Depuis l’apparition, il y a bientôt quatre ans, des premières injections ARNm censées combattre le Covid, bien que de nombreuses informations difficile à vérifier aient été largement véhiculées et que les théories à ce sujet fusent en tous sens, nous avons aujourd’hui une expérience directe des faits.
Même si les preuves restent éparses et que les laboratoires se cachent derrière des batailles judiciaires à n’en plus finir, nous pouvons tous, à notre niveau, attester de la nocivité des injections ARNm.
Pour ma part, ayant informé et communiqué avec des centaines de milliers de personnes pendant ces dernières années il m’est possible, à moi seul, de témoigner d’une réalité empirique :
Toute personne vaccinée sans précaution indispensable comme la cure de Moso 3000, a souffert, dans la grande majorité des cas, de troubles allant de complications veineuses à des turbo-cancers, en passant par la dégénérescence des systèmes nerveux, immunitaire, ou encore des facultés cérébrales dans leur ensemble.
Montrant sans pouvoir se tromper, compte de tenu de la similitude des études de toxicité avec les cas de personnes vaccinées, soit la présence d’oxyde de graphène soit d’une nanotech équivalente.
Ensuite, toute personne avec laquelle j’ai pu être en contact et/ou avoir un retour d’informations fiable, se comptant tout de même en dizaine de milliers, montre clairement que l’oxyde de graphène ou les technologies utilisées dans les injections ARNm, sont si ce n’est totalement, très largement éliminées par la cure de Moso 3000.
Charbon ultra activé éliminant aussi la protéine spike induite ou générée par ces traitements.
Ce fut une hypothèse en tout début de pandémie, c’est aujourd’hui une observation objective.
À présent, la question pouvant se poser demeure bien évidemment :
Quel est le devenir ainsi que le but de ces nanotech, nano-véhicules et adjuvants ?
Les nanotechnologies à l’assaut de l’humanité
Depuis des années, probablement plus de dix ans maintenant, des nanotechnologies sont ajoutées à votre insu à divers emballages, préparations culinaires, médicaments, soins en tout genre… sans jamais avoir passé le moindre test toxicologique sérieux.
Pire, tous les journalistes, auteurs et lanceurs d’alerte s’étant saisis du sujet, comme ce fut mon cas avec Réponses Bio suite à l’appel d’une de nos lectrices, furent censurés et le résultat de leurs enquêtes n’a jamais eu autant d’écho qu’il aurait dû.
C’était une époque où les magazines scientifiques vantaient ouvertement les promesses des nano, et où de nombreux laboratoires soucieux d’avoir l’air « high tech » affichaient fièrement l’ajout de nanocomposants à leurs préparations.
C’est pourquoi après avoir fait écran à l’avalanche qui se préparait avec l’apparition de capsules nano dans de nombreux compléments nutritionnels, la rédaction pouvait déjà imaginer un monde pire que celui des lobbies du pétrole et du nucléaire réunis, prêts à tout pour s’introduire dans un maximum d’objets de consommation avant que l’on ne prouve leurs dangers.
Et puisque les nanomatériaux effraient les consommateurs et qu’ils sont invisibles à l’œil nu, finalement, pourquoi faire systématiquement état de leur présence ?
Si bien qu’une loi stipulant que si moins de cinquante pour cent de la composition d’un produit est nanoparticulaire, ce n’est pas la peine de le mentionner sur son étiquette.
Lorsque j’ai rédigé mon premier article sur les particules de graphène en deux dimensions, paru dès les premières alertes sur la réelle composition des injections ARNm, j’étais donc prêt à comprendre et accepter plus aisément que la plupart, les raisons de cette nouvelle invasion.
L’internet des objets ou IoT, n’est pas nouveau, pas plus que la volonté d’asservir l’espèce humaine à une société transhumaniste gérée par une intelligence artificielle.
Il est difficile de passer brutalement du domaine de la science-fiction à ce que certains appellent « un coup d’état mondial », sans égard pour la vie des citoyens, et surtout, sans la moindre transparence.
Hormis le fait que de nombreux livres de science-fiction, bien que dans un laps de temps beaucoup plus long, aient donné naissance à des avancées technologiques, et que par définition un coup d’état ne prend pas soin des populations, tout en manquant cruellement de transparence.
Dans ces conditions il ne reste que l’illusion entretenue d’un espoir démocratique, l’absence d’attaques frontales, et la peur de réaliser que les informations du gouvernement et des médias officiels soient devenus des outils de propagande, pour mener encore un peu le monde en bateau.
En réponse à ce dilemme, il convient d’accorder quelques minutes à un questionnement légitime pouvant prouver à lui seul jusqu’où les gouvernances sont prêtes à aller.
Au-delà de la présence de graphène ou tout autre type de nanotechnologies, l’observation de l’assemblage de ces nanotech en structures complexes interagissant avec l’organisme, est-elle plausible ? Que dit la science à ce sujet ?
Et bien elle montre que ces années de recherches vaccinales intensives lui ont permis de mettre au point des nanomédicaments sur base d’oxyde de graphène contrôlés par réponse électro magnétique. (1)
Mais aussi que depuis l’année dernière, des nanobots peuvent « officiellement » explorer les cellules humaines du cerveau en passant des barrières biologiques autrefois infranchissables. (2)
Informations menant tout droit au brevet du « vaccin anti-covid » Moderna, justifiant noir sur blanc la création de mécanismes complexes permettant l’assemblage d’ARN messager exploitant « l’utilité de nanoparticules autoassemblantes » capables de délivrer « dans certaines conditions, des composants » dans le corps humain.
Affichant plus d’une centaine de pathogènes que ces nanoparticules pourraient activer sur commande. (3)
Par ailleurs, comme le montre le Dr Ido Bachelet, spécialisé dans le développement de nanotech similaires, depuis 2012, il est possible d’introduire des nanorobots dans le système sanguin à l’aide d’une simple seringue.
Révélant dans ses démonstrations des structures transparentes similaires à celles observées par le Pr Pablo Campa de la Cinquième Colonne. (4)
Montrant aussi l’implication d’ondes spécifiques comme la 5G pour activer des nanobots, ou leur permettre de « délivrer une cargaison ». (5)
Promesses confirmées par des études employant des nanorobots dans le système sanguin de souris malades, montrant la faisabilité de ces techniques bien au-delà des expériences in vitro. (6)
Faisant interagir des composants dans le corps humain ouvrant la porte, entre autres choses, à un système de cryptomonnaie connecté en temps réel à une base de données déterminant quelles substances ont été inoculées, ingérées, ou encore dans quel état d’activité se trouve l’organisme. (7)
Soit un système de surveillance de crédit social menant à un transhumanisme uniformisant les différences.
En tout cas pour les plus solides physiquement et/ou les plus facilement contrôlables, capables de supporter un tel traitement.
Quoi qu’on en pense, il est donc indéniable que ces technologies existent et qu’elles ont été testées plus ou moins secrètement sur l’homme.
Néanmoins les théories véhiculées par ceux découvrant avec effroi qu’elles ont été employées dans des injections censées protéger les populations, peuvent s’avérer tout aussi hasardeuses, que délibérément instaurées afin de mener à de fausses conclusions ou de décrédibiliser la présence d’oxyde de graphène dans les injections ARNm.
Les spécialistes du microscope réinventés en guérisseurs de fortune
Gardons à l’esprit que, d’une part, il est plus facile de marginaliser une frange de la population croyant que c’est un coup des extra-terrestres, et d’autre part, que les scientifiques nous ayant alertés de la présence de technologies inconnues dans les injections ARNm sont issus du domaine de la chimie, ou, dans le meilleur des cas, prônent une médecine intégrative à tendance plutôt allopathique.
Deux biais permettant aux gouvernances de nier la présence de graphène dans les injections en prétextant que ces observations sont le fait d’illuminés, ou, si cela ne suffit pas, à proposer aux fans de ces nouveaux héros du peuple… des traitements chimiques censés combattre une invasion chimique.
Si bien que le Dr Ana Mihalcea, Karen Kingston, et d’autres, se font aujourd’hui forts de créer des entreprises vendant « La solution miracle pour « détoxiquer » l’organisme » de ces nanobots.
Fantastique vous me direz, connaissant le sujet depuis longtemps, et après avoir étudié la présence de nouveaux types de nanoparticules, c’est ce que Réponses Bio a fait en mettant en lumière le Moso 3000.
Si ce n’est que le Moso 3000 est un produit traditionnel, 100% naturel, absolument sans danger, et diablement efficace.
Tandis que, après avoir fait la promotion de patch délivrant une nicotine de synthèse, le Dr Mihalcea n’a trouvé de meilleure idée que de vanter les mérites de l’EDTA et du Blue Methylene, tous deux des produits chimiques hautement toxiques, et de s’investir dans des marques en produisant.
Le seul problème étant que ces produits sont dangereux pour la santé humaine et ne constituent aucunement une solution au problème.
Cela « gêne » l’assemblage des « nanobots » et favorise leur déconstruction nous dit-elle, mais qu’en est-il des résidus viraux et nanomatériaux toxiques finissant leur course dans les cellules ?
Solutions presque aussi stupides que celle trouvée par ce médecin américain transformé en lanceur d’alerte pour avancer une théorie selon laquelle contre les méfaits des injections ARNm il convient d’utiliser d’autres types d’injections… ARNm.
Ou encore Karen Kingston qui, pour sa part, forte d’une communauté devenue suffisamment importante pour créer sa propre boutique, vante les mérites d’une forme de zéolite liquide… composée de nanoparticules de zéolite.
Je dois d’ailleurs préciser que même la véritable zéolite organique, qui attire essentiellement à elle les métaux lourds, n’aurait que peu d’effets sur les composés proches du carbone comme le graphène.
Or, bien que Réponses Bio ait fait connaître ces chercheurs pour leurs découvertes, et que, comme nous l’avons vu, certaines d’entre elles sont plausibles, les conclusions et solutions qu’ils proposent sont souvent délirantes.
C’est pourquoi, bien que je sois reconnaissant qu’internet nous ait permis un tel partage d’informations, et que les propriétaires de ces microscopes aient pris la peine de regarder à l’intérieur de flacons ARNm et plasmas sanguins soumis à ces inoculations, je me désolidarise entièrement de la suite de leurs conseils, et ne saurait que trop vous recommander d’en faire de même.
Je l’ai répété tout au long de cette épidémie d’injections expérimentales, la chélation, la destructuration, ou l’action sur le stress oxydatif n’est pas et ne sera jamais la solution.
Contre de telles technologies seul l’évacuation pure et simple garantit une réelle protection, et le seul remède au monde le permettant dans les grandes largeurs est le Moso 3000.
Je vous le dis après plus de quarante ans d’études sur la naturopathie et les sciences du vivant, après la rédaction de milliers d’articles et d’innombrables contacts avec des malades, non pas en m’inventant thérapeute après avoir eu le courage de me saisir d’un microscope et d’un réseau social.
S’il fallait avoir une théorie…
Une fois que l’on réalise que les campagnes vaccinales, les gouvernements et ceux qui dirigent les dirigeants ne nous veulent pas le moindre bien, il est normal de chercher à comprendre.
Bien que mon rôle soit davantage celui d’observateur que théoricien, s’il fallait avoir une théorie je dirais que le rêve ultime des industries gouvernant actuellement le monde, de nature plutôt égoïstes et fascistes qu’altruistes et solidaires, est le contrôle des consommateurs.
Et quoi de mieux pour parvenir à ce contrôle que d’utiliser la confiance bâtie sur un siècle de médecine allopathique et de propagandes vaccinales, afin de créer une dépendance permanente à des injections chimiques ?
L’étude croisée du Dr Peter A. McCullough à Tucson, Stephanie Seneff à Cambridge, Greg High à Portland et Anthony M. Kyriakopoulos en Grèce, intitulée « Suppression du système immunitaire inné par la vaccination ARNm contre le SARS-CoV-2… » en présente une mécanique assez fidèle. (8)
Mécanique rejoignant d’ailleurs celles mises en place depuis des années pour le contrôle des malades de la thyroïde, avec l’ablation systématique et au moindre prétexte de cette glande indispensable à la survie, pour son remplacement par une hormone de synthèse.
Ou encore l’énorme pression continue existant depuis toujours concernant les informations véhiculant des solutions naturelles contre le cancer.
Toujours est-il que la passionnante étude de Peter McCullough et al. montre qu’en dehors des funestes réactions de rejet, le principal danger de ces injections non identifiées relève de leur capacité à détruire le système immunitaire inné d’un individu.
Ce qui tendrait à prouver que la généralisation de cette pratique puisse mener l’humanité à l’incapacité de se soigner naturellement, tout en la contraignant à l’achat de doses d’injections tentant de mimer la complexité de votre immunité, pour se maintenir en vie face à la moindre attaque bactérienne ou virale.
Un monde rejoignant la vision d’une société transhumaniste ayant nécessité une longue mise en place, supposé une oligarchie dominante perpétuant cette idée au fil des générations, donc une guerre silencieuse contre des peuples maintenus dans l’illusion d’une démocratie.
Un risque tant généré par la vaccination, que l’apparition de protéines spike spécifiques transgéniques et toxiques, la diffusion d’un virus conçu en laboratoire embarquant un étrange mécanisme de reproduction protéique, ou encore l’accumulation d’oxyde de graphène dans des produits de consommation quotidiens où ces nanotech n’ont rien à faire.
Tandis que la vraie détox se fait avec le charbon ultra activé Moso 3000, indispensable à une élimination régulière des polluants, dans le même temps il est crucial de préparer, réinformer, et dans certains cas déjà, de rééduquer votre immunité.
Pour cela la meilleure stratégie demeure la cure de Phycocyanine ultra dosée, pure et artisanale.
Deux remèdes simples à une époque semée de faux-semblants et pistes fallacieuses.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Sources et références :
- https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2468519422002166
- https://www.snexplores.org/article/nanobots-can-now-enter-brain-cells-to-spy-on-what-theyre-doing
- https://patents.google.com/patent/US10703789B2/en
- https://www.youtube.com/watch?v=4F3jYViA_o4
- https://www.youtube.com/watch?v=HecEY5bF-xs
- https://interestingengineering.com/innovation/nanobots-will-be-flowing-through-your-body-by-2030
- https://patentscope.wipo.int/search/fr/detail.jsf?docId=WO2020060606
- https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9012513/
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merci je suis toujours vos transmissions depuis longtemps mais les vaccins sont tous « abimants » en 1960 j ai failli mourir du bcg 2 ans entre vie et mort c un herboriste qui m a sauve ma tante qui etait medecin a dit plus jamais de vaccins
de toute facon cela laisse des sequelles laissons faire la nature avant il fallait faire les 7 maladies infantiles pour etre immunise
Bonjour,
comment agit le charbon qui se trouve dans le système digestif pour éliminer des produits injectés en sous cutané et circulant dans les cellules?
Gaëlle Bonjour, Le charbon activé étant impossible à digérer il reste très peu de temps dans le système digestif, mais se concentre surtout dans la sphère intestinale. Une fois largement réparti il y capture tout polluant, virus, bactérie, métaux lourds, gaz… mais aussi, en ce qui concerne le Moso 3000, les nanoparticules de tout type circulant dans le système sanguin. Cela tout simplement en les adsorbant à travers les parois de la veine principale communiquant avec le colon. Un peu comme une dialyse interne, naturelle et sans danger, « filtrant » votre propre sang au lieu de le changer. Bien à vous,… Lire la suite »
très intéressant !! 🙂
Merci Jean-Baptiste
Bonjour Ayant été victime de cystite et des problèmes pour me retenir d’uriner, et ceci à répétition à partir de mes 7ans, ça a durer au moins 3 ans, j’ai tours pensée que c’étais les vaccins, mais aussi je trouvais que mon cerveau fonctionnait au ralenti, maintenant, pendant le covid j’ai fais comme si il existait pas, jamais acheter de masques, rien comme si il y avait rien, même si les gens des fois me m’engueulait dans le bus ou dans les magasins cela me passait au dessus, j’ai 2 questions est-ce que le charbon peut aider pour quelqu’un qui… Lire la suite »
Jackie Bonjour,
Bien qu’il ne soit pas spécifiquement dédié à cela, le charbon activé peut effectivement retirer du système sanguin les molécules d’une drogue, et en faciliter ainsi le sevrage.
Concernant votre seconde question, bien qu’il ne soit pas non plus spécifique à la maladie de Crohn, il éliminera des polluants la favorisant et soulagera efficacement les ballonnements.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
la rédaction de vos écrits est tout sauf simple et je ne me sens pas d’attaque à décrypter ces phrases à rallonge dont on oublie , au fil de la lecture , jusqu’aux premiers mots posés …sauf à les lire et relire encore et encore , pour être sûr de les avoir comprises et ce à quoi je ne me puis me résoudre hélas .Des phrases plus courtes ne nuiraient pas à leur compréhension ,bien au contraire !
Cdt un lecteur bien ennuyé .