Une fois n’est pas coutume, aujourd’hui je ne vous propose pas un article de mon cru, mais celui d’un de nos fidèles lecteurs, naturopathe et fondateur de l’association Pandora-Alsace.
Son texte concernant l’actualité vaccinale, empreint d’humour et de bonne humeur, m’a semblé à la fois pertinent et utile pour ne pas sombrer dans le déni et l’angoisse d’une époque marchant sur la tête.
La dérision et le rire étant à mes yeux des remèdes tout aussi importants que les autres, j’ai décidé de vous en faire profiter.
Je vous invite d’ailleurs, malgré son ton humoristique et ses anecdotes personnelles, à le faire lire autour de vous afin d’apprécier les réactions de vos proches, amis, et pourquoi pas, si vous en avez un attitré, de votre médecin traitant.
*****
Tout le monde en est convaincu, sans vaccinations répétées, nous aurions subi le même sort que les dinosaures !
Il en découle que déjà l’homme de Cro-Magnon, le Néandertal, Lucy, les Australopithèques… tout humain noir, jaune, blanc en voie d’extinction, hétéro, LGBT, Woke, déconstruit, né sur notre magnifique Terre depuis son inappréciable apparition a été vacciné !
Sinon comment expliquer que nous sommes passés de quelques millions d’individus mal embouchés à plusieurs milliards de citoyens branchés en l’espace de quelques siècles ?
Un peu d’histoire :
La vaccination a connu ses premiers balbutiements grâce à l’Anglais Jenner, un peu avant 1800, qui a mis sur le marché le premier « vaccin » contre la variole.
Pasteur, chimiste de son état, (ce qui laisse supposer qu’en fac de chimie on étudie l’immunologie, que l’on n’enseigne pas en fac de médecine…) n’est arrivé pratiquement qu’un siècle plus tard, avec le sien, contre la rage.
La légende du petit Joseph Meister « sauvé de la rage » ne coïncide pas totalement avec l’histoire car d’autres personnes avaient été mordues.
Questions innocentes : Le chien avait-il vraiment la rage ? Les autres victimes de morsures ont-elles guéri sans vaccin ? Ou bien la bave du chien aurait-elle été sélective ?
D’après sa définition un vaccin est préventif, pourtant Pasteur l’aurait rendu curatif…
Plus étrange encore, tous les animaux sauvages, qui n’ont jamais été vaccinés, ont eux aussi, sans doute par protection divine, continué leur petite vie terrestre sans être éradiqués par l’un ou l’autre des terribles virus peuplant la Terre ; et ces salauds d’animaux, snobant le miracle de la seringue de l’ère moderne, continuent à nous narguer du haut de leur totale ignorance scientifique !
Mais l’innommable, ce sont justement les dinosaures ! 180 millions d’années de vie à imprimer leurs gigantesques empreintes dans le sol de la planète sans aucun vaccin salvateur ?
Heureusement qu’une météorite a mis fin à cet apoplectique scandale.
Décidément les voies du seigneur sont impénétrables…
Étant donné que mon QI avoisine celui de Forrest Gump – 75 – je n’arrive pas à saisir comment on peut affirmer que la vaccination empêche de tomber malade… c’est au doigt mouillé prenant la température du vent ou selon l’état des entrailles d’un coq de trois ans révolus que l’on peut préciser cela ?
Les scientifiques vous diront que si je me vaccine et que je n’attrape pas la grippe, cela signifie que le vaccin m’a immunisé.
Cela voudrait donc dire que si je ne me vaccine pas et que je ne l’attrape pas non plus, c’est grâce à la sainte miséricorde ?
Cependant que dire des cas de figure où je me vaccine et je contracte quand même la grippe ?
Toujours est-il qu’on reçoit une note de bon citoyen en tendant le bras, et ça, c’est inestimable.
Prenons à présent l’exemple de la peste, qui a plus d’un siècle à son compteur, ou encore du choléra, du typhus, et même de la grippe espagnole des années 1918-1919, ou même de la grippe asiatique de 1957, et de celle de Hong Kong en 1969… qui ont disparu sans crier gare, sans vaccination généralisée et sans liquider l’espèce humaine. Peut-être qu’un arrangement avec le Saint-Esprit aura suffit ?
Étant donné que la vaccination n’est pas un geste médical, puisqu’elle se prodigue sans aucun diagnostic, autant faire appel à un plombier polonais.
Autre exemple marquant, quand on amène son toutou chez le vétérinaire avant de le vacciner, ce dernier prend la peine de peser l’animal pour adapter la dose à son poids. Mais pas de souci pour l’être humain pour qui l’on différencie uniquement les enfants et les adultes. Votre référent médical ne va quand même pas se compliquer la tâche en allongeant le temps d’un travail à la chaîne. « Time is money ! »
Que l’on pèse 35kg, 70kg ou 130kg, la même dose produira les mêmes effets !
Samuel Hahnemann, fondateur de l’homéopathie, pourra toujours se retourner dans sa tombe autant qu’il lui plaira.
Que l’on soit champion olympique, Miss France, un peu ventru, chétif de naissance, obèse, diabétique, politicien ou cinglé, la même dose pour tous, point final.
Tout cela, pour un esprit simple comme le mien, semble tout bonnement magique.
J’en ai des étoiles plein les yeux !
Pour conclure, une petite anecdote personnelle qui m’a beaucoup donné à réfléchir.
J’ai eu « droit » à l’obligation vaccinale du BCG pour mes 15 ans. J’étais au lycée et, malgré mon QI de 75, bon élève. En l’espace de 2 mois je suis devenu médiocre, vous voyez le tableau, et ma chère mère, inquiète de voir décliner les résultats de son rejeton adoré, a fait appel à la blouse blanche. Verdict : pleurésie avec primo-infection … Bien évidemment selon le médecin cela n’avait rien à voir avec la vaccination, la confiscation du carnet vaccinal avec le tampon faisant foi par le toubib de l’école confirmant cela …
Résultat, deux mois d’hôpital avec cortisone et autres joyeusetés, 20 mois de préventorium avec traitements chimiques, et une perte de capacité respiratoire à perpète à la clé…
Par contre, peut-être à cause de mon QI déplorable, il y a une chose que je n’ai toujours pas comprise, soixante années plus tard :
Comment un bacille, de Koch en l’occurrence, « inactivé » dans un vaccin, peut-il me protéger contre la tuberculose alors que ce même bacille, vivant et teigneux dans la maladie n’y arrive pas ?
Si quelqu’un a une explication à ce mystère, prière de me la communiquer, je mourrai moins idiot, bien que cela semble difficile.
C’est comme ce type, Bacon, qui en 1620 a sorti un dicton resté hermétique à l’intelligence supérieure des scientifiques :
« Pour commander à la nature, il faut lui obéir »
L’industrie pharmaceutique trouve probablement plus jouissif de mourir malade et avant l’âge, à l’hôpital, entouré d’une nuée de jolies infirmières que d’attendre de mourir bien plus tard, chez soi et de vieillesse, en vrai ringard !
Suite à mes études en naturopathie et à force d’exercer, j’ai développé cette théorie qui me semble expliquer beaucoup de choses, mais que les allopathes et labo pharmaceutiques ignorent totalement :
On y voit en rouge les biorythmes de l’immunité (haut en été, bas en hiver par manque de soleil, alimentation plus lourde, moins de mouvement et d’oxygène…)
En noir la toxémie, plus basse en été, plus haute en hiver (conditions inverses).
Quand la courbe rouge passe sous la courbe noire, une augmentation des risques de bronchite et de grippe.
L’organisme doit se débarrasser des déchets métaboliques (maladie aigüe).
On s’explique.
Notre vitalité et notre longévité sont fixées à la naissance et donnent la longueur maximale génétique de notre existence.
Quand la toxémie générale augmente, elle traverse les repères de bonne santé et l’organisme se retrouve dans la zone des maladies dites aiguës, qui ne sont que des réactions UTILES de nettoyage cellulaire. Le système immunitaire est dominant et fait son boulot !
La toxémie augmentant (avec la vaccination par exemple) l’organisme se retrouve dans une zone de maladies chroniques. Le système immunitaire est dépassé ce qui fait émerger les maladies chroniques.
Donc lorsque la vitalité baisse, la longévité se rétracte.
En guise de mot de la fin, je vous propose cette petite blague pour QI de moins de 100, donc à ma portée :
La vaccination c’est l’histoire de ce mec qui ouvre le parapluie par temps ensoleillé et qui, le soir venu, affirme ne pas avoir été mouillé grâce à lui.
Jean Huntziger
Naturopathe et fondateur de l’association Pandora-Alsace
bravo au naturopathe qui a écrit la lettre avec un bel humour
Merciiii
Merci pour ce texte plein d’humour. J’ai bcp apprécié le paragraphe sur la toxemie.
Par contre les recherches sur l’épigénétique contredisent ce point de vue sur la longévité ( « Notre vitalité et notre longévité sont fixées à la naissance et donnent la longueur maximale génétique de notre existence. »)
Au sujet de la vaccination, pour clore la polémique, ses contradicteurs et en confirmer lefficacité, il suffirait de publier une étude sur le comportement des anticorps après vaccination. Hors, à ma connaissance, aucune étude n’a prouvé l’efficacité de des anticorps post vaccinal.
Merci et au plaisir de vous lire…
à Grégory
Non l’épigénétique ne permet pas de dépasser « l’obsolescence programmée de l’homme », elle permet d’arriver, au plus près, de notre durée de vie génétique par le respect de l’alimentation, l’effort physique, le mental et un environnement favorable.. Le naturo qui a pondu l’article.
Vous n êtes pas malade, l autopsie prouvera que j’ ai raison !
Coluche.
Tout simplement magnifique ce texte ! bravo à ce naturopathe pour son QI à 75 et qui nous enchante par ce message très édifiant !