Il est des secrets de beauté, comme de santé ou de bien-être d’ailleurs, n’ayant finalement de mystérieux que l’oubli de leurs merveilleuses applications.
Néanmoins, au centre de celles-là se trouve un végétal, que l’on connaît déjà pour ses vertus nutritionnelles, mais dont on ignore encore le véritable impact de l’huile que l’on extrait de sa graine, ou plus exactement de son pépin.
Rapporté d’Amérique centrale par les conquistadors, le figuier de Barbarie s’est rapidement développé et a prospéré du pourtour méditerranéen jusqu’en Asie, où il a essentiellement été cultivé pour son fruit.
Or, c’est seulement aujourd’hui que l’on commence à identifier l’immense potentiel de l’Opuntia ficus indica, ou Nopal, dont les Aztèques savaient mettre à profit tous les bienfaits de ce cactus fruitier.
Un cactus aux multiples facettes
Il existe aujourd’hui près de 400 espèces de figuiers de Barbarie pouvant atteindre jusqu’à 5 mètres de haut, se développant en de larges cladodes aussi appelés raquettes, épaisses, elliptiques et épineuses.
Ces raquettes, très fibreuses, emmagasinent l’eau, permettant au reste de la plante de résister à de longs mois de sécheresse.
Au printemps, le figuier de Barbarie donne des fleurs allant du jaune vif à l’orange en fonction des espèces, avant de prodiguer ses fruits.
En plus des fruits, les Mexicains consomment traditionnellement les « nopalitos », de jeunes cladodes consommés comme des légumes, en soupe, ragoût ou pickles, dont la saveur est paraît-il, assez proche de celle du haricot.
En définitive, chaque partie de la plante est plus précieuse que la suivante :
৩ le fruit, que l’on appelle « figue de Barbarie », est pratiquement un super aliment pour sa teneur en vitamine C et se déguste également en confiture, compote ou pâte de fruit.
Les marins d’antan n’hésitaient d’ailleurs jamais à embarquer des figues de Barbarie dans leurs voyages, comme anti-scorbutiques.
৩ les bourgeons sont consommés comme des légumes depuis des millénaires.
৩ les raquettes sont quant à elles non seulement comestibles, mais également à l’origine d’un complément alimentaire bien connu, le nopal, permettant à lui seul de :
→ limiter l’absorption des hydrates de carbone au niveau intestinal,
→ contribuer à réguler la glycémie des diabétiques,
→ emprisonner les graisses et éviter leur assimilation au niveau intestinal, grâce aux gommes naturelles qu’il contient qui, au contact du liquide de l’estomac, se transforment en gel,
→ et par un effet de cause à effet, de perdre du poids.
৩ enfin les graines donnent une huile absolument inégalable pour les soins de la peau.
Une merveille sans pareille qui, totalement pure, bat à plates coutures tous les élixirs anti-âge aux formules les plus savantes et les plus prometteuses.
Un trésor de jouvence
Rare et précieuse tant sa fabrication est délicate, l’huile extraite des pépins de la figue de Barbarie est une bénédiction pour la peau, et en particulier le visage, étant à la fois :
→ régénérante,
→ réparatrice,
→ cicatrisante,
→ anti-déshydratante,
→ anti-rides et ridules,
→ adoucissante,
→ tonifiante,
→ raffermissante,
→ émolliente,
→ et assouplissante.
A qualités exceptionnelles, composition hors du commun :
→ L’huile de figue de Barbarie est l’huile végétale contenant plus de vitamine E que toutes les huiles connues (exceptée celle de germe de blé), à savoir 100mg pour 100g.
A titre de comparaison, l’huile d’argan, pourtant très réputée pour son apport en vitamine E, n’en contient que 70mg pour 100g…
→ Mais c’est aussi, et peut-être même surtout grâce aux nombreux stérols qu’elle renferme, permettant le maintien de la membrane cellulaire tout en régularisant les mécanismes liés aux inflammations, que cette huile apaise, répare et nourrit la peau.
→ Par ailleurs, ses acides gras essentiels assurent une pénétration profonde de l’épiderme, et le protègent en comblant efficacement le manque de lipides.
En particulier l’acide linoléique ou oméga 6, favorisant l’hydratation, lutte contre les inflammations cutanées et agit comme anti-oxydant.
Réinventée par les femmes berbères, l’huile de pépins de figue de Barbarie convient à pratiquement tout le monde, puisqu’elle :
→ protège, lisse et tonifie les peaux normales,
→ raffermit, répare et stimule le renouvellement des peaux matures,
→ hydrate, assouplit et adoucit les peaux sèches, déshydratées, rêches ou desquamées,
→ prévient et répare le vieillissement cutané ainsi que les rides,
→ réduit les poches et les cernes,
→ ravive, tonifie et illumine les peaux ternes et fatiguées,
→ efface progressivement les cicatrices,
→ répare les crevasses,
→ et estompe les vergetures.
Fine, légère, douce et non grasse, c’est la seule huile qui soit véritablement adaptée au contour des yeux, zone sensible bien souvent malmenée par les démaquillants et autres produits inadaptés ou pire encore, chimiques.
Le nouveau souffle d’une économie solidaire et écologique
Du fait des nombreuses épines et de l’imposante taille de ce cactus, la cueillette des figues de Barbarie s’effectue bien évidemment à la main.
Un travail laborieux et précis le mettant hors de portée de toute industrialisation, et profitant principalement à des communautés rurales en ayant fait leur spécialité.
Des groupes de femmes s’attèlent chaque année à cette tâche, réalisant une à une toutes les étapes de la préparation du précieux élixir :
→ lavant les fruits récoltés,
→ épluchant et ôtant la pulpe, qui sera utilisée pour préparer confitures et pâtes de fruit,
→ récupérant les pépins à la main,
→ les triant,
→ les nettoyant,
→ puis les faisant sécher au soleil, une étape minutieusement surveillée afin qu’ils expriment leur humidité sans se dessécher, ce qui les rendrait inexploitables.
Vient ensuite le pressage des graines, exclusivement réalisé mécaniquement et à froid.
La culture du figuier de Barbarie reverdit ainsi les oasis délaissées par le monde moderne, tout en créant des emplois et favorisant l’échange des savoirs.
Et, plus fantastique encore, la culture du nopal, représentant actuellement 150 000 hectares de surfaces cultivées ne nécessitant aucune irrigation, constitue de part et d’autre du désert africain un rempart naturel contre l’érosion et la désertification.
Attention aux contre-façons !
Ce n’est donc absolument pas le fruit du hasard, si cette huile de « Barbarie » est la plus chère du monde : jusqu’à 3 000€ le litre.
Puisque pour presser un seul litre de cet or vert, il faut une tonne de fruits frais donnant 30kg de graines !
Sans même compter que le fruit ne contient que 4% de graines et que ces quelques graines ne restituent que 3 à 5% d’huile.
On devine que lorsque l’on trouve de « l’huile de graines de figue de Barbarie » à moins de 20€ les 80ml… la méfiance doit être de mise.
Curieuse par nature, j’ai comparé une huile bon marché qui n’était ni bio, ni équitable, dans le seul but d’analyser sa composition.
Il s’avère que cette huile soi-disant « 100% Opuntia ficus indica seed oil » a toutes les chances de n’être qu’un vulgaire macérât huileux à l’huile de tournesol… de l’huile de friture !
Moins chère, mais évidemment infiniment moins active, si ce n’est pas carrément nocive, en tout cas les différences de concentration de substances actives, et notamment d’acides gras essentiels, sont gigantesques.
Il est donc clair, bien que le prix ne puisse pas non plus être unique garant de qualité, que les huiles bon marché n’ont rien de comparable avec la véritable huile pure qui se doit bien évidemment d’être biologique.
Comment tirer le meilleur de l’huile de pépins de figue de Barbarie ?
Pour donner toutes ses chances à cette huile prodigieuse, il est important de l’utiliser le soir, juste avant le coucher, tout simplement parce que c’est pendant la nuit que le processus naturel de régénération de la peau est le plus actif, et qu’elle va mettre à profit cette nourriture bénéfique lui permettant de s’autoréparer.
On l’appliquera pure, autour des yeux, sur le visage et le cou, en pratiquant de légers massages et effleurages.
Rapidement absorbée par l’épiderme, elle ne laisse pas de film gras et sent délicatement bon, ce qui en fait un soin très agréable à pratiquer au quotidien.
Chaque soir, quatre gouttes suffiront pour que s’épanouisse à nouveau la santé de votre reflet originel :
→ lissant progressivement les marques du vieillissement,
→ soignant les petits problèmes dermatologiques,
→ rendant son élasticité à la peau,
→ offrant une texture et un toucher veloutés,
→ tout en éliminant sur le long terme les sensations de tiraillements et les rougeurs…
J’ai eu personnellement la chance de l’utiliser sur une période de plus de trois mois, ma peau en a été transfigurée.
Quoi de mieux qu’un teint lumineux et une peau éclatante pour rayonner tout au long de la journée ?
Sciemment utilisée, la véritable huile de pépins de figue de Barbarie bio rendra inutiles les crèmes hydratantes ainsi que de nombreux produits de beauté, ce qui, même si elle peut initialement sembler dispendieuse à l’achat, allègera finalement le budget et l’environnement.
Geneviève Maillant
Pour trouver une véritable huile pure de pépins de figue de Barbarie vierge, pressée à froid, biologique et issue d’une petite coopérative de femmes travaillant dans le respect des valeurs humaines et de l’environnement, c’est par ici :
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Merci beaucoup de ce mail.
Merci
Merci
Merci 😉
et moi qui arrête d’utiliser des cremes car je trouve que cela me donne de l’acné à 33 ans alors que je n’en ai jamais eu… je veux bien me laisser tenter car l’hiver est rude par chez nous et hydrater sa peau est nécessaire… cet article tombe vraiment àpic merci beaucoup,
cordialement
Bonjour mon maître grand merci pour tes infos ces rappels des fois pour moi que de découvertes. Encore merci.
Merci
bonsoir et merci pour ces informations bien utiles.
J’ai acheté un petit flacon sur un salon bio et il m’a semblé que cette huile était de qualité.
J’envisage d’en racheter très prochainement.
Merci !
Bonjour et merci bien
merci tres interessant
Merci
Merci
Merci pour votre newsletter que je lis avec un réel plaisir à chaque fois, une vrai mine de merveilleux conseils.
merci pour cette information,là première fois que j’ai utilisé de l’huile de pépins j’ai trouvé mon teint plus lumineux.