Tout commença, voilà plus de quarante ans, lorsqu’on découvrit que les huiles de poissons des mers froides s’avéraient souveraines dans la prévention des maladies cardio-vasculaires.
La révélation nous vint des Inuits, ces nordistes de l’extrême qui ne se nourrissaient que de poissons… et ne connaissaient aucune sorte de maladie cardio-vasculaire.
Des enquêtes et des études scientifiques furent, bien entendu, menées, qui démontrèrent que c’était au type de graisses contenues dans la chair du poisson que revenait tout le mérite.
Ces graisses très particulières étaient en effet capables de réduire le taux de triglycérides et l’hypertension, et donc de diminuer le risque de décès par maladie coronarienne ou par infarctus du myocarde.
Mais à quoi devaient-elles, à leur tour, leurs si extraordinaires vertus ?
A ce qu’elles étaient exceptionnellement riches en acides gras poly-insaturés, les meilleurs de tous les acides gras puisqu’ils contribuent, grâce aux prostaglandines qu’ils produisent, à un maximum de réactions métaboliques et qu’ils régulent notamment la dilatation et la contraction des vaisseaux sanguins, assurent la fluidité du sang et permettent le transport du cholestérol.
La toute première série d’acides gras poly-insaturés à être étudiée et appréciée pour ses vertus thérapeutiques fut celle des Oméga 3, comprenant l’AAL, l’EPA et le DHA.
Elle reste, aujourd’hui encore, la plus populaire.
De nos jours, effectivement, tout le monde ne parle plus que de ces Oméga 3, mais finalement assez peu connaissent toutes leurs vertus.
Ce que l’on sait, généralement, c’est qu’ils diminuent les triglycérides et le mauvais cholestérol, et sont les meilleurs des anti-hypertensifs, des vasodilatateurs et des fluidifiants sanguins.
Voilà pour ce qui concerne la prévention cardiovasculaire.
Mais ce n’est pas tout. Ils soulagent les affections inflammatoires et donc l’arthrite, sont couramment employés dans les régimes minceurs, évitent les risques d’accouchement prématuré, assurent à l’enfant une croissance normale et le développement d’une bonne vision.
Ils améliorent les performances physiques, sont anti-allergiques, ont une action préventive du cancer, préviennent les maladies inflammatoires intestinales, combattent le stress, l’anxiété et la dépression, etc., etc.
Vraiment, le moins que l’on puisse dire, c’est que leur succès est mérité !
Alors, où les trouver dans l’alimentation et comment les employer ?
Vous obtiendrez une réponse détaillée à ces questions cruciales dans cet article.
Jean-Baptiste Loin
Bonjour, je suis des Iles, mon père était marin pécheur, et son spécialité était de pécher des requins , et pour faire de l’huile, il prenait le foie du requin . Il le faisait fondre et récupérer l’huile artisanalement , tous les matin il me faisait avaler une petite cruillére de cet huile a moi et aux autres membres de la famille .Alors, cet huile est vraiment bon pour notre organisme ? j’ai 3 litres de cet huile que j’ai reçu il y a 4 mois par mes frères qui a repris la suite de mon père, je crois que… Lire la suite »