En France, des conditions particulièrement propices à la dissémination des pollens sont à l’origine d’une inhabituelle abondance de ces particules volatiles.
Peu alertés, les allergiques et les asthmatiques bronchiques, mais également ceux y étant tout particulièrement sensibles, se préparent à passer un été désagréable, voire cauchemardesque.
Ce n’est pourtant pas une fatalité, des gestes de bon sens et des alternatives naturelles existent bel et bien !
En dehors du RNSA (Réseau National de Surveillance Aérobiologique) et de quelques quotidiens du sud de la France, peu de médias ont jugé nécessaire d’alerter les allergiques et les asthmatiques, représentant pourtant près de 30% de la population française, de l’anormale pollinisation que nous subissons actuellement.
Bien que nous ne disposions pas de suffisamment d’informations pour étendre ce constat au reste de l’Europe, nous avons tout de même décidé de communiquer ici un état des lieux.
Un raz-de-marée parfois invisible
Si vous habitez dans la proximité des Landes de Gascogne, comme c’est le cas des bureaux de Réponses Bio, vous n’aurez pas manqué de remarquer un pollen jaune foisonnant qui se dépose chaque jour en pellicule de plusieurs millimètres d’épaisseur un peu partout sur les voitures, les terrasses et les objets extérieurs, mais aussi dans les maisons dès lors qu’on laisse une fenêtre ouverte.
C’est le fait de la pollinisation des pins maritimes particulièrement présente cette année, faisant déjà éternuer et souffrir toutes les personnes présentant une sensibilité allergique.
Mais qu’il soit visible ou non, c’est pratiquement l’ensemble des régions françaises qui oscillent entre des alertes moyennes, élevées et très élevées.
Selon le RNSA dont vous pouvez consulter la carte en suivant ce lien :
« Les quelques pluies éparses prévues pour ce weekend Pascal ne limiteront que peu les pollens allergisants présents.
Les pollens de bouleau domineront encore sur une grande moitié Nord du territoire et dépasseront les quantités d’œufs en chocolat surtout sur l’Auvergne et le Limousin, et de la Bretagne à l’Alsace.
Les pollens de platane et de chêne se répandront, mais profiteront surtout de la côte Ouest et de la Méditerranée.
Frêne et saule dissémineront encore quelques pollens, mais sans grande gêne pour les allergiques tandis que les herbes, plantain et oseille commenceront leur dispersion en Aquitaine.
Les graminées ont bien profité des conditions météo douces, leurs pollens seront présents sur une grande partie du territoire pour ce weekend Pascal.
Le risque d’allergie sera faible sur des Pays de Loire à l’Occitanie et sur le bassin de la vallée du Rhône.
Les allergiques aux pollens de bouleau devront rester vigilants, tandis que ceux sensibles aux pollens de graminées doivent se préparer. »
Compte-rendu qui ne considère peut-être pas toutes les formes de pollens ou les pathologies sensibles à une telle surabondance, ayant tout de même le mérite de faire le point là où d’autres se taisent.
Des facteurs aux dépistages hasardeux
Mise à part la question préoccupante des pollens, de plus en plus de facteurs allergènes issus de PGM (Plantes Génétiquement Modifiées), de nanoparticules ou de chemical trails (épandages chimiques par voies aériennes) déstabilisent et affaiblissent globalement le système immunitaire.
Malheureusement le peu de recul et de diagnostics adaptés à ces nouvelles menaces ne permet pas d’identifier la nature des troubles, faisant souvent penser à des problèmes de nature allergique.
Pourtant, que ce soit par le biais des médecines naturelles ou de l’allopathie, le manque d’informations pertinentes proposées aux allergiques ne pourra qu’ajouter à la confusion et au désarroi des victimes, elles-mêmes perdues dans le méandre des possibles.
Un état des lieux du phénomène allergique associé à quelques précautions de bon sens
Qu’à cela ne tienne, puisque les allergiques ayant identifié la nature de leurs problèmes sont les premiers visés par cette explosion de pollens divers et variés, j’ai demandé conseil à un spécialiste de la question, qui est également versé en homéopathie et thérapies vibratoires.
Si l’on en croit l’expérience d’Olivier Coen, fondateur de l’APSL et Lumen Care Laboratory, pour la plupart des gens le pollen ne présente pas un réel problème, pourtant son déferlement en masse augure des risques bien réels pour tout le monde.
Au même titre qu’un gros nuage de poussière, il y un effet mécanique d’intrusion de ces particules qui, aussi inoffensives qu’elles soient habituellement, s’avèrent bien plus problématiques lors d’une apparition massive.
Des problèmes d’irritations mécaniques dont il peut être prudent de se prémunir.
Par conséquent, il conviendra de redoubler de vigilance et de ne pas s’y exposer outre mesure, d’autant plus si un temps sec et venteux persiste.
Sans aller jusqu’au calfeutrage, sauf si la situation devenait insupportable, voici quelques principes de base qui pourront être utiles à tous :
→ réduire l’activité physique particulièrement aux heures les plus chaudes,
→ se protéger à l’aide d’un masque ou d’un foulard,
→ porter un chapeau ou un couvre-chef,
→ appliquer une crème ou une huile naturelle pouvant constituer une première barrière de captation,
→ éviter d’étendre le linge à l’extérieur,
→ avoir une tenue d’intérieur différente de la tenue d’extérieur qu’on laissera à la porte pour ne pas répandre ce qu’on a récolté au dehors dans toute la maison,
→ n’aérer sa maison ou son appartement que tôt le matin avant l’envol des pollens accentué par la chaleur,
→ se laver les cheveux fréquemment et pratiquer des ablutions nasales.
Mais pour les allergiques le problème est double puisqu’ils subissent à la fois, l’attaque mécanique et l’attaque immunitaire.
L’exacerbation des défenses naturelles du corps enflammera alors les muqueuses atteintes à la moindre occasion.
Un allergique à la poussière verra ainsi sa réactivité augmentée par l’ampleur du phénomène des pollens dont il est ici question.
Les allergies étant principalement la conséquence de chocs physiques ou émotionnels, enregistrant les éléments avec lesquels il est en contact comme marqueur de l’évènement.
Par la suite tout contact avec un de ces éléments agira comme un rappel de danger en activant les défenses du système immunitaire.
Il est donc quasiment impossible d’être allergique à une substance avec laquelle on entre en contact pour la première fois, mais par la suite, la simple présence du réactif appelant cette mémoire sera suffisante pour déclencher une réponse immunitaire disproportionnée.
La quantité n’étant en l’occurrence qu’un facteur aggravant dans la mesure où le corps identifiera davantage de particules à évacuer.
Contre cela l’allopathie ne propose que des traitements d’urgence dont il peut être difficile de se passer au-delà d’un certain seuil de tolérance, mais avec tous les effets secondaires néfastes que nous lui connaissons.
Par ailleurs, il est important de comprendre que la désensibilisation conventionnelle est très longue et laborieuse, et sans aucune garantie de succès.
Elle ne constituera donc en aucun cas une solution à court terme.
Les solutions homéopathiques
L’homéopathie s’avère être le compromis idéal, permettant à la fois de proposer un traitement de crise et un traitement de fond, à renouveler chaque année.
S’il est difficile de proposer des recommandations universelles tant les prescriptions homéopathiques dépendent de chacun, on pourra néanmoins s’accorder sur des principes de base.
En traitement de fond pendant toute la période, à commencer idéalement un mois avant :
→ Prendre POLLEN 15 CH à raison de cinq granules par jour, le matin à jeun.
En traitement de crise et selon les symptômes, y associer 3 granules 3 fois par jour quand nécessaire :
→ Si les yeux sont irrités APIS MELIFICA 9CH,
→ Si l’on éternue NUX VOMICA 9CH,
→ S’il y a un écoulement nasal ALLIUM CEPA 9CH,
→ En cas d’asthme allergique IPECA 9CH.
Les nouvelles avancées de la médecine vibratoire
Les dernières recherches en thérapie énergétique permettent cependant d’envisager des solutions aux allergies chroniques, de manière naturelle et non invasive.
On peut citer par exemple la méthode de réinformation vibratoire donnant de très bons résultats en permettant au corps de réapprendre à ne pas interpréter fallacieusement l’information vibratoire de l’allergène.
C’est une technique s’appuyant sur des principes homéopathiques à très haute dilution, par contact sur la peau et sans ingestion.
Cependant dans la mesure où elle traite les troubles chroniques à la source, elle n’est bien évidemment pas faite pour répondre à des situations d’urgence.
Mais bien qu’il soit conseillé de s’y prendre à l’avance il n’y aura pas de contre-indication à commencer en période de crise, des bénéfices pouvant survenir dès les premiers jours.
Jean-Baptiste Loin
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