À la longue liste des polluants et substances cancérigènes ou dommageables pour la santé, vient s’ajouter, comme vous le savez peut-être déjà, une technologie particulièrement délétère et sournoise, dont nous avons déjà parlé, et malheureusement, serons amenés à parler de nouveau. Ce polluant, cette technologie, c’est le graphène.
Capables d’altérer le code génétique humain comme animal, les nanoparticules d’oxyde de graphène et graphène réduit, font partie de ces toutes petites choses que l’on ne remarque pas, même lorsqu’il est trop tard, compte tenu de leurs deux ou trois atomes d’épaisseur pour quelques microns de surface.
En effet, comment relier des dommages de l’ADN pouvant se manifester de façons aussi diverses que variées, suite à une absorption dont on ignore tout ?
Puisque, vous devez en avoir entendu parler au cours de ces dernières années, ce type de nanotechnologies a envahi les applications médicales comme les vaccins et leurs successeurs à ARN messager, les salles de diagnostic, et tant d’autres inventions liées à la santé 2.0 auxquelles peu d’entre nous, à moins d’une longue cure de son seul antidote, le Charbon végétal ultra activé, auront échappé.
Étant donné que, comme toujours, mon rôle est de prévenir plutôt que de guérir, je vous propose de considérer l’apport de trois caroténoïdes spécifiques, souvent réservés à tort aux fonctions oculaires.
Fort de diverses études et d’une bonne connaissance du monde scientifique, on découvre aujourd’hui qu’ils protègent l’ADN par des voies bien particulières.
Les principaux caroténoïdes
Omniprésents dans les aliments végétaux, les caroténoïdes sont la raison de la coloration jaune, orange et rouge de nombreux fruits et légumes.
Des centaines de caroténoïdes ont été identifiés par les scientifiques.
Les principaux font partie du groupe de Vitamine A, comprenant :
- l’acide rétinoïque
- le rétinol
- le rétinal
- l’α- et le β-carotène
Néanmoins un second groupe, plus récemment découvert et n’étant pas associé à la Vitamine A, rassemble pour sa part :
- le lycopène
- la lutéine
- la zéaxanthine
- la β-cryptoxanthine
- et l’astaxanthine.
Leurs propriétés anti-oxydantes sont bien connues et leur rôle dans la prévention du cancer a été mis en évidence par différents articles dont celui de Peto et al.(1)
De nos jours, leurs fonctions ainsi que l’étendue de leurs capacités, commencent à mieux être comprises.
Les trois mousquetaires de la santé de votre code génétique
Selon une étude comparative d’Amaya Azqueta et Andrew R Collins, tous les caroténoïdes ne se valent pas. (2)
Des recherches sur leurs effets ont été menées à différents niveaux ces cinq dernières années, incluant :
- des cellules en culture
- des animaux de laboratoire
- et l’être humain.
Elles montrent une distinction claire entre les effets des caroténoïdes pro-vitamine A, et ceux des caroténoïdes ne faisant pas partie du groupe de vitamine A, à savoir le lycopène, la lutéine, l’astaxanthine et la zéaxanthine.
Or, les observations ont révélé que d’une part, le groupe de caroténoïdes ne faisant pas partie des vitamines A est considéré comme protecteur des dommages à l’ADN, qu’ils soient endogènes ou induits par des agents exogènes.
Et d’autre part, que les caroténoïdes provitamine A présentent un spectre d’effets plus variés, ayant quant à eux la fâcheuse tendance à ne pas protéger l’ADN plus qu’ils ne l’endommagent.
Une seconde étude complémentaire s’impliquant dans les mécanismes de protection de l’ADN, met plus particulièrement en relief l’effet protecteur de la lutéine, la zéaxanthine et l’astaxanthine contre les dommages des cellules de neuroblastome induits par les espèces azotées réactives. (3)
Ainsi lutéine, astaxanthine et zéaxanthine pourraient être considérées comme les trois mousquetaires de la protection quotidienne, ainsi que la prévention des dommages de l’ADN.
Et comme dans tout bon trio, D’Artagnan, le quatrième mousquetaire, sera interprété par le lycopène, que l’on trouve en généreuses quantités dans le concentré de tomates bio, la sauce tomate, et certains autres fruits comme la pastèque ou le pamplemousse.
Quatre caroténoïdes au secours de votre vue, mais pas uniquement
Un complément alimentaire largement connu et utilisé pour ses bénéfices sur la sphère oculaire, sur lesquels nous reviendrons prochainement, s’avère justement être un concentré de formes naturelles d’astaxanthine, zéaxanthine et lutéine.
Nous venons de voir le potentiel de ces caroténoïdes pour la protection de votre ADN et de votre vue, cependant il est intéressant de noter qu’ils sont également pressentis, bien que les recherches soient en cours, pour être de très bons préventifs des maladies cardiovasculaires. (4)
En outre, il est de plus en plus communément admis qu’ils jouent un rôle non négligeable dans la prévention des dégâts provoqués par les chimiothérapies. (5)
Cependant ce que la synthèse d’Amaya Azqueta et Andrew R Collins met plus particulièrement en évidence, au-delà des fonctions anti-oxydantes communes à de nombreuses propriétés, comportant la « première ligne de défense de l’ADN », c’est la seconde ligne impliquant une réparation des cellules endommagées, que ces caroténoïdes permettent.
Une concentration naturelle pour une prévention efficace
La théorie c’est bien, mais à quoi servirait-elle si l’on ne pouvait mettre ses bénéfices en pratique ?
Pour une prévention plus intense qu’un simple concentré de tomates, une diminution des radicaux libres ainsi qu’une réparation, si nécessaire, des cellules endommagées, une importante concentration de caroténoïdes est préférable.
À ces fins il existe un complément alimentaire faisant partie des grands classiques, testé et éprouvé depuis longtemps.
À la différence de nombreux autres, sa composition est transparente et ses effets assurés.
En voici les ingrédients détaillés :
- Extrait de raisins titré à 95% de proanthocyanidines (Vitis vinifera / pépins)
- Extrait d’acérola titrée à 50% de vitamine C naturelle (Malpighia Glabra / fruit)
- Zinc monométhionine
- Extrait de Marigold titré à 50% de lutéine (Tagetes erecta / fleur)
- Extrait de Marigold titré à 10% de zéaxanthine (Tagetes erecta/ fleur)
- Extrait d’Haematococcus titré à 5% d’astaxanthine (Haematococcus pluvialis / algue)
- Extrait de tomate titré à 10% de lycopène (Lycopersicon esculentum/ fruit).
Enrobés dans des gélules d’origine végétale, généralement tirées de la fibre de pin, de tournesol ou de maïs, loin d’être parfaites certes, mais tout à fait classiques et évitant les pollutions d’autres formes d’enrobages.
Un produit qui pourrait sembler anodin, mais qui est pourtant indispensable pour prémunir votre organisme d’une altération handicapante de votre code génétique.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Les trois mousquetaires de la protection ADN, mais aussi oculaire et cardiovasculaire, sont parfaitement complétés par le lycopène, notre fameux D’Artagnan qui à lui seul octroie des vertus anti-cancer plus ciblées, ainsi que par de la Vitamine C, dans cette formule concentrée et précise renforçant les défenses tout en évitant les dommages
Sources et références :
- Can dietary beta-carotene materially reduce human cancer rates – Nature (1981)-
- https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0027510712000723?via%3Dihub
- https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1011134407000620?via%3Dihub
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19852884/
- https://europepmc.org/article/MED/22418926
Merci pour ces précieuses infos .
Merci de nous informer toujours au plus juste.