Étudiée sous toutes ses formes par les scientifiques du 21ème siècle pour des promesses aussi puissantes que variées, la Phycocyanine liquide est une source de protéines en passe de devenir une substance plus précieuse que l’argent.
Infiniment plus vivante que ses homonymes en poudre, son inimitable alchimie mène la NASA à assurer qu’« un seul kilo de spiruline vaut mille kilos de fruits et légumes ».
Cependant, au-delà du fantastique intérêt nutritionnel qu’apporte son totum, les fulgurantes observations thérapeutiques concernant la Phycocyanine en font la base d’une médecine nouvelle qui ne saura être comprise par l’Occident avant la fin de son règne.
Tout particulièrement concernant son aspect préventif et curatif sur le déclin cognitif, allié à un pouvoir anti-oxydant vingt fois plus puissant que celui de la vitamine C, que nous allons aborder plus en détails ici.
La Phycocyanine contre le déclin cognitif et Alzheimer
Comme vous pouvez le constater dans cette étude pharmacologique de 2023 (1) cherchant à regrouper l’ensemble des bienfaits de la spiruline, à savoir :
- un puissant pouvoir anti-oxydant
- mais aussi hépatoprotecteur
- anti-inflammatoire
- anti-allergique
- anti-cancer
- anti-viral
- anti-bactérien
- anti-diabétique
- anti-obésité
- protégeant les reins
- protégeant le cerveau des fluorides
- immunomodulateur
- anti-génotoxique
- protégeant du Covid
- permettant une supplémentation efficace en fer…
Grâce à la grande diversité, mais aussi à la structure moléculaire ainsi qu’à l’équilibre apporté à chaque nutriment.
C’est sa protéine complexe, la Phycocyanine, qui articule, et cela les chercheurs le comprennent de mieux en mieux, la grande majorité des bénéfices de la spiruline pour la santé, non seulement humaine, mais aussi animale en général.
Puisque comme cette étude le met en évidence (2) il existe des preuves tant expérimentales que cliniques des bénéfices de la spiruline sur la santé du cerveau, une certaine concentration de Phycocyanine permet de focaliser ses vertus sur cette zone.
Par exemple, la prévention et la réversion de maladies comme Alzheimer, ainsi que le montre un article publié sur le site de référence scientifique Springer, en 2021. (3)
Toutefois, étant donné que les malades d’Alzheimer, et leur famille se déchargeant de cette lourde responsabilité sur les instances de santé, génèrent de plus en plus de bénéfices à l’industrie pharmaceutique, celle-ci ne semble pas avoir l’intention de laisser passer de trop nombreuses preuves de son gigantesque potentiel dans ce domaine.
Publié pourtant, le compte-rendu de chercheurs tendant à prouver son action sur des marqueurs spécifiques de la maladie d’Alzheimer (4) a été invalidé sous prétexte qu’y est employée une référence médicale, n’ayant rien à voir avec le fond de l’étude, déposée dans un autre article dont elle ne dispose pas des droits d’exploitation.
Pourtant, moins d’un an après, des scientifiques japonais ont mis en lumière son action contre Alzheimer en général grâce à un mode d’administration inattendu : Une Phycocyanine prédigérée à l’aide d’une enzyme.
Ce qui signifie, en d’autres termes, une Phycocyanine la plus assimilable et vivante possible.
Or, à ma connaissance seule une forme liquide, exempte de glycérol, pourra être comparable à cette expérience.
Montrant qu’à une dosage de 750mg par kilo ingéré pendant vingt-deux jours, permet une amélioration notable des fonctions cognitives chez un groupe de souris ayant reçu une injection d’amyloid beta-peptide 25–35, un marqueur de la maladie d’Alzheimer, à une concentration de 10 nanomoles.
Une indication qui devrait, si ce n’est à travers les institutions de santé corrompues, chez les consommateurs au moins, leur permettre de s’intéresser à un moyen alternatif d’éviter, voire de traiter le déclin cognitif en général à l’aide de la forme la plus assimilable que vous puissiez trouver.
Et s’il est difficile de considérer une équivalence en terme de dosage chez l’humain, n’oubliez pas qu’une longue cure avec un dosage compris entre 10 et 20g par litre, peut avoir des effets similaires, voire supérieurs, à un fort dosage pendant trois semaines.
Bien qu’il faille encore quelques années avant que son intégration salutaire dans un protocole thérapeutique officiel puisse être pensable… absolument rien n’empêche ceux en comprenant déjà l’intérêt, d’en aménager une assimilation à des doses aussi puissantes et longues que possible.
Une pause de quelques jours à une semaine tous les deux mois évitera tout de même aux plus sensibles de ne pas trop fatiguer les fonctions hépatiques.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
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Sources et références :
Le problème est que la phycocyanine est incompatible avec le Levotyrox et perturbe le fonctionnement de la thyroïde.
Cathy Bonjour,
Alors non, la phycocyanine ne « perturbe » pas la thyroïde puisqu’elle tend à la rééquilibrer. Cet article, se basant sur des études en la matière, le montre clairement : https://www.reponsesbio.com/la-phycocyanine-protege-la-thyroide-et-module-la-reponse-immunitaire/
Quant au Lévothyrox, je ne saurais vous dire, et à mon avis aucun médecin non plus, si la phycocyanine interagit effectivement avec. Il faudrait en faire le test à petite dose pour le savoir.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin