Certains scientifiques et médecins ne partagent pas l’opinion de la majorité de leurs confrères à propos du virus du SIDA, ou celui du Covid.
Leurs hypothèses ne trouvant, bien entendu, aucun écho dans la grande presse, je me devais de leur donner l’occasion de s’exprimer.
Que le lobby pharmaceutique œuvre activement, depuis fort longtemps, à entraver la diffusion des médecines naturelles, tentant de les tourner en ridicule et lançant des contrevérités les concernant, n’est pas nouveau.
Mais qu’il invente purement et simplement des maladies pour mieux vendre ses médicaments est plus difficile à avaler !
On se doutait de l’existence de telles manigances pour le SIDA et les similitudes avec le Covid pouvant faire l’objet de semblables manipulations, s’ajoutent aux révélations du Professeur Montagnier.
Certes, nombre d’illuminés se chargent de faire courir des rumeurs à propos de tout et n’importe quoi.
Nous invitant, là encore, à une certaine prudence face à la contestation.
On se souvient notamment qu’en matière de SIDA, il fut un temps où certains accusèrent le gouvernement américain d’avoir créé volontairement le virus et orchestré sa dissémination.
Délires science-fictionnesques ?
Toujours est-il qu’aujourd’hui encore de nombreux scientifiques dissidents contestent le bien-fondé de la thèse, communément admise, selon laquelle le SIDA serait dû à un rétrovirus ou, beaucoup plus récemment, selon laquelle le Covid serait le résultat d’un coronavirus naturel.
Aussi curieuse qu’elle puisse paraître à la plupart d’entre nous, cette hypothèse concernant le SIDA n’en fut pas moins formulée par des chercheurs et des médecins figurant parmi les plus hautement qualifiés.
On y retrouve entre autre le professeur Etienne de Harven, spécialiste en microscopie électronique, successivement chercheur dans le plus grand institut d’étude sur le cancer des États-Unis puis professeur d’anatomopathologie à la faculté de Toronto.
Il a développé des arguments contre l’hypothèse de la cause rétrovirale du SIDA qui, dans la plus grande liberté de pensée qu’est celle de son auteur, peuvent ébranler les certitudes de beaucoup concernant cette terrible pathologie dont il ne met, bien sûr, à aucun moment la réalité clinique en doute.
Le SIDA.. pour justifier les dépenses de la recherche
Selon le professeur Harven, il n’existe donc aucune raison scientifique pour attribuer au rétrovirus VIH des caractéristiques pathogènes.
Et pour expliquer les raisons de sa position, il se livre tout d’abord à un bref historique.
Tout a commencé dans les années soixante-dix, nous dit-il.
En 1972, le président Nixon fait passer une loi, dans le cadre de ce qu’on appelait alors « la guerre contre le cancer », dont le rôle – pourtant totalement hypothétique – des rétrovirus dans la genèse des cancers humains était lourdement impliqué.
Inutile de dire qu’à partir de ce moment, I’hypothèse en question a pu jouir d’un soutien financier prédominant.
Pourtant, durant toutes les années soixante-dix, on n’a jamais pu démontrer ni la présence ni le rôle d’aucun de ces virus en aucune matière cancérologique humaine.
À la fin des années soixante-dix, l’inutilité de tous ces efforts de recherche commençait à être évidente, et devint la cible des critiques… si bien qu’en 1981, lorsqu’une nouvelle pathologie est apparue chez des homosexuels et des drogués en Californie et à New York, et qu’on suggéra qu’elle pouvait éventuellement être causée par des rétrovirus, ce fut un véritable sauvetage de la recherche en pathologie humaine.
Immédiatement, les laboratoires de recherche fondamentale en cancérologie qui, dans les années soixante et soixante-dix, s’occupaient uniquement de cancers, se sont jetés sur l’étude du SIDA… tout simplement parce que c’était une manière de justifier l’immensité des crédits qu’ils avaient reçus, avec un résultat, jusqu’alors, totalement nul.
Séropositivité ne veut pas dire virus
Il est donc bien possible, conformément à ce qu’avance le professeur Harven, non seulement qu’il n’existe aucune preuve que le VIH soit la cause d’une maladie quelconque, mais, qui plus est, que ce virus n’ait jamais été isolé de façon scientifiquement acceptable.
Toute cette confusion orchestrée repose, d’après lui, sur un simple jeu de mot.
Le fait d’avoir des anticorps circulant dans le sang n’est, en effet, pas une maladie.
Tout le monde a évidemment des anticorps, et leur fabrication constitue une réaction protectrice permettant de lutter contre les pathologies infectieuses, qu’elles soient virales ou bactériennes.
Le drame, dans ce que le professeur Harven appelle « cette pathétique aventure du SIDA », est qu’on angoisse la population du monde entier sur la base de données qui reflètent la présence d’anticorps… et non pas de virus.
On terrorise des gens, s’indigne-t-il, en les convainquant qu’ils sont séropositifs et qu’ils ont donc le virus.
Or, ils n’ont pas le virus ; ils ont des anticorps !
Si encore ces anticorps étaient spécifiques contre un virus bien isolé et proprement caractérisé, ce serait sans doute plus crédible.
Mais ces anticorps sont en réalité d’origines extraordinairement variées puisqu’il n’y a pas moins de soixante-dix conditions médicales susceptibles de provoquer leur élévation, comme par exemple les transfusions multiples, certaines vaccinations, les hépatites, les grossesses multiples, etc.
Ces tests ne valent donc absolument rien, conclut le professeur, et, sans eux, on ne parlerait plus de SIDA mais, par exemple en Afrique, de malnutrition, de manque d’hygiène, de tuberculose, de malaria et de toute la pathologie tropicale.
Cela ne vous rappelle rien ?
Il n’y aurait, finalement, aucune raison de considérer qu’un tuberculeux séronégatif est un tuberculeux, et qu’un tuberculeux séropositif est un malade sidéen, ou qu’une personne testée positive au Covid l’ai contracté récemment, et vice et versa.
Une épidémie… née de manipulation des chiffres se répétant à plus de quarante ans d’intervalle.
Par ailleurs, rappelle le professeur Harven, il n’existe aucun virus ni bactérie qui soit d’une multiplicité pathologique comparable à ce que l’on prétend maintenant être le cas du VIH.
Comment donc expliquer qu’on ait pu lui attribuer jusqu’à vingt-sept maladies associées ?
Eh bien, lorsqu’on s’est rendu compte que les chiffres de l’étude épidémiologique du SIDA ne correspondaient pas à la notion classique d’une épidémie, on a modifié la définition de cette maladie à la demande de l’OMS, qui n’a pas hésité à faire par la suite trois ou quatre autres modifications de ce type pour consolider la notion d’une expansion de l’épidémie.
Selon Etienne de Harven, en réalité l’épidémie n’existait pas et ne s’amplifiait pas.
Elle ne s’amplifiait, ajoute-t-il, que grâce à la modification de la définition du SIDA.
Ainsi, en prétendant qu’il y avait des maladies associées, on a pu jouer sur les chiffres d’une façon absolument spectaculaire.
Des nombres qui étaient modestes en 1988, devenaient astronomiques dans les années 92.
Cela ne vous rappelle toujours rien ?
Selon les groupes à risque, le SIDA aurait des causes diverses
Si ce n’est pas le virus, qu’est-ce qui a rendu malades les hémophiles, les drogués, les homosexuels et tous ceux dont on estimait qu’ils avaient été contaminés ?
Les hémophiles, répond le professeur, sont séropositifs parce que polytransfusés.
En d’autres termes, ils fabriquent des anticorps contre les protéines étrangères contenues dans le sang qu’on leur injecte.
Il n’est donc pas nécessaire d’évoquer ici la présence d’un prétendu VIH.
D’autre part, la mortalité des hémophiles séropositifs a été évaluée de 1980 à 1992, dans une étude extrêmement sérieuse, portant sur un très grand nombre de patients comparés à des hémophiles séronégatifs.
Les courbes sont particulièrement frappantes car il apparaît que la mortalité des séropositifs était stable de 80 à 86, mais qu’à partir de cette date, elle monte en flèche.
Or, c’est exactement à ce moment qu’on a commencé à donner de l’AZT, et cela à des doses exceptionnellement élevées.
Il est donc très probable que la mortalité des hémophiles à cette époque était essentielle due à une intoxication à l’AZT… et non au VIH.
Pour ce qui concerne les drogués, Etienne de Harven nous rappelle que la communauté scientifique sait, depuis 1906, qu’il existe une sensibilité accrue aux risques de maladies contagieuses chez les morphinomanes et autres drogués.
Il est donc parfaitement établi que les drogues dures sont susceptibles de déprimer la moelle osseuse, les lymphocytes et les défenses immunitaires ; et il n’y avait, en conséquence, aucune excuse en 81, lorsque les premiers cas du SIDA ont été définis, pour l’ignorer.
Quant aux homosexuels ayant été concernés par le VIH, il est de notoriété publique qu’ils utilisaient à des doses effarantes une drogue nommée « poppers », à base de nitrite d’amyle, ainsi, d’ailleurs, que de très nombreuses autres drogues… naturellement avec le même effet violemment immunodépresseur.
En Afrique, enfin, les phénomènes de malnutrition, de manque d’hygiène et de manque d’eau potable sont de toute évidence les premiers responsables du phénomène ; et sur ce point là, ajoute le professeur, tout le monde est d’accord, dissidents comme orthodoxes.
Une opinion qui dérange
Pour le professeur Harven, « la liberté de pensée est une affaire de financements ».
En matière de SIDA, les orthodoxes, « curieusement », jouissent tous de crédits substantiels versés par les fabricants de médicaments qui, en échange, attendent évidemment qu’on soutienne leurs profits.
Les thèses des dissidents provoquent donc systématiquement la panique chez ces orthodoxes qui craignent de voir leurs subsides mis en péril par le moindre rapprochement avec l’ennemi.
Mais un autre groupe s’oppose violemment aux dissidents, celui des homosexuels qui, eux, craignent que la mise en cause de leurs modes de vie dans la genèse du SIDA remette en question l’importante législation qui les protège aujourd’hui.
C’est d’ailleurs le lobby des homosexuels qui a exigé qu’on modifie le premier nom donné à la maladie, « GRID », c’est à dire « Gay Related Immune Deficency », qui leur semblait être une discrimination intolérable.
On a donc inventé le nom de « AIDS », mais il n’avait aucun rapport avec la cause originellement suspectée de la maladie.
Une culture de lymphocytes hautement rentable
L’article à l’origine de l’épopée rétrovirale, publié dans la presse médicale en 1983 par l’Institut Pasteur, reposait sur trois éléments.
Premièrement, on y lisait que des cultures cellulaires avaient été affectées avec des ganglions d’un patient sidéen ; et que, dans ces cultures, on avait isolé des particules pourvues de caractéristiques physiques de sédimentation qui ressemblaient de très près à celles de rétrovirus que l’on connaissait chez les animaux.
Deuxièmement, on y apprenait qu’on parvenait à reproduire certaines transformations de cultures cellulaires qui évoquaient une infection.
Enfin, le troisième élément était illustré par une photo de microscopie électronique représentant indiscutablement des particules de rétrovirus bourgeonnant à la surface de certains lymphocytes présents dans ces cultures.
Mais il faut savoir, explique le professeur Harven, que ces cultures étaient affreusement complexes.
On y trouvait mélangées des cellules extrêmement variées, si bien que leur viabilité semblait mauvaise, et que, pour ne pas les perdre, pour éviter que les cellules ne meurent, on y avait rajouté des lymphocytes, en l’occurrence issus du sang du cordon ombilical… ce qui constituait un choix fort malicieux puisqu’on savait bien, à cette époque, que le placenta humain contient énormément de rétrovirus endogènes, d’ailleurs sans aucun effet pathogène.
On ne pouvait donc rien faire de mieux pour être sûr de finir par voir des rétrovirus dans ces cultures !
D’ailleurs, à l’observation, ces rétrovirus, nous assure encore ce grand spécialiste de la microscopie électronique, sont bien ceux des lymphocytes du cordon ombilical et non pas ceux des lymphocytes du patient.
Et d’ajouter que toutes les images de rétrovirus publiées par la grande presse et qui hantent l’imagination populaire ne sont que des embellissements par ordinateur de particules de rétrovirus vues dans des cultures cellulaires, mais ne proviennent jamais d’un patient sidatique !
Qu’en pensez-vous ? Ces révélations nous ramènent étrangement aux événements de la crise du Covid. Le sujet étant de la plus haute importance, merci de partager votre avis dans les commentaires.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
À lire : SIDA, Supercherie scientifique et arnaque humanitaire, Jean-Claude Roussez – Marco Pietteur éditeur
Merci pour cet article.
En complément on pourra écouter le professeur Étienne de Harven ici:
https://youtu.be/hylBqwHkE-w
ou bien encore là :
https://youtu.be/MXWQ8rXj4kk
Merci encore pour cette démystification des plus nécessaires.
G.
Merci pour ces informations , c’est ce que je pense également mais je n’en parle pas trop car nous vite traités de complotistes
La réflexion qui me soit venue à la lecture de cet article est que la « libération du cannbis autorisé » et du cannabis thérapeutique délivré par les centres antidouleurs(Marinnol) qui a eu lieu quasiment au moment du COVID n’est pas le fruit du hasard . C’est comme si « l’encouragement » de sa consommation surtout en phase covid et post-covid (si je puis dire)était faite(en dehors de toute considération financière) pour: 1) affaiblir encore un peu plus les populations déjà affaiblies physiquement et psychologiquement par la vaccination et le covid en lui-même et toutes les privations de liberté, et entretenue par cette « fausse »… Lire la suite »
merci Réponse Bio, je suis tellement d’accord avec vous. On nous prend vraiment pour des idiot