Bien que le foie permette à l’organisme de se débarrasser spontanément des pollutions organiques, à notre époque il est souvent saturé de « xénobiotiques », des pollutions extérieures comme les métaux lourds, médicaments de synthèse, nanoparticules, phtalates, bisphénol A, C.O.V., additifs alimentaires, solvants, détergents, pesticides… l’empêchant de jouer pleinement son rôle.
Or une telle surcharge hépatique provoque inévitablement une avalanche de symptômes indiquant sa saturation, avant que les organes vitaux ne soient touchés.
En prévention comme en traitement, il peut être utile d’envisager une cure appropriée, permettant de désengorger rapidement le foie, mais aussi les reins et la vésicule biliaire.
Personne ne peut nier l’importance fondamentale de la cure détox.
Cependant il est vrai que d’acquérir n’importe quelle formule sans savoir sur quoi elle agit et sans respecter l’équilibre alimentaire qui en découle, n’a que très peu d’intérêt.
Pire, si le remède est efficace et mal employé il pourrait provoquer une crise détox, qui, mal gérée, ferait plus de mal que de bien.
Même un simple régime minceur, brûlant des graisses ayant stocké ces déchets pendant des années, peut entraîner un important dégorgement de substances toxiques en direction du foie.
Par ailleurs au-delà des nombreux désordres organiques que cela implique, un foie mal entretenu génère :
→ mauvaise haleine,
→ colères intempestives,
→ problèmes de peau,
→ fatigue,
→ insomnies…
Il convient donc à la fois de comprendre les mécanismes de la cure détox et de savoir qu’aujourd’hui même en prenant grand soin de son alimentation et de son hygiène de vie, il est impossible d’être totalement à l’abri des pollutions xénobiotiques, ces molécules de synthèse saturant le foie jusqu’à ce qu’il ne puisse plus assurer sa fonction protectrice.
Pour l’aider à reprendre son travail en profondeur, si la traditionnelle cure de jus de citron s’avère trop légère, certaines plantes aux puissantes vertus détoxifiantes pourront agir simultanément sur le foie, les reins et la vésicule.
4 plantes pour une detox hépatique complète
Bien connu pour l’efficacité de ses remèdes d’urgence, le Docteur Willem a pensé une formule détox hépatique fort intéressante basée sur 4 plantes, agissant tant sur le foie que les organes liés à son bon fonctionnement.
La particularité de cette approche permettra, à petite dose, d’organiser une détox restaurant les fonctions essentielles du foie, et, à plus forte dose, d’agir sur des maladies témoignant d’une longue intoxication hépatique comme :
→ la cirrhose,
→ l’insuffisance hépato-rénale,
→ l’ethylisme,
→ la stéatose,
→ et l’hépatite.
Hormis ces grandes indications, ce sera aussi l’occasion de nettoyer ce précieux organe des agressions dues aux médicaments de synthèse et chimiothérapies.
1/ Le desmodium adscendens soutient le système hépatique
Re-découvert par le Docteur Pierre Tubéry et son épouse le Docteur Anne-Marie Tubéry, le desmodium est une plante africaine d’une puissance phénoménale contre les pathologies du foie.
Favorisant les fonctions de drainage hépatique et permettant de faire face aux diverses agressions et inflammations du foie, cette merveilleuse herbe vivace permet notamment, au bout de quelques jours seulement, une élimination complète de l’éthanol présent dans la glande.
Mais d’une manière plus générale, par voie interne le desmodium est :
→ bronchodilatateur, relaxant les tissus pulmonaires et les muscles bronchiques,
→ antiasthmatique, luttant contre les crises d’asthme bronchique,
→ antiallergique, contribuant à soigner les allergies digestives soudaines et les œdèmes de Quincke,
→ hépatoprotecteur, augmentant la résistance aux inflammations d’origine toxique ou infectieuse,
→ décontractant musculaire, contre les courbatures, crampes et spasmes.
Mais pour en renforcer les effets, il est conseillé de l’associer au chrysantellum americanum ainsi qu’au chardon-Marie.
2/ Le chrysantellum americanum régénère le foie et protège la circulation
Originaire des hauts plateaux d’Amérique du sud, la « camomille d’or » ou « herbe aux fleurs d’or », n’a rien à voir avec notre camomille commune.
Sa forte teneur en bioflavonoïdes lui conférant des propriétés anti-lithiasiques et anti-inflammatoires, le chrysantellum protège et régénère les cellules hépatiques tout en favorisant la micro-circulation.
C’est pourquoi on le conseille généralement en cas :
→ d’alcoolisme ou intoxication éthylique,
→ d’insuffisance biliaire,
→ de troubles digestifs,
→ de cirrhose,
→ de fragilité capillaire,
→ d’hyperlipidémies,
→ de lithiases,
→ ou de troubles vasculaires.
Par ailleurs son activité hypoglycémiante en fait un puissant remède polyvalent pouvant servir aux diabétiques.
Et c’est toujours en optimisant les effets des deux premiers que vont pouvoir s’intégrer les vertus du chardon-Marie.
3/ Le chardon-Marie et sa précieuse silymarine
Selon certaines recherches menées aux Etats-Unis à la fin des années 90, la silymarine, substance active du chardon-Marie, irait jusqu’à ralentir la croissance des cellules cancéreuses humaines.
Qui plus est, on sait que la silymarine est particulièrement efficace contre les :
→ troubles du diabète,
→ conséquences de l’alcoolisme,
→ hépatites virales, aigües et chroniques,
→ cirrhoses,
→ hépatites,
→ jaunisses,
→ et les maladies inflammatoires.
Mais ce n’est pas tout puisque ses propriétés anti-radicalaires protègent également des lésions pouvant toucher le foie, provoquées par certains xénobiotiques.
De plus, en agissant directement sur les hépatocytes, la silymarine stimulera l’élimination et favorisera la régénération du tissu hépatique.
A présent que les mécanismes hépatiques, tout comme la mircrociruclation et les fonctions biliaires sont assurés avec l’appui de ces trois premières plantes, la formule du laboratoire Phyt-Inov propose de compléter ces grands classiques avec… de l’huile essentielle de carotte.
4/ L’huile essentielle de carotte pour optimiser la circulation et drainer les reins
Selon la médecine chinoise le foie est le carrefour des émotions, avec en premier lieu la gestion de la colère et de la bile, ce n’est donc pas étonnant que l’on prétende que manger des carottes rende aimable.
Toutefois il faudra plus que quelques carottes pour espérer atteindre la puissance thérapeutique d’une huile essentielle.
Afin de vous en faire une idée, imaginez qu’il faut en moyenne 10kg de graines de carottes pour en extraire un peu plus de 10cl d’huile essentielle.
Par voie interne cette huile s’avèrera utile contre :
→ les affections hépatiques,
→ les troubles rénaux,
→ l’anémie,
→ l’hypercholestérolémie,
→ ou les troubles du transit.
Et, de par son implication sur la sphère rénale, l’HE de carotte sera aussi tout indiquée en prévention comme en traitement des infections urinaires.
Pour réunir facilement tous ces remèdes en un, une synergie associant les extraits secs de plantes à l’HE de carotte, dans des gélules végétales certifiées sans nanoparticules ni OGM est disponible sur cette page.
On pourra suivre la cure à raison de 1 à 3 gélules par jour, au moins 15 minutes avant les repas, étalée entre trois semaines et un mois, ou plus en fonction des améliorations.
Pensez toutefois à faire une pause d’au moins une semaine lorsque les facultés hépatiques seront améliorées, pour éviter de trop fatiguer la glande.
Toutefois il serait dommage d’en profiter sans entreprendre une saine diététique hépatique, que l’on pourra renouveler à souhait.
La diététique de la cure hépatique
Avant, pendant et après l’usage des plantes que nous venons de voir, une alimentation garante du bon déroulement du processus permettra de maîtriser la ou les crise(s) détox tout en expulsant correctement les toxines et divers polluants présents dans l’organisme.
Pour ce faire il conviendra en premier lieu d’arrêter, ne serait-ce que momentanément, l’absorption :
→ d’alcool,
→ de chocolat,
→ de graisses animales,
→ de lait et produits laitiers,
→ et, si possible, de médicaments de synthèse.
Dans le même temps on drainera l’organisme à l’aide d’une mini cure de fruits et de psyllium pouvant aller d’un à deux jours, en prenant soin d’éviter le pamplemousse et les oranges.
De cette manière c’est sur un terrain sain que va pouvoir commencer la cure de détox hépatique, gagnant en profondeur et en efficacité.
Tout au long de la cure et un certain temps après, on favorisera les :
→ légumes crus en salade,
→ fruits frais,
→ céréales complètes et fibreuses,
→ desserts sans sucre ou aromatisés à la stevia,
→ et jus verts frais à l’extracteur…
En insistant tout particulièrement sur :
→ le radis noir,
→ le pissenlit,
→ l’artichaut,
→ le psyllium,
→ les aliments probiotiques,
→ et la spiruline.
On complètera le tout en buvant beaucoup d’eau, la plus pure et la moins minéralisée possible afin de favoriser le drainage rénal, ainsi que des infusions de :
→ boldo,
→ radis noir,
→ pissenlit,
→ et artichaut.
Rendez-vous sur cette page pour trouver le complexe synergique de silymarine, desmodium, chrysantellum et HE de carotte formulé par le Docteur Willem, dans des gélules sans nanoparticules ni OGM.
On pourra suivre la cure à raison de 1 à 3 gélules par jour, au moins 15 minutes avant les repas, étalée entre trois semaines et un mois, ou plus selon les cas.
Pour soutenir Réponses Bio et nous permettre de rester un media indépendant, RDV sur notre page Tipeee en cliquant sur ce lien.
Merci
Merci
Merci
Merci
et quand on ne supporte pas les gelules ? y a t il une forme liquide ?