Le « projet Zéro », dictature médicale contre les pandémies version XXL ?

Depuis le tout début de la pandémie, en 2020, des rumeurs d’un gouvernement mondial s’appuyant sur une dictature sanitaire parcouraient les tuyaux des dernières rédactions indépendantes du globe. 

Peu avant que ces dernières, perdues entre des mouvements politiques incompréhensibles aux politologues les plus aguerris congestionnant les esprits dans une vision du Tout politique, disparaissent anonymement sous le poids de l’effondrement du pouvoir démocratique. 

Ces rumeurs parlaient d’un Bill Gates investissant des sommes colossales dans l’OMS, dix fois la participation de la France, et ce uniquement au bénéfice de la vaccination, par le biais de sa Fondation GAVI pour la santé.

Ces rumeurs évoquaient la possibilité d’une nouvelle pandémie qui suivra inexorablement la première, avec son lot de vaccinations expérimentales et de contrôle des citoyens. 

Et certaines, ne manquaient pas d’établir un lien de causalité avec un virus manipulé par l’homme, « mis en circulation » dans le but de lancer un mécanisme menant au contrôle économique, intellectuel et physique de la population mondiale. 

Or, bien que ces informations fussent difficiles à accepter, et que la rédaction de Réponses Bio ait décidé de faire le tour de la plupart des points de vue possibles sur le sujet, le temps, seul garant de la vérité, a parlé.

Il a parlé à travers un traité dont la tentative de signature, en préparation depuis près de quatre ans, commencera le 29 avril 2024 et prendra fin le 10 mai, pour une annonce publique le 24 mai. 

Un traité semblant redouté par la majorité des 194 États Membres de l’OMS ayant fait piétiner les négociations et retarder l’issue du débat. 

Paradoxalement, bien que les représentants de l’ONU et de l’OTAN pressent les gouvernements d’accepter cette mesure, on trouve en tête de liste des réactions opposées à cet accord, les pays occidentaux les plus riches, comme les États-Unis et certains pays de l’Union Européenne. 

Bien qu’il ne soit pas stipulé noir sur blanc que l’application de ce traité ait pour vocation de se soustraire à la souveraineté des États en cas de pandémie, les termes vagues évoqués dans les trente pages de la version révisée de ce « traité mondial sur les pandémies » semble aller bien au-delà des prérogatives de l’OMS. 

Par exemple, le concept « One Health » regroupe tant la santé humaine, qu’animale et environnementale. ⁽¹⁾  

Une entreprise apparemment vouée à être juge et partie, tout en regroupant en son sein des influences financièrement intéressées par la généralisation de formules chimiques, spéculant sur la mise à disposition d’une solution unique pour tous : le vaccin. 

Un vaccin ayant fait tant de victimes et de dégâts sur la santé humaine, sans aucune reconnaissance objective ni la moindre enquête indépendante d’envergure sur ses conséquences, que cette tentative pour le généraliser dérange. 

Les faits 

Rappelons brièvement les faits, dans leur chronologie, de ces quatre dernières années : 

– Un coronavirus de synthèse, relativement bénin mais pouvant s’avérer dangereux en cas de faiblesse immunitaire, hautement contagieux, s’échappe d’un laboratoire chinois, ou depuis une source inconnue…

– Une orchestration de confinements, distanciations sociales, prises de contrôle sur les esprits par une presse dominante formatée, dictée, entre autres, par le lobbyiste McKinsey et des fonds d’investissement comme Black Rock, probablement en corrélation avec la plupart des pays occidentaux, s’abat sur les libertés individuelles. 

– C’est probablement aussi le moment de la création du « Projet Zéro » ou « Traité Mondial sur les Pandémies ». 

– S’ensuit un chantage vaccinal anti-démocratique et meurtrier, contraignant de nombreuses personnes à prendre des distances avec leurs proches, que ce soit dans un sens ou dans l’autre, menant une quantité encore inconnue de victimes vers des thromboses mortelles, des turbo-cancers, ainsi que des paralysies inexpliquées. Montrant, sans qu’il ne puisse y avoir de doute sur le sujet, la gestion omniprésente des gouvernements occidentaux par des groupes privés. 

– Déboulant rapidement sur la guerre en Ukraine, et la création d’un rideau de fer économique accompagnant une guerre tiède, motivant le capitalisme occidental contre les régimes totalitaires communistes à travers une fracture mondiale dessinant une ligne invisible. N’ayant, à l’heure actuelle, pas encore débouché sur une troisième guerre mondiale, mais provoquant quotidiennement des morts dans un conflit exporté rappelant tristement le Kosovo. 

– Redoublement d’une censure en cascade à travers des secteurs comme les nouveaux réseaux d’informations offerts par internet, verrouillant le premier outil de démocratie universelle. Censure touchant abusivement l’expression autrefois libre depuis les réseaux sociaux, bloquant l’accès à une information et une culture non formatées, limitant les internautes en fonction de leur zone de résidence, prenant leurs données en otage… 

– L’abolition, progressive mais systématique, de la portée de tout canal stimulé par une rédaction indépendante, tout en contraignant une presse financièrement agonisante à se politiser ou à représenter un parti. Mettant chaque jour un peu plus des démocraties ne tenant plus qu’à un fil, en péril. 

– Et, très récemment, la création d’un coronavirus chinois en laboratoire, entièrement similaire à la forme que nous avons connue ces dernières années, vraisemblablement créé avec les mêmes méthodes, si ce n’est que celui-ci est conçu pour être « mortel à 100% » pour l’homme en intoxiquant le cerveau. 

– Menant, et c’est le point que nous allons considérer en détails à présent, à ce fameux « traité pour les pandémies » de l’OMS.

L’acceptation du traité sur les pandémies est une porte ouverte à la dictature sanitaire mondiale 

Alors que seule la presse « résistante », généralement taxée d’extrême gauche ou d’extrême droite l’a mentionné ces dernières années, et qu’une certaine opacité entoure le sujet, plusieurs points éthiques concernant l’élaboration de ce traité questionnent. 

1. Pourquoi aucun citoyen, nulle part dans le monde, n’a le droit à une présentation objective de ce traité, montrant clairement son but et les moyens qui seront employés pour y parvenir ? Pourquoi la question n’est-elle pas passée par la voie démocratique ? 

2. Comment peut-on considérer qu’une seule médecine, un seul point de vue, une seule industrie, tandis même qu’elle accuse une multitude de dommages collatéraux, puisse être imposée à tous ? 

3. Bafouant ostensiblement les droits de l’homme en suggérant un vaccin unilatéral, fichant numériquement les non vaccinés et tentant de les stigmatiser pour le « danger » qu’ils représentent pour la société, un tel traité peut-il être accepté sans révolution ? Les droits de l’homme incitant, dans leur Constitution, chaque individu à se révolter en cas de mise en place d’un système mettant la liberté, ou l’intégrité physique de chacun en péril. 

4. Le concept « One Health » ou Une Santé, semble faire un amalgame dommageable entre la médecine chimique, les industries chimiques, les groupes d’intérêts privés, et des lois contraignant les victimes de ces derniers à des sacrifices climatiques, humanitaires, sanitaires, dans l’espoir incertain de faire face à un danger imminent planifié par ces mêmes entités. Par quel moyen ce concept entend-il se concrétiser ? 

5. L’aspect vague et flou, en dehors du fait qu’il n’y ait aucune place prévue pour des solutions naturelles ou alternatives en cas de pandémie, d’un traité instaurant une série de recommandations à des pays semblant déjà bien trop pressés de les suivre en dehors de tout traité, est-il lié à l’ambition d’une gouvernance synchronisée par des puissances financières dictant déjà leur politique sanitaire aux pays membres de l’OMS ?  

Assiste-t-on à la mise en place d’une gouvernance mondiale décidée à l’insu des citoyens ? 

Dans moins de deux semaines le sort en sera jeté, et les prochaines années nous diront ce que cela cache réellement. 

Je ne manquerai pas de vous informer du résultat de cette seconde tentative pour un traité mondial des pandémies, présidé par l’OMS, dès son dénouement. 

Bien à vous, 

Jean-Baptiste Loin 

Référence :

• https://apps.who.int/gb/inb/pdf_files/inb9/A_inb9_3-en.pdf

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