À Nantes, un étudiant en médecine de 24 ans, décrit comme « sportif et sain » par ses proches, est décédé dix jours après avoir été vacciné contre le Covid.
Suite à ces événements, certains médecins de l’hôpital préférant conserver l’anonymat déclarent :
« Je ne peux plus inciter mes internes à aller se faire vacciner. »
Bien que les autorités ne mettent pas directement en cause le vaccin, ce qui interpelle, ce sont les conditions de la mort du jeune homme.
Aucun antécédent médical, aucun trouble avec le coronavirus durant la première année de pandémie, pourtant, mort dans des conditions similaires à d’autres internes ayant reçu le même vaccin ou des technologies similaires, aux États-Unis, en Angleterre, en Corée, en Allemagne, en Inde, au Brésil, en Espagne, et dans de nombreux autres pays où ces corrélations auront été moins médiatisées.
Corrélations avec l’apparition de caillots obstruant le flux sanguin, allant d’une semaine à quinze jours après la première dose ou peu de temps après la seconde, puis provoquant la mort par étouffement de la sphère cardiaque ou pulmonaire.
Ce qui est le plus inquiétant dans ce constat, c’est que cette fois ce ne sont pas uniquement les nourrissons, les personnes âgées et celles ayant des antécédents médicaux qui sont concernés.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Sources :
En France :
En Corée :
En Inde :
Au Brésil :
Aux États-Unis :
…
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C’est un scandale cette histoire de vaccins et je ne comprends pas que peu de personnes se révoltent contre ce pouvoir qui nous mène à la ruine, aussi bien au niveau de la santé de tous que sociale.