
Un récent rapport publié par BMJ impliquant la modélisation de 195 pays jusqu’en 2050, montre une augmentation fulgurante des cas de Parkinson depuis 2021. (1)
Or, si cette modélisation implique surtout les conséquences de l’augmentation de personnes âgées susceptibles de vivre plus de 80 ans, des carences évidentes existent concernant les OGM, pesticides, et technologies nanoparticulaires.
Je vous propose de déterminer ici, études scientifiques à l’appui, quels pourraient être les autres facteurs de cet impressionnant bond en avant de la maladie de Parkinson.
Mais aussi, cela va de soi, quels sont les meilleurs espoirs de prévention, de soutien et de traitements naturels face aux formes précoces de cette redoutable maladie.
Les facteurs d’aggravation et toxiques déclencheurs de la maladie de Parkinson
La logique de l’étude de BMJ est évidente aux yeux des Occidentaux, plus une population vieillit, plus elle présente un risque important de maladies liées à la « sénilité », comme la maladie de Parkinson.
Pourtant je ne partage pas entièrement son simplisme.
Avant l’apparition de l’ère industrielle, il était rare d’observer tant de défaillances cognitives chez celles et ceux dépassant la soixantaine.
Bien sûr l’expression « sucrer les fraises » ne date pas d’hier, mais elle s’employait avec parcimonie lorsque l’on dépassait un âge approchant le siècle de vie.
Qu’a-t-il bien pu se passer entre temps ?
Pourquoi des jeunes gens qui n’auraient jamais été affectés auparavant, et des personnes ayant tout fait pour avoir une vie saine, se retrouvent condamnés par cette maladie contre laquelle la médecine officielle est impuissante ?
Et bien, vous vous en doutez, l’apparition de perturbateurs du système nerveux central, de l’intégrité des cellules ainsi que de l’ADN humain, s’étant répandus à un point critique semblant presque sans retour.
Désastreux tant pour la consommation humaine et ses conséquences sur son patrimoine génétique, que pour l’environnement.
Plus précisément, les facteurs d’aggravation de la maladie de Parkinson se déclinent entre :
- Les nanoparticules pouvant coloniser le cerveau en passant à travers la barrière hémato-encéphalique.
- Les pesticides, leur impact sur le système nerveux central ainsi que leur capacité à dépasser la barrière hémato-encéphalique.
- Les OGM en général et le risque qu’ils représentent pour l’altération du code génétique humain et l’apparition de troubles auto-immuns acquis.
Et pour être parfaitement clair à ce sujet, la liste de ces polluants et de leurs réactions concernant la précipitation ainsi que l’induction de la maladie de Parkinson, est le fruit d’une analyse personnelle.
Aucun média occidental, étude officielle, organisme de statistique, ni aucun scientifique n’y fait directement allusion.
Pourtant il existe bien quelques preuves, ainsi qu’une observation empirique indiscutable.
Mais il pourrait tout d’abord être utile de considérer en quelle mesure l’augmentation de la maladie de Parkinson s’est produite ces dernières années.
D’une part, cette étude complémentaire montre qu’avant 2021, soit depuis les années 90, l’augmentation de cas de Parkinson dans le monde n’a jamais cessé. (2)
Mais confirme aussi qu’une multiplication des personnes touchées est notable depuis 2021.
Donc, si les pesticides sont le facteur de développement de la maladie de Parkinson le plus sourcé scientifiquement (3,4), de même que les OGM qui les accompagnent généralement à travers une consommation industrielle s’étant intensifiée depuis les années 90, quels autres facteurs sont apparus depuis ?
En 1990, environ 3,15 millions de personnes étaient atteintes de la maladie de Parkinson.
Tandis qu’en 2021 le nombre est passé à 11,8 millions, soit une augmentation de 274% en 31 ans.
Pour être encore plus précis, on pouvait compter un peu plus de 6 millions de malades en 2015. (5)
Par conséquent, si comme le suggère cette publication il a fallu 25 ans pour une augmentation de 3 millions de cas entre 1990 et 2015, qu’a-t-il bien pu se passer entre 2015 et 2021 pour qu’en seulement 6 ans ces chiffres aient pratiquement doublé ?
-
Les corrélations entre les protéines du Covid-19 et Parkinson
Bien qu’à l’état de balbutiement, différentes études creusent actuellement les liens de causalité existant entre Covid-19, le potentiel neuro-invasif des protéines qu’il véhicule, et Parkinson. (6,7)
Arrivant souvent à la conclusion que dans la plupart des cas le Covid ne serait pas un déclencheur mais un facteur aggravant considérable.
Cette vulgarisation scientifique de 2021, montre comment ce facteur aggravant pourrait tout aussi bien être perçu comme un déclencheur chez des sujets sensibles qui auraient pu l’éviter. (8)
-
Les nanoparticules et nanotech
Dans ce domaine il est prouvé que l’accumulation de certains types de nanoparticules atmosphériques, suffisamment fines pour passer la barrière hémato-encéphalique depuis les voies respiratoires, peuvent provoquer Parkinson par extinction cellulaire et disruption du système nerveux. (9,10,11)
Et, puisque nous savons aujourd’hui que le devenir de n’importe quel type de nanotechnologie, sur le long terme, que ce soit dans le foie, le cœur ou le cerveau, est d’oxyder, de détruire les cellules, d’inflammer le terrain et de provoquer des défaillances multiples…
Chaque particule de synthèse assez fine pour pénétrer le cerveau depuis le système sanguin, représente un risque supplémentaire du développement de la maladie de Parkinson.
Ainsi, le constat des facteurs déclencheurs devrait s’étendre à tout vaccin ou injection contenant des nanoparticules allant de l’aluminium, argent, graphène, aux excipients composés de nano liposomes.
Nanoparticules pouvant d’ailleurs expliquer en toute logique, depuis l’apparition des premières technologies vaccinales en contenant dès 2016, la déplorable évolution de la maladie de Parkinson entre cette date et 2021.
Qui, en se référant au rapide calcul exprimé précédemment, aurait doublé en six ans.
Et s’il est trop tôt pour disposer de preuves à propos de l’implication des injections ARN, leurs nombre et fréquence d’administration pourraient augurer une résurgence bien plus importante que les projections prévues pour 2050.
Prévenir et traiter la maladie de Parkinson naturellement
Faisant partie des maladies neuro-dégénératives, la maladie de Parkinson est aussi le résultat d’une dégénérescence globale de l’organisme.
Ainsi, avant de s’inquiéter des remèdes et solutions naturelles à même de combattre la maladie, il conviendra, si ce n’est déjà fait, de restaurer le terrain.
D’une part, en évitant tout type d’aliment OGM contenant des additifs alimentaires toxiques, transformés, puriniques, comme les excès de viandes, les excitants et les alcools.
Et d’autre part, en consommant une alimentation variée, essentiellement constituée de produits frais et vivants, favorisant en priorité ceux nourrissant le cerveau.
Parmi eux se trouvent notamment :
✵ La noix
✵ Le thé de cosse de cacao ou husk tea
✵ Les myrtilles, mais aussi les baies en général
✵ Le chocolat, ou la véritable poudre de cacao cru complète
✵ Les avocats
✵ Le brocoli
✵ Le céleri
✵ Les patates douces
✵ L’huile d’olive
✵ L’huile de chanvre
✵ L’huile de périlla
✵ Les poissons sauvages des mers froides
✵ Les aliments riches en manganèse, chrome, vitamine B6
Les exercices physiques doux favorisant une coordination complexe comme les Qi Gong, auront la capacité de retarder à eux seuls l’apparition des effets de la maladie et éviteront le stress ainsi que différents facteurs aggravants.
Parmi eux, on peut dénombrer en priorité et par degré d’importance :
→ l’insomnie
→ l’anxiété
→ l’épuisement physique
→ les infections
→ les maux de tête
→ l’hypertension artérielle
→ le trouble du déficit d’attention…
Qu’il conviendra de remplacer par leur contraire, à savoir un cerveau bien entretenu à qui l’on procure :
✵ énergie
✵ bonne humeur
✵ absence d’addiction
✵ maintien d’un poids idéal
✵ sommeil réparateur
✵ ainsi qu’un apprentissage continuel.
Ensuite, et seulement ensuite, vous obtiendrez une action parfaitement optimisée des remèdes suivants :
À raison d’une cuillère à café par jour d’une formule allant de 20g à 37g par litre pour la prévention, et d’un dosage de 567mg par jour en cas de troubles avérés, soit 3 cuillères à café par jour de Phycocyanine dosée à 37 grammes par litre.
Consulter cet article pour plus d’informations : Votre dosage de Phycocyanine, de la cure antioxydante aux pathologies lourdes et chroniques
Plusieurs études confirment son action déterminante contre Parkinson, mais aussi contre Alzheimer, tant en prévention qu’en traitement.
Consulter cet article pour plus d’informations : Gotu kola, l’autre Brahmi
Riche en oméga, chlorophylle, manganèse, chrome, et stérols végétaux, il permet de prévenir et lutter contre les maladies neurodégénératives.
Plus d’informations disponibles dans cet article : Moringa, l’arbre aux 300 facettes
Que je classe ici, non pas comme un simple aliment, mais comme un véritable remède contre Parkinson, pour la source considérable de GABA facilement assimilable qu’il représente.
Plus d’informations dans cet article : L’ail noir, diamant nutritionnel ou orchestration marketing sans scrupule ?
Il existe également des approches plus spécifiques et puissantes destinées à faire régresser la maladie à des stades avancés, dont nous aurons peut-être l’occasion de reparler prochainement.
Cependant l’application de ces conseils devrait permettre, y compris à celles et ceux ayant des prédispositions particulières, d’éviter une confrontation trop directe avec Parkinson.
Sachant que, bien que pour des raisons discutables, des études recoupent une prédisposition particulière des ethnies colombiennes, juives ashkénazes et africaines.
Les hommes étant légèrement plus atteints que les femmes, avec un taux d’incidence de plus de 60%.
Par ailleurs, et pour finir, n’oubliez pas que l’accumulation de nanoparticules atmosphériques, alimentaires, pharmaceutiques, et autres, peuvent ruiner constamment vos efforts préventifs.
Afin d’assurer une dépollution régulière des nanos et nanotechs, une cure de Moso 3000 en poudre ou en gélules s’impose, au moins à raison de 15 jours chaque trimestre.
Et les cas les plus avancés gagneront quant à eux, à appliquer un dosage soutenu des compléments détaillés plus haut, ainsi qu’une diététique stricte sur la base des conseils prodigués dans cet article.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Sources et références :
- https://www.bmj.com/content/388/bmj-2024-080952
- https://www.frontiersin.org/journals/aging-neuroscience/articles/10.3389/fnagi.2024.1498756/full
- https://www.gmoevidence.com/glyphosate-herbicide-exposure-linked-to-parkinsons-disease/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37193692/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30584159/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35883526/
- https://www.nature.com/articles/s41531-020-00123-0
- https://www.biospace.com/study-illuminates-possible-link-between-covid-19-and-parkinson-s-disease
- https://aseq-ehaq.ca/wp-content/uploads/2021/11/Sensibiite-neurologique_John-Molot.pdf
- https://www.appa.asso.fr/wp-content/uploads/2020/02/Marano_2010.pdf
- https://als.be/fr/Exposition-a-la-pollution-air-liee-a-circulation
Très bonne vision du sujet auquel il faut ajouter les ondes électromagnétiques, types wifi, micro-ondes, 2, 3, 4 et surtout la 5G. Le smartphone est à utiliser loin du cerveau avec des écouteurs, les ordinateurs, les lampes basse consommation qui émettent des ondes. Depuis plusieurs décennies les épandages des avions « chemtrails » jamais officialisés mais qui rejettent des nanoparticules, des métaux lourds et dérèglent le climat, il suffit d’observer le ciel régulièrement pour comprendre ! etc…
Merci pour tous ces bons conseils!
Après lecture de l’article, je me pose la question: doit on eviter tout complément alimentaire liposome comme la vit C… car on ne sait pas quelle est la taille du liposome en question sur le site marchand.
A partir de quelle taille un lipisome est un nano liposome donc néfaste.
Merci pour cet article époustouflant de lucidité
Gazil Bonjour, Merci infiniment pour votre commentaire, qui va également nous permettre de préciser publiquement ce point. Au demeurant, c’est très simple : seuls les laboratoires pharmaceutiques accrédités peuvent formuler des liposomes nano. Cela signifie que toute vitamine C achetée en pharmacie, en parapharmacie ou sur des plateformes pharmaceutiques en ligne cache très probablement une formule de liposomes nano. Cependant, ceux n’ayant pas cette accréditation mais garantissant la taille des liposomes sont contraints de se limiter au micron. C’est, par exemple, le cas de la formule sélectionnée par notre comité. Ensuite, étant donné que les caractéristiques physico-chimiques de tout corps,… Lire la suite »