Plus de quatre ans après avoir été formulé dans un but mettant à mal la confiance des populations du monde, il est temps de faire un nouveau point sur les faits observés concernant les dommages du Covid 19 et ses différences avec une simple grippe.
Bien moins dangereux qu’annoncé certes, et employé comme épouvantail afin de promouvoir une nouvelle génération d’injections expérimentales devant s’appuyer sur un prétexte d’urgence sanitaire pour éviter les épreuves cliniques garantissant son innocuité, contrairement à une simple grippe le Covid 19 s’appuie, tout comme les vaccins, sur le mécanisme de réplication d’une protéine ultra nocive, la protéine spike, reconnue objectivement comme étant toxique par le monde scientifique. (1)
Une des conséquences les plus troublantes provoquées par cette protéine transgénique, avec les myocardites et diverses atteintes vasculaires, étant des troubles neurovégétatifs menant à des dommages induits au système nerveux central.
Une conséquence à prendre particulièrement au sérieux puisque, si les cas extrêmes sont faciles à identifier, tout le monde pourrait être affecté de manière plus ou moins directe, et le jugement de beaucoup pourrait être altéré sans qu’il n’y paraisse à première vue.
Or, entre temps une large étude cubaine a vu le jour.
Phycocyanine et protection du système nerveux central
Fort intéressante, l’étude de Giselle Pentón-Rol, Javier Marín-Prida et Mark F. McCarty, montre comment la Phycocyanine, dans la mesure où elle est fraîche, vitale, et fortement dosée, permet d’enrayer les atteintes de la protéine spike visant le système nerveux central.
Pour ce faire, la Phycocyanine s’appuie sur plusieurs mécanismes dont elle a le secret de la synergie, parmi lesquels, et c’est un point important permettant aussi de mieux comprendre les différences entre une simple grippe et les dangers de la protéine spike, à savoir la capacité à réduire drastiquement le stress oxydatif en neutralisant les radicaux libres.
Puisqu’en observant les effets de la Phycocyanine sur la protéine spike, les scientifiques en profitent pour montrer comment l’impact du stress oxydatif s’avère majeur dans l’évolution de la maladie ou des réactions post vaccinales. (2)
Autant dire, pour présenter les choses plus simplement, que la peur induite par les gouvernements de tous bords pendant les mesures de confinement et les distanciations sociales rendues obligatoires, étaient des facteurs aggravants décisifs permettant le déclenchement de nouveaux symptômes d’une maladie qui aurait pu rester bénigne pour tous.
Les conclusions des chercheurs montrent qu’une cure de Phycocyanine pourrait suffire à elle seule à prévenir tant les troubles neurodégénératifs que les dommages induits au système nerveux.
Évitant ainsi une des conséquences les plus observées, mais aussi les plus obscures de la généralisation du Covid 19 chez l’être humain.
Cependant, me direz-vous, qu’en est-il d’une autre incidence largement observée tant dans les formes de Covid long que suite aux injections ?
La prévention des dommages cardiaques, du terrain inflammatoire et myocardites par la Phycocyanine
Plus récemment, une équipe de chercheurs mexicains et iraniens a montré la capacité protectrice et réparatrice de la Phycocyanine sur les dommages cardiaques.
Se basant sur un modèle animal, ils ont observé la réduction de l’apparition d’enzymes cardiaques, de lipides péroxydés, de ROS, nitrites et citokines pro-inflammatoires favorisant l’apparition des myocardites, mais aussi une faculté particulièrement intéressante à prévenir les dommages pouvant atteindre le muscle cardiaque. (3)
La qualité de votre Phycocyanine fait toute la différence
Complétant une série d’articles – que vous retrouverez dans ce dossier – étudiant les effets de la Phycocyanine en prévention et traitement d’une menace insidieuse et peu comprise, à savoir la protéine spike, il est maintenant clair et prouvé scientifiquement que c’est le meilleur atout préventif, mais aussi réparateur, pour éviter les dégâts provoqués par cette protéine transgénique.
À travers son message, avec cette phycobiliprotéine directement issue de la photosynthèse, la nature nous apporte les clés immédiates pour lutter contre l’invasion d’une protéine transgénique destructrice.
Associée à une cure régulière de charbon ultra activé, elle a fait ses preuves depuis des années.
Toutefois depuis mes premiers articles sur le sujet, des myriades de formules de Phycocyanine sont apparues, allant des gélules aux ampoules, en passant par les poudres en boîtes et glycérines suspectes…
J’insiste sur l’importance de se procurer une formule tant vitale que bien dosée.
Tandis que les poudres et gélules sont uniquement le résultat de présentations marketing alléchantes, les ampoules sont quasiment vides de titrage et embarquent une spiruline congelée dévitalisée, les glycérines pour leur part, devraient être réservées au secteur du savon végétal.
Par conséquent, il n’existe que peu de formules susceptibles de remplir leur mission efficacement.
Je vous invite donc, si vous pensez connaitre la Phycocyanine à partir de tests réalisés avec une de ces formes, à vous appuyer sur la sélection du comité de Réponses Bio avant de vous faire un avis définitif sur le bien-fondé des études présentées par les spécialistes de santé naturelle.
En ces temps incertains où il ne semble pas impossible que des campagnes vaccinales soient mises en place sur le prétexte de vielles épidémies ressuscitées, et de nouveaux variants lâchés dans la nature, il peut être vital de pouvoir compter sur les bon remèdes.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Pour vous procurer la formule de Phycocyanine la plus fortement titrée, extraite de spiruline fraîche, biologique, sans glycérol, rendez-vous sur cette page
Sources et références :
Bonjour, la phycocyanine est-elle conseillée pour une personne intolérante à l’histamine et aux salicylates?
Fred Bonjour,
Je ne saurais vous le dire avec précision sans de plus amples études, cependant la littérature scientifique montre qu’elle permet d’ inhiber la production d’histamine et de diminuer son niveau dans l’organisme. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1080/09629350220131926 et https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12769719/
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin