Tout l’arsenal des phytothérapiques et des compléments nutritionnels sont à la disposition de celles et ceux qui, après le soleil de l’été et en prévision du retour à la pollution et au stress, désirent faire peau neuve.
Certains nutriments contribuent en effet à entretenir la santé de la peau, surtout après les expositions au soleil de l’été.
Le rayonnement solaire fait malheureusement apparaître des radicaux libres qui ont une action oxydante sur les membranes cellulaires, ce qui entraîne une indéniable fatigue cutanée.
On sait d’autre part que l’éclat, la souplesse et la douceur de la peau dépendent de la qualité des acides gras essentiels contenus dans la membrane des cellules de l’épiderme.
Or, ces acides gras sont souvent déficitaires dans l’organisme, surtout s’ils sont mal utilisés à cause des radicaux libres, du stress, ou d’une carence en zinc.
Il est donc important de donner à la peau, sous forme de compléments nutritionnels, les acides gras essentiels, les vitamines, acides aminés et minéraux dont elle a besoin pour retrouver vitalité et souplesse.
On trouvera avant tout, dans l’huile de bourrache, un acide gras essentiel, l’acide gamma-linolénique qui peut être utilisé même en cas de déficit en zinc, en situation de stress, ou lorsqu’on présente un terrain allergique.
La prise d’acide gamma-linolénique a pour effet d’augmenter l’hydratation, la souplesse et la douceur de l’épiderme.
Le zinc, quant à lui, est nécessaire à la transformation des acides gras essentiels, mais également à la protection de la membrane et à la multiplication des cellules permettant le renouvellement continuel de la peau.
Le bêtacarotène, également, agit directement sur les membranes cellulaires en les protégeant de l’action oxydante des radicaux libres qui apparaissent lors d’une exposition à la lumière du soleil. Une partie du bêtacarotène est transformé en vitamine A qui joue un rôle important dans le renouvellement des cellules cutanées.
La vitamine E, enfin, est le protecteur majeur des acides gras. Logée entre les lipides membranaires, elle les stabilise en empêchant qu’ils soient altérés par des molécules oxydantes.
Boire et réviser son alimentation
En matière de soins de la peau, la première chose à faire consiste à boire suffisamment.
On consommera donc préférentiellement, loin des repas et à raison d’un litre et demi par jour, des eaux de sources très pures ainsi que des jus de fruits ou de légumes frais.
D’autre part, il faut savoir que la relation tout à fait particulière qu’entretient la peau avec le foie et les autres émonctoires en fait la première victime d’excitants comme le café, le thé, le tabac ou le chocolat, de l’alcool, des graisses animales, des sucreries et de tout ce qui peut provoquer ou entretenir la constipation.
En d’autres termes, lorsque le foie, les reins ou les intestins sont surchargés, c’est la peau qui évacue les toxines… et qui se surcharge à son tour, s’encrassant et perdant ainsi non seulement son éclat, mais tout bonnement sa santé.
Les personnes ayant la peau grasse, surtout, auront tout intérêt à surveiller leur foie, et à éviter les excès de graisses, de farines blanches, de féculents et, bien sûr, d’alcool.
Mais, d’une manière plus générale, tous les types de peau profiteront d’un régime à tendance végétarienne, essentiellement composé de crudités, de fruits, de légumes frais assaisonnés d’huiles végétales vierges, de céréales complètes et de fruits de mer.
Au-delà de ces précautions de base, les petits problèmes de peau pourront être améliorés par l’application, en usage externe, de certains produits de consommation courante…
Le vinaigre de cidre, par exemple, traite les troubles de la peau car son Ph est pratiquement le même que celui d’une peau en bonne santé.
On l’utilise donc sans danger, en usage externe, pour toutes les affections cutanées, même pour le visage.
Il contribue à calmer les prurits et les démangeaisons, atténue les démangeaisons causées par l’urticaire, l’eczéma, le psoriasis, etc.
Appliqué en lotion, matin et soir, il est astringent, tonifie l’épiderme et corrige l’action basique des savons.
Se frotter le corps avec le mélange d’un tiers de vinaigre de cidre dans deux tiers d’eau fait grand bien.
L’huile d’olive, renommée depuis la plus haute Antiquité pour ses propriétés émollientes et anti-inflammatoires, est indiquée dans des cas d’affections cutanées comme l’eczéma et le psoriasis, ainsi que contre les brûlures, les gerçures et le soleil.
Enfin, pour parer à toute éventualité, il est utile de connaître les aliments spécifiques des dermatoses : riz, algues, asperge, bette, carotte, cerfeuil, chou, cresson, pissenlit, salsifis, amande, fraise, framboise, noix, orange, raisin.
Choisir quelques compléments alimentaires
Que ce soit sous forme de compléments alimentaires, en ampoules ou en gélules, le marché de la diététique met à notre disposition de nombreux phytothérapiques favorables à la peau.
Le Pianto Bio St Joseph D/E, par exemple, contenant des levures, des miels de verge d’or, de framboisier, d’orme et de lavande, du cassis, des myrtilles et des plantes aromatiques, est entièrement dédié à la beauté.
L’aloe vera, quant à elle, utilisé en gel frais, entre dans la composition de nombreux cosmétiques.
Sa pulpe peut en effet guérir les brûlures, réhydrater et freiner considérablement le vieillissement de la peau, calmer les irritations et cicatriser.
En usage interne, ce gel clarifie le sang et dilate les capillaires.
En externe, il anesthésie les tissus, et arrête donc les douleurs et les démangeaisons.
Enfin, en dermatologie, il revitalise la peau.
La sève de bouleau soigne les maladies de la peau et les affections rhumatismales.
Avant tout dépurative, c’est aussi un tonifiant du cuir chevelu qui redonne vigueur et souplesse aux cheveux et élimine pellicules et démangeaisons.
La spiruline est un aliment d’une richesse extraordinaire, dont l’action sur la peau, les ongles, les cheveux et les dents en fait un complément de choix à n’importe quel traitement cosmétique.
L’extrait d’écorce de pin renforce les capillaires, les artères et les veines, et améliore la circulation sanguine et la souplesse de la peau.
L’astaxanthine est un caroténoïde antioxydant que l’on utilise dans la protection de la peau contre les dommages induits par l’exposition aux rayons ultraviolets.
Enfin, l’extrait de feuille d’olivier, un complément nutritionnel phytothérapique absolument révolutionnaire dans le traitement des candidoses et des mycoses, s’est également avéré souverain dans tous les autres cas de problèmes de peau.
De nombreux témoignages rapportent par exemple que des psoriasis ont été améliorés en moins d’un mois, ou que des infections chroniques récurrentes du cuir chevelu, même avec perte de cheveux et lésions très douloureuses sur la peau du crâne, ont été solutionnées par soixante jours de traitement.
Les grandes tisanes de la peau
Les grandes tisanes cutanées sont indéniablement la bardane, la fumeterre, la pensée sauvage et la saponaire.
Elles s’indiquent en cures saisonnières pour entretenir la santé de la peau ou, bien sûr, de manière curative en cas de maladies dermatologiques.
La bardane, tout d’abord, est un dépuratif, sudorifique, diurétique éliminateur de l’acide urique, cholérétique et antidiabétique que l’on indique classiquement :
→ En usage interne en cas de dermatoses suintantes et purulentes, acné, dartres, eczéma, plaies ou teigne, que furonculose ou abcès dentaires. Elle se consomme alors en décoction de quarante grammes de racines par litre d’eau.
→ Par voie externe, en cas de séborrhée de la face, d’eczéma ou de plaies purulentes, en décoction de vingt minutes à raison de trois poignées de plante fraîche par litre, que l’on appliquera sous forme de lavages en cas d’affections cutanées, ou de lotion du cuir chevelu contre la chute des cheveux.
La fumeterre, pour sa part, est un tonique, dépuratif, antipléthorique, qui convient bien en cas de dermatoses, surtout lorsque celles-ci s’accompagnent d’affections hépatovésiculaires.
On peut, bien sûr, la consommer sous forme de tisane à raison de cinquante grammes par litre d’eau qu’on laisse infuser un quart d’heure et dont on boit trois tasses par jour avant les repas, pas plus de dix jours par mois.
Mais il vaut certainement mieux la prendre sous forme de nébulisât, à raison de deux à six comprimés à 0,25g par jour.
La pensée sauvage est, elle aussi, un remarquable dépuratif qui s’indique tout spécialement dans des dermatoses comme l’eczéma, l’acné, le psoriasis, la teigne, l’impétigo, les dartres et les croûtes de lait.
On fait infuser soixante grammes de fleurs dans un litre d’eau bouillante pendant dix minutes, et on en boit trois tasses par jour entre les repas.
Toutefois, puisqu’elle est utilisée, entre autres choses, dans les croûtes de lait, on donnera seulement de un à trois grammes de plante sèche en infusion dans un demi litre d’eau ou de lait aux petits enfants.
La saponaire, enfin, est un dépuratif, diurétique et sudorifique, que l’on n’utilisera dans les dermatoses de type eczéma, acné, dartres ou prurit, qu’en usage externe, c’est-à-dire sous forme de décoction de cent vingt-cinq grammes de racines dans un litre de petit lait, à appliquer comme une lotion.
A titre d’exemple, Valnet recommande un mélange qui a certainement fait ses preuves :
→ fleurs de pensée sauvage 20g,
→ fumeterre 40g,
→ aspérule odorante 5g,
→ feuilles de pissenlit 5g,
→ follicules de séné 5g,
→ reine des prés 5g.
Une cuillère à soupe par tasse, en infusion, à raison de deux ou trois tasses par jour.
La phytothérapie rénovée
Cette phytothérapie scientifique tient, plus qu’aucune autre, compte du lien existant entre la peau et l’appareil hépatorénal, le tube digestif et surtout le système nerveux puisqu’elle est issue du même feuillet ectodermique que la gouttière neurale chez l’embryon.
Les remèdes de la phytothérapie rénovée à prendre en cas de maladies de la peau sont donc des teintures mères ou des gemmothérapiques agissant, bien sûr avant tout, sur la peau, mais aussi sur les organes de la digestion et sur la sphère psycho-nerveuse.
Par exemple, ces problèmes de peau de nature psycho-nerveuse que l’on traîne parfois depuis la plus tendre enfance mais qui s’aggravent la plupart du temps en prenant de l’âge, que sont l’eczéma ou l’acné, peuvent se combattre à l’aide de trois gemmothérapiques que l’on prendra seuls ou associés, à raison de cinquante gouttes de chaque par jour, avec beaucoup d’eau :
→ Cedrus libani qui agira sur les eczémas secs et, d’une manière plus générale, sur toutes les maladies de peau sèche, avec démangeaisons.
→ Ulmus campestris qui s’indique, quant à lui, en cas de maladies de peau inflammatoires avec vésicules ou suintements, et notamment les acnés et les eczémas.
→ Platanus orientalis que l’on prendra en cas d’acné ou de maladies de peau chroniques.
Pour le reste, les indications sont tout à fait classiques.
Tout d’abord, pour désinfecter les plaies courantes, on diluera au dixième dans du sérum physiologique :
→ Lavandula TM lorsqu’on recherche un effet antiseptique,
→ Calendula TM lorsqu’il s’agit de cicatriser la plaie,
→ Bellis perennis TM quand on veut que soient conjuguées les actions antiseptique et anti-inflammatoire.
Moins courantes, les plaies très douloureuses seront améliorées par des compresses d’Hypericum TM, et si la plaie se présente sous forme d’hémorragies en nappe, de Sanguisorba TM.
En cas d’infections cutanées, de furoncles, de panaris ou d’abcès, on indique généralement des plantes antibiotiques comme Bellis TM ou Echinacea TM ou, mieux encore, Arctium lappa TM que l’on appliquera en compresses de TM pure ou que l’on prendra par voie interne à raison de cent à trois cents gouttes par jour.
Contre l’acné, la phytothérapie rénovée agit sur trois fronts : infectieux, hépato-intestinal et hormonal, et pour cela propose un traitement à base d’Arctium lappa TM, de Taraxacum TM, Chelidonium TM, Rhamnus frangula TM, à des doses comprises entre cinquante et cent vingt gouttes par jour, et Salvia TM.
Max Tétau propose le schéma suivant :
→ éviter de se laver à l’eau et utiliser le lait nettoyant : Calendula TM 10g, Arctium lappa TM 10g, huile d’amande douce 30g, Solucir et eau distillée ââ qsp 100g ;
→ appliquer ensuite la lotion : Salvia TM 10g, alcoolat de lavande qsp 100g ;
→ puis la crème protectrice : Calendula TM 10g, oxyde de zinc 6g, talc 2g, eau distillée 30g, Solucir qsp 100g ;
→ enfin, par voie générale, absorber avant les trois repas : Arctium lappa TM 30 gouttes et Taraxacum TM 30 gouttes dans un verre d’eau.
Contre l’eczéma on prendra :
→ Viola tricolor TM à la dose de 50 à 150 gouttes par jour,
→ Ulmus bourgeons macérât glycériné 1D à raison de 150 gouttes par jour si l’eczéma est suintant,
→ Cedrus libani bourgeons macérât glycériné 1D toujours à raison de 150 gouttes par jour si l’eczéma est sec.
En plus, s’il y a également prurit et nervosisme on prendra Tilia bourgeons macérât glycériné 1D, de 50 à 150 gouttes par jour, et s’il y a surinfection Juglans regia bourgeons macérât glycériné 1D, de 50 à 150 gouttes par jour.
Enfin, s’il y a pléthore concomittante, on pensera à Ribes bourgeons macérât glycériné 1D, 100 gouttes par jour.
Sur les verrues vulgaires, une fois confirmées comme telles après analyse, on appliquera Thuya TM deux fois par jour, et l’on en prendra 10 gouttes matin et soir par voie interne, et/ou Podophyllum TM par voie locale, également deux fois par jour.
Enfin, pour prévenir le vieillissement cutané, la phytothérapie rénovée conseille une crème protectrice : Calendula TM, Salvia TM et Tilia bourgeons macérât glycériné 1D ââ qsp 10g, oxyde de zinc 2g, talc 0,50g, huile d’amande douce et huile de vaseline ââ 10g, Solucire et eau distillée ââ qsp 150g.
L’utilisation externe d’huiles essentielles pour la santé de la peau doit être accompagnée de précautions.
On ne les appliquera notamment qu’en mélange avec une huile végétale comme l’huile d’amande douce ou d’autres huiles choisies pour leurs vertus particulières.
D’une manière générale, les HE les plus bénéfiques au derme ou à l’épiderme sont : carotte, géranium, genévrier, lavande, niaouli, romarin et sauge.
D’autre part, deux essences ont une action antivieillissement cutané : rose et galbanum.
Mais il existe évidemment toutes sortes d’indications plus précises, tant pour les soins de beauté que pour les problèmes dermatologiques.
Ainsi par exemple :
→ Pour tonifier le corps, on procédera à un massage avec des HE de citron et de romarin.
→ Pour décongestionner, on le massera avec des HE de cyprès, gayac et sauge officinale (contre-indiqué en cas de grossesse), dans de l’huile de tournesol.
→ Après un bain de soleil on se massera avec des HE de camomille romaine, lavande et bois de rose, dans de l’huile de jojoba avec 10% de rose musquée du Chili.
→ Pour éviter la transpiration des pieds, on choisira les HE de lavande, sauge officinale, cyprès, bois de rose, ou camomille.
On peut aussi confectionner d’excellents masques de beauté avec des huiles essentielles.
Par exemple :
→ Pour se réhydrater, on mélangera 3 cuillères à soupe d’argile, 1 cuillère à café d’huile d’olive, 1 goutte d’HE de bois de rose, 1 goutte d’HE de géranium et 1 goutte d’HE de palmarosa.
→ En cas de peau irritée : 3 cuillères à soupe d’argile, 1 cuillère à café d’huile de germe de blé, 1 goutte d’HE de lavande, 1 goutte d’HE de camomille et 1 goutte d’HE de bois de rose.
→ Contre les peaux grasses : 3 cuillères à soupe d’argile, 1 cuillère à café d’huile de rose musquée du Chili, 1 goutte d’HE de lavande, 1 goutte d’HE de petit grain d’orange et 1 goutte d’HE de sauge sclarée.
Enfin, l’aromathérapie a naturellement vocation à porter remède à bien des maladies de peau :
→ Contre l’acné on massera le visage avec des HE de lavande, citron, niaouli et épinette noire en quantités égales.
→ Contre l’eczéma on fera un massage local avec des HE de camomille romaine et cèdre.
→ Contre les furoncles, des compresses d’argile avec des HE de lavande officinale et citron.
→ Contre les ecchymoses, une HE d’hélichryse.
→ Contre les vergetures des HE de lavande, rose, bois de rose, mandarine ou géranium, dans de l’huile de sésame avec 20% de rose musquée du Chili.
→ Contre les mycoses, on appliquera localement des HE de palmarosa ou de géranium ; et sous les ongles, de citron.
→ Contre les piqûres d’insectes : HE de lavande officinale en petites touches.
→ Contre le prurit : onction locale avec des HE de lavandin ou de cèdre.
→ Contre le psoriasis : massage avec des HE de lavande officinale, citron, camomille ou cajeput.
→ Contre l’urticaire : massages avec une HE de lavande officinale, et friction locale avec des HE de cèdre et géranium.
→ Contre les verrues : petites touches avec des HE de citron, lavande officinale, ou origan.
Les huiles végétales
On l’a dit, il faut toujours mélanger une huile végétale aux huiles essentielles, la plus fréquemment utilisée étant l’amande douce dont l’onctuosité autorise des massages réellement prolongés.
Mais l’huile de germe de blé est aussi très souvent indiquée car elle pénètre bien dans le tissu cutané.
La bourrache, elle, s’avère utile lorsqu’il s’agit de stimuler la circulation et de calmer le système nerveux.
Pour réhydrater, on prendra de l’huile de noix de coco ou de tournesol.
Si l’on a une peau délicate, on préférera l’huile d’avocat ou, si la peau est sensible et allergique, la noisette.
S’il y a des problèmes circulatoires, l’onagre.
Enfin, en cas de dermatoses, on recommande le jojoba ou le millepertuis ; ou, plus précisément :
→ en cas d’eczéma ou de psoriasis, l’huile d’olive ;
→ en cas de vergetures le sésame ;
→ en cas de rides, taches, couperose et dermatoses, la fameuse rose musquée du Chili, un régénérateur cutané presque universel, que l’on intègrera à raison de 15% dans de l’huile d’amande douce.
Mais les huiles végétales doivent aussi être employées indépendamment des huiles essentielles.
Nombre d’entre elles constituent des cosmétiques à part entière.
Au-delà de l’amande douce, germe de blé, bourrache, noix de coco, tournesol, avocat, onagre, jojoba, millepertuis, olive, sésame et rose musquée, citons :
→ l’huile d’argan, très riche en stérols qui ont une action bénéfique sur certaines maladies de la peau ;
→ l’huile de calendula, traditionnellement prescrite aux peaux sensibles, rugueuses, gercées, couperosées ou brûlées par le soleil, qui est idéale pour le visage, le décolleté et les mains ;
→ l’huile de calophylle, qui régénère la peau ;
→ l’huile de cameline, pour prévenir les problèmes cutanés ;
→ l’huile de carotte, qui prépare à l’exposition au soleil et facilite le bronzage ;
→ l’huile de macadamia, nourrissante, assouplissante, hydratante, apaisante et adoucissante, qui a des effets antivieillissement remarquables et conviendra aux peaux fragiles, dans le traitement des vergetures et des cicatrices, dans les soins des cheveux et des mains, notamment en cas de crevasses ou de gerçures, mais aussi pour se protéger du soleil et réhydrater la peau ;
→ l’huile de sisymbrium Irio a des effets antivieillissement et antirides.
Geneviève Maillant
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