Depuis l’apparition du dentifrice en Occident, c’est à dire au début du siècle dernier, une industrie parfaitement orchestrée pour vous envoyer chez le dentiste toutes les semaines en vous empoisonnant copieusement, s’est progressivement mise en place.
Tout d’abord avec l’invention de Samuel Colgate, introduisant dès 1892 une sorte de crème à frotter sur les dents, vendue dans des tubes de peinture en étain qui permirent la première production de masse de dentifrice. Puis, avec l’ajout de recherches chimiques destinées à décaper l’émail dentaire pour donner une impression de propreté et de pureté.
Impression qui, s’accentuant au fil des décennies, mena les adeptes de cette nouvelle mode à une avalanche de problèmes pour les sphères ORL, gastrique et intestinale, donnant toute latence à des marques aventureuses, d’empoisonner les consommateurs en usant de promesses fallacieuses.
Aujourd’hui, plus de cent ans après son invention, 99,99% des marques mises sur le marché profitent des apparences d’un sourire à la blancheur si prisée que, pour vous faire croire n’importe quoi et ruiner insidieusement votre santé, elles sont prêtes à vous mentir… comme des arracheurs de dents.
Aujourd’hui il est temps de mettre un terme à cette habitude archaïque.
Il est temps de vraiment vous préoccuper de l’essentiel, à savoir la santé de vos dents, de vos gencives, mais aussi de votre système ORL dans son intégralité.
Les sept raisons qui m’ont fait arrêter le dentifrice
Peut-être comme vous, jusqu’à ce que mes connaissances me le permettent, j’étais esclave de ce manque d’alternatives en empoisonnant bien malgré moi mes outils de mastication ainsi que les organes voisins.
Et lorsque que j’ai découvert le réel danger de cette mauvaise habitude, il était déjà trop tard.
Cariées, sujettes aux inflammations gingivales, littéralement torturées, dès l’adolescence mes dents tombaient, se disloquaient, se faisant volontiers arracher par le mécanicien dentiste auquel ma famille était habituée.
À ce massacre il y avait un certain nombre de raisons, que j’ai depuis mis à jour au regard des compositions modernes, afin de mieux les comprendre et les identifier.
Raison #1
Le fluor, ingrédient miracle des années 80 vendant des dents de star hollywoodienne solides et saines, est un perturbateur endocrinien calcifiant la glande pinéale, et nuisant à la thyroïde comme aux surrénales.
Il est très probablement cancérigène, déséquilibre le système immunitaire et accélère le vieillissement.
Raison #2
Le sulfate de sodium ou SLS est un épaississant permettant aux dentifrices de mousser généreusement.
Cependant, en plus d’être cancérigène, le SLS :
- endommage la peau
- nuit au microbiote de la sphère ORL
- pollue l’environnement
- et intoxique les animaux.
Très volatile, il essaime des composés soufrés un peu partout sur son passage.
Il est d’ailleurs particulièrement surprenant de constater qu’il entre dans la composition de nombreux dentifrices, alors qu’il est notoirement nocif pour les gencives et l’émail dentaire.
Raison # 3
Le triclosan, aussi utilisé dans les soins cutanés, désodorisants, détergents, matelas… est très souvent employé dans les dentifrices.
Or, c’est un perturbateur endocrinien cancérigène, agissant fort négativement sur la thyroïde et déstabilisant totalement l’équilibre bactériologique de la bouche.
Il atteint également directement le fœtus chez la femme enceinte.
Raison #4
Le propylène glycol est une huile minérale issue de la fermentation de levures d’hydrates de carbone.
On le retrouve dans les liquides de refroidissement et l’antigel, la peinture, les vernis, mais aussi comme agent tensioactif dans le dentifrice.
Il est, bien évidemment, extrêmement toxique.
Raison #5
Bien que peu préoccupante en tant que telle, le problème qu’engendre la glycérine, même végétale, réside dans le fait que son pouvoir adhésif laisse sur les dents une pellicule si collante, qu’il faudra plusieurs dizaines de rinçages pour s’en défaire totalement.
Qui plus est, les résidus de glycérine empêchent la circulation de minéraux comme le phosphore et le calcium, nécessaires à la protection des dents.
Cette déminéralisation accélère la formation des caries et autres problèmes dentaires.
Raison #6
La Diéthanolamine ou DEA,est un perturbateur endocrinien pouvant favoriser le développement du cancer, plus particulièrement au niveau du foie et des reins.
Raison #7
Les microbilles de différents types de matières plastiques et chimiques servent d’agent abrasif à de nombreuses pâtes dentifrices censées blanchir l’émail par frottement.
Bien qu’elles aient prouvé leur capacité à décoller la plaque dentaire, elles ont cependant la fâcheuse tendance à se dissimuler dans les tissus des gencives, créant par la suite une avalanche de troubles en absorbant et expulsant dans la bouche les produits chimiques qu’elles rencontrent.
Sans oublier que ces microbilles très à la mode sont souvent nanoparticulaires.
Les nanoparticules de laboratoire, également utilisées dans de nombreux additifs, agents blanchissants ou désinfectants, ne sont pas seulement trop petites pour être décelées à l’œil nu, elles sont mal identifiées dans les compositions.
Sachant qu’elles peuvent facilement se loger dans les cellules gliales ainsi que d’autres zones du cerveau, et favoriser des troubles des fonctions cognitives comme des organes vitaux…
Or, bien que ces additifs se trouvent tant dans les compositions industrielles que bio, les petits « plus » spécifiques au label biologique ne s’inquiètent pas davantage de la santé de vos dents.
Le fructose ou le Xylitol, par exemple, sont, dans ce cas de figure, des sucres de synthèse.
Pourtant il n’est pas difficile de comprendre que le sucre déposé sur vos dents après le brossage provoquera des caries.
La gomme xanthane ou E415, quant à elle, bien qu’autorisée en bio, est un humectant transgénique ne convenant pas aux intolérants au gluten, étant souvent dérivé de blé, produits laitiers et soja, puis recouverte d’un alcool isopropylique.
La gomme de cellulose est un dérivé du coton transgénique connu sous le code E468. Bien que non autorisée en bio, vous la verrez souvent compléter des compositions pseudo naturelles pour « stabiliser » les ingrédients présents.
Ou encore l’alcool qui, bien qu’il fut employé au Moyen Âge pour le lavage des dents, n’a jamais donné d’autre résultat que la provocation de caries, le déchaussement des dents et la dégradation du milieu buccal.
Cette liste étant malheureusement non exhaustive, voilà pourquoi au fil des ans, les raisons s’accumulant les unes après les autres, j’ai décidé de mettre un terme à l’usage de toute forme de dentifrice en pâte.
La solution liquide naturelle
Après de nombreux problèmes, recherches personnelles, tentatives échouées, et une bonne dose de patience… j’ai enfin trouvé la solution ultime.
Cette solution, si vous en percevez la magistrale utilité, je suis prêt à en partager avec vous le secret.
Et ce secret commence par une alchimie ainsi que des vertus absolument uniques au monde :
→ Une bonne dose d’hydrolat de Verveine odorante locale et biologique qui, en plus d’apporter douceur et fraîcheur, est apaisant, anti-bactérien et antioxydant. Parfaitement adapté aux muqueuses, il contient des citrals qui agissent spécifiquement sur les inflammations buccales.
→ Du Bambou Spray, étant pour sa part l’ingrédient central de la présente préparation, assurant à lui seul une foule de vertus, dont, entre autres :
- un puissant effet anti-inflammatoire
- une capacité antifongique étudiée par les scientifiques permettant une action sur la parodontite
- une dépollution rapide de la candidose buccale
- une annihilation immédiate des bactéries et virus présents dans la sphère ORL, tout en régulant la population des bactéries utiles au microbiote
- une protection contre la mauvaise haleine
- une régénération de la paroi interne de la peau, renforçant la qualité du microbiote
- une amélioration de la circulation sanguine communiquant avec la bouche
- et, dans la mesure où une dose infinitésimale peut être absorbée au moment du brossage, une légère amélioration des troubles digestifs.
→ De l’huile essentielle de Manuka sauvage qui, vous le savez peut-être déjà, est vingt fois plus puissante que l’HE de Tea tree :
- assurant un décapage des germes, pathogènes et bactéries, et dont la capacité antifongique amplifie les effets bénéfiques du Bambou Spray contre la candidose buccale et la parodontite
- une action anti-inflammatoire s’ajoutant, une fois de plus, aux autres composants présents dans l’HydroDent
- ainsi qu’un effet notoire sur les abcès, plaies et infections pouvant se développer dans cette zone.
→ Et la petite touche finale, vous assurant une haleine mentholée, un goût agréable en bouche, mais aussi des vertus digestives légères par micro-absorption, de l’huile essentielle de Menthe poivrée biologique.
Une composition, j’ose le dire, absolument unique au monde et réellement adaptée, non seulement au nettoyage des dents, à la bonne santé des gencives, mais également à l’équilibre bucco-dentaire dans sa globalité.
Autant dire, s’il vous arrive encore de consommer des dentifrices ou « soins » dentaires contenant un des sept polluants listés en introduction, ou n’ayant pas l’efficacité escomptée, une chance unique d’éloigner le dentiste en redevenant maître de votre santé gingivale.
L’HydroDent pour les bains de bouche
En plus des raisons que nous venons d’évoquer, vous permettant de remplacer les pâtes et préparations dentaires, vous avez également la possibilité d’utiliser l’HydroDent en bain de bouche.
Pour soigner une parodontite aigüe, par exemple, il sera parfaitement adapté pour un rinçage de la bouche après chaque brossage. Inutile de vous rincer la bouche par la suite, cela diminuerait l’efficacité combinée des différents composants.
Vous avez bien compris, cela signifie qu’une seule bouteille d’HydroDent remplace à elle seule toute une panoplie de soins dentaires. Tout en étant plus efficace et non invasive.
HydroDent : Mode d’emploi
Pour mettre à profit les bienfaits de l’HydroDent décrits dans cet article, c’est fort simple.
→ Pour le brossage des dents il vous suffit simplement de déposer directement sur votre brosse à dents 10 à 20 gouttes, que le système de dosage économique vous aidera à mesurer précisément. Ensuite, inutile de préciser qu’il convient de frotter soigneusement chaque zone.
S’ensuivra une fine mousse naturelle créée par le mouvement de friction, qui favorisera la bonne répartition des composants listés plus haut.
→ Pour les bains de bouche rincez-vous préalablement les dents à l’eau claire, ou procédez à un rapide brossage afin d’évacuer les restes d’aliments éventuellement présents. Ce geste, aussi simple soit-il, garantira une meilleure efficacité de la solution qui, lorsqu’elle est utilisée comme bain de bouche, permet une action thérapeutique plus soutenue.
Pour ce faire, faites couler l’équivalent d’un à deux millilitres d’HydroDent dans un verre.
Inutile de le diluer avec de l’eau, puisqu’il est déjà conçu pour un équilibre idéal, vous pouvez immédiatement introduire le contenu dans votre bouche pour opérer autant de pressions entre les dents et/ou sur la zone à soigner, que nécessaire.
Pour un simple entretien, trente seconde à une minute suffiront, cependant, en cas de troubles déjà installés, il peut être nécessaire de prolonger ce rituel pendant plusieurs minutes, d’une à quatre fois par jour, en fonction de la gravité des troubles concernés.
Par la suite, il vous suffira d’écouter votre corps, et il vous parlera.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
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Merci infiniment !
Bonjour,
Petite question concernant l’usage de l’homéopathie en parallèle, la menthe poivrée entrant dans la composition de ce produit.
Merci pour votre attention
Bonjour,
Merci pour votre message.
Pour éviter toute interaction, il faut veiller à utiliser l’HydroDent loin de la prise de remèdes homéopathiques.
À bientôt !
Un Grand Merci!
Merci! je cherchais quelque chose de sain pour me laver les dents depuis longtemps. j’ai fait moi meme une pate avec huile de coco, argile blanche et huiles essentielles- pas mal du tout. qu’en pensez vous? mais votre nouveau mélange est un gagnant! merci aussi de toutes les infos données
Merci de cet article, fort intéressant au demeurant. Dans le temps, comme l’on disait, le fluor, j’en ai utilisé pendant un bon moment, puis je suis passée aux dentifrices à l’argile – nettement mieux – et là, depuis déjà quelques mois, sans vraiment savoir pourquoi, je suis passée « à rien du tout ». Brossage uniquement et de l’eau. J’ai eu beaucoup de caries et de dents arrachées. Avec mon âge et et toutes ces cochonneries que l’on nous fait avaler, rien d’étonnant peut-être. Depuis plus de 40 ans maintenant, tout produit, quel qu’il soit, si je vois de la pub sur… Lire la suite »
Bonjour, je m’interroge sur la présence d’huiles essentielles dans votre formule. Le Dr Bruno Donatini, auteur de « La bouche, miroir de votre santé », déconseille fortement leur usage en prise orale car elles peuvent perturber voire détruire très rapidement la flore buccale. Elles ont leur utilité, mais en application micro-dosée uniquement, et de manière ponctuelle. Comment les HE sont-elles dosées dans votre formule?