’ai essayé des HE, sans résultat,… Lire la suite »