Les marchands de mort de la vaccination obligatoire et de la médecine de masse répondent en priorité à des intérêts commerciaux, dans lesquels la santé de l’individu n’a tout simplement pas sa place.
De plus, les inventions nanoparticulaires, les métaux lourds ainsi que les nombreux OGM présents dans leur composition en font, et ce tout particulièrement pour les enfants et les personnes âgées, une arme de destruction massive.
Il y a plus de cent ans, avec la généralisation des vaccins, ce que l’on appelle aujourd’hui « la loi du marché de la santé », une médecine de masse cherchant à dominer les autres par tous les moyens s’est affirmée en toute impunité, au détriment de celle composée essentiellement de médecines traditionnelles, de remèdes de grands-mères, et de naturothérapeutes itinérants vivant en bonne intelligence.
Par peur de nouvelles épidémies, essentiellement dues à l’ignorance générale dans laquelle la population était volontiers maintenue, on injectait le virus mortel ou handicapant de la maladie redoutée afin de la désamorcer, au cas où elle devrait un jour menacer l’organisme.
Un jeu dangereux pour la santé, pratiqué volontiers par une médecine de masse ne se préoccupant ni des dommages collatéraux, ni des dangers à long terme d’une pratique avant tout censée séduire les investisseurs.
Un jeu de dupes qui n’a pourtant jamais gêné les autorités médicales et les pouvoirs politiques pratiquant toujours, un siècle plus tard, une approche de la santé dépersonnalisée profitant essentiellement à l’industrie pharmaceutique.
A son époque, déjà, Pie XII mettait en garde très clairement sur ce principe : « Je m’insurge contre la médecine de troupeau qui asservit le malade aux appétits mercantiles des grands laboratoires et le bien portant aux appétits plus meurtriers encore des fabricants de vaccins. »
L’insurrection de ce pape illustre parfaitement le malentendu dont profite aujourd’hui encore l’industrie chimico-pharmaceutique.
Depuis la stratégie marketing menant à l’obligation des vaccins pour tous, non sens atteignant fondamentalement les droits civiques, bien des philosophes, groupes de pensée religieux, naturothérapeutes, scientifiques et journalistes, se sont élevés contre l’armada de la santé officielle, qui accompagnée de ses intransigeants adeptes, s’est empressée de dénoncer « un clergé réactionnaire et des sectes diffusant des idées rétrogrades. »
Ou encore « des modes bio et vegan provenant d’illuminés qui disparaîtront aussi vite qu’elles sont apparues ».
La mécanique du pouvoir
Dans la notion de pouvoir il y a un élément fondamental… le principe de domination.
S’exerçant généralement par l’incitation à la peur, l’autorité ou la brutalité, cette notion de pouvoir repose également sur un totem, un symbole censé résumer la lutte titanesque entre le bien et le mal, demandant à tous de s’agenouiller devant l’idole toute puissante.
Dans le cas de la vaccination, ce jeu d’une médecine dominatrice maniant habilement l’intox et la propagande, n’est même plus nécessaire.
Bien que ce soit à l’encontre de la liberté thérapeutique individuelle, et que cela implique une forme de trust entre les gouvernements et une industrie mercantile, certains pays, comme la France, imposent la vaccination aux plus démunis, allant jusqu’à traîner en justice les parents s’y opposant, afin de leur enlever la garde des enfants.
A la radio, la télévision, sur internet, une véritable conspiration du silence, étouffe, depuis des années, de très nombreux biologistes, médecins, penseurs et journalistes, dénonçant le mécanisme pervers de la vaccination.
Les enfants en première ligne
Harris Coulter, éminent spécialiste américain, affirme preuves à l’appui que toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave empêchant un développement normal du cerveau et pouvant conduire à de nombreux handicaps, dont les troubles du comportement.
Le docteur Alain Scohy fait quant à lui remarquer que la dose vaccinale est sensiblement la même pour les bébés et les adultes, alors que le système immunitaire encore immature d’un bébé est incapable de mettre la moindre protection en place.
Et en observant la manière dont, depuis son apparition commerciale, l’étau s’est resserré et durci en toute légalité, on est effaré devant tant d’inconscience et de perversion.
Le système immunitaire d’un enfant mûrit très lentement, il devient fonctionnel seulement vers 10 ans, et pourtant on impose un produit vaccinal à des enfants de moins de deux ans.
S’ajoutant bien évidement aux études ayant prouvé que les métaux lourds et certaines nanoparticules, notamment métalliques, ainsi que l’absorption d’OGM reconnus comme dangereux puissent occasionner des séquelles, favoriser des maladies graves et même provoquer une mort rapide.
De toute façon, qui, plus tard, fera le lien avec les problèmes de croissance, de dyslexie, d’hypernervosité, d’asthme… avec les troubles caractériels, les dérèglements thyroïdiens, le diabète, ou de nombreuses autres maladies survenant généralement sept à dix ans après l’injection ?
Le vaccin est considéré comme un médicament miracle dans la mesure où il ne suppose aucun contradicteur ou contre-indication.
Pendant ce temps, les réactions physiologiques de chacun et les allergies n’entrent absolument pas dans les calculs de l’industrie pharmaceutique, occasionnant des morts qu’elle considère comme une quantité négligeable issue d’un dommage collatéral nécessaire.
Pourtant les alertes et les cris de désespoir face à ces mesures despotiques ont engendré un grand nombre de réactions.
En 1990 le docteur Louis Levy, chef du service des vaccinations à l’Institut Pasteur de Lyon, lança un cri d’indignation dans les médias :
« Si l’on vaccine contre la diphtérie, le tétanos, la polio, la coqueluche et l’hépatite B, l’ensemble représente tout de même 8mg d’hydroxyde d’aluminium.
Alors qu’au moins on ne vaccine pas les enfants allergiques avec ces types de vaccins ! »
Aluminium que l’on sait bien entendu toujours présent dans les préparations vaccinales actuelles.
Il affirma également aux membres de la commission de l’Assemblée européenne que :
« Le vaccin devrait perdre son caractère obligatoire et redevenir un acte médical à part entière, dont l’indication sera posée cas par cas, qui pourra être contre-indiqué, et dont l’efficacité et le suivi devront être mesurés et surveillés. »
Le professeur Jean Dausset, prix Nobel de la médecine en 1980 pour sa découverte du HLA (détermination du groupe cellulaire), proposait pour sa part ce qui s’avérera être une belle rêverie, que l’on l’espère aussi lucide que prophétique :
« La vaccination des enfants contre toute une série de maladies pourrait bientôt être une pratique du passé.
Les vaccins ne seront alors administrés que pour des maladies à risque élevé.
Nous sommes à la veille d’une nouvelle époque où chacun recevra un traitement personnalisé. »
La violence inclue dans le concept de domination
On considère généralement que le virus présent dans un vaccin est atténué, considéré tacitement comme inoffensif, pourtant depuis les années 80 différentes publications médicales comme Le Généraliste mettent en garde :
« Un virus, même atténué, peut reprendre sa virulence, c’est notamment le cas du virus polio vaccinal, qui redevient pathogène après son passage dans l’intestin et contribue à contaminer l’entourage. »
Il était une époque où des électrons libres pouvaient encore combattre la médecine de masse à découvert, sans craindre de divulguer leur identité.
Lise Thiry, professeur de microbiologie en Belgique et conseiller scientifique au ministère de la Santé belge estima que les virus atténués l’avaient été « un peu à la grâce du hasard ».
En réalité, dès 1964, dans Le Maroc Médical numéro 43, le Docteur Garcia Silva déclara que toutes les souches vaccinales issues des singes étaient porteuses d’une virulence neurologique.
Ce qui n’a pas empêché les laboratoires de créer les vaccins à partir des singes verts d’Afrique et d’Asie, porteurs du HIV animal !
Selon le Professeur R. Delong, virologue et immunologue de l’université de Toledo, aux Etats-Unis, « les virus peuvent retrouver leur virulence », aussi juge-t-il inconcevable que les promoteurs de vaccins ignorent ce que les virologues ont découvert sur les infections virales, continuant sans scrupule à infecter les humains avec de nouveaux virus au nom de l’immunologie.
Ils savent que les vaccins à virus vivants, porteurs de virus infectieux, peuvent engendrer de nouvelles maladies ainsi que des malformations, des aberrations chromosomiques, des mutations et des cancers.
Ce professeur, refusant de se faire complice de ces « empoisonneurs », ira jusqu’à dire :
« L’introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d’infection.
Le mal qui est fait est incalculable ! »
Vendu comme une panacée, un bouclier protecteur, le vaccin s’avère pourtant très souvent inefficace.
Le 28 mai 1993, le Dayton Times publie une étude menée par le Département de la Santé montrant que la moitié des cas de coqueluche rapportés de 1987 à 1991 dans l’Etat de l’Ohio ont été décelés chez des sujets vaccinés contre cette maladie, et qu’en 1989, 72% des 2720 cas de rougeole relevés dans ce même Etat, ont été décelés chez des enfants encore et toujours vaccinés contre ce virus.
Le tabou de la vaccination généralisée comme celui de la médecine de masse continue ainsi de s’effriter, dévoilant ses faiblesses et son avidité.
La loi du silence
Bien d’autres médecins, refusant de ramener l’homme à un rôle social de client endoctriné, mettent en garde contre les dangers des vaccins n’assurant aucune protection réelle.
Louis-Claude Vincent, ancien professeur à l’école d’anthropologie de Paris, a montré de façon incontestable, devant le Congrès de pathologie comparée, que toute vaccination contre une maladie microbienne prédispose aux maladies à virus et au cancer.
La vaccination antipoliomyélitique, par exemple, offrirait un terrain favorable à la tuberculose.
On fit silence sur sa déclaration, on évita qu’elle se répande dans la presse et les médias… le vaccin devait conserver sa place sacro sainte de médicament obligatoire pour tous.
La potion miracle devait continuer à permettre aux laboratoires de tourner à des cadences infernales tout en avançant leurs pions sur l’échiquier politico-économique.
Ce cynisme mercantile sans scrupule est visible régulièrement, ou à chaque nouvelle élection, sous forme de propagandes médiatiques atteignant le JT et les médias les plus populaires où il est question de l’urgence de se procurer des vaccins avant la pénurie, ou encore du manque de civisme de ne pas se vacciner ou de ne pas vacciner ses enfants, du danger qu’un individu non vacciné représente pour autrui…
La vaccination systématique, obligatoire, révèle un marketing totalitaire dangereusement vulgaire où la notion de choix et de différence n’a pas sa place.
Si l’humanité a la mauvaise idée de continuer à se laisser faire dans cette voie, nous ne serons plus qu’à un pas du Meilleur des mondes d’Aldous Huxley, ou du 1984 de Georges Orwell.
Des livres peignant un futur décérébré, sous contrôle, où l’individu n’est plus qu’un rouage privé de toute lucidité.
En 1979 dans The Dangers of immunization, les docteurs Kalokerinos et Dettmann, du Biologic Research Institute of Australia, rendaient public le résultat de leurs recherches :
« Les effets produits par les programmes vaccinaux de l’enfance sur les lymphocytes T montrent que le système immunitaire s’avère substantiellement endommagé à la suite des vaccinations de routine. »
Par la suite beaucoup d’efforts furent faits pour tenter de briser la chape de plomb et montrer l’incohérence de cette fausse médecine préventive.
En 1995, dans un dossier consacré à Pasteur, le Journal du CNRS s’interroge lui aussi :
« Que dire, à l’heure actuelle, des espoirs de la vaccination ?
L’époque à laquelle celle-ci était considérée comme la solution universelle à toutes les maladies infectieuses est révolue.
Face à la question du sida, de l’hépatite C et du paludisme, une prise de conscience des limites et des difficultés de la méthode est apparue.
Le problème essentiel est la variabilité, qui permet à l’agent pathogène d’échapper à la réponse immunitaire de l’hôte et d’établir une infection persistante. »
Les médecins responsables faisant preuve de lucidité reconnaissent généralement les dangers du vaccin, une étude datant de quelques années montre d’ailleurs que plus de 70% d’entre eux refusent de faire vacciner leurs enfants.
Le Professeur Roitt rappelle dans son traité intitulé Immunologie fondamentale et appliquée que « bien qu’il soit possible de détruire in vitro des virus ou des cellules infectées, il est difficile d’évaluer l’importance de ces mécanismes in vivo. »
Un problème qui aurait dû apparaître comme crucial aux instances officielles de santé dans la mesure où nous ne connaissons pas réellement les fonctions des mécanismes de protection chez l’homme, ni même sa résistance aux infections virales.
Dans ces conditions comment est-il possible d’injecter la souche d’un virus, même infime, en production systématique, empirique, et… obligatoire ?
Le risque d’activer des fonctions inappropriées provoquant des maladies parfois bien plus sévères que le virus injecté, est lui aussi parfaitement négligé.
S’il n’y avait pas derrière cette vaste désinformation, la volonté de verrouiller solidement un système de santé à sens unique, une telle prise de conscience aurait suffi à éloigner les stocks de vaccins des dispensaires et cabinets médicaux.
Pendant ce temps, le ministère français de la santé, fief de l’industrie pharmaceutique, comptabilise prudemment les accidents post-vaccinaux en n’intégrant à l’équation que ceux donnant lieu à des poursuites conséquentes.
Poursuites rapidement réglées, bien sûr, en prétendant l’absence de lien direct entre la vaccination et l’accident, désignant « de simples coïncidences ».
Et lorsque le tribunal administratif donne raison aux plaignants, l’Etat, condamné, refuse de verser les sommes dues aux victimes, souvent démunies, devant automatiquement multiplier les démarches si elles veulent avoir une chance de faire appliquer le jugement.
Choisir ce qui va dans le sens de la vie
Le terme de vaccination obligatoire donne l’impression de vivre dans une forme de servitude médicale, faussement protectrice, nous assignant ad vitam aeternam à un rôle de client.
Un monopole effrayant réduisant l’être humain à un numéro dans un élevage en batterie, n’ayant que l’illusion du choix de consommer ce qu’il désire.
Mais bien entendu le renfort de l’OMS préconisant inlassablement une « couverture mondiale » par vaccinations massives de toute la population, est un argument laissant sans voix les pauvres gens ne comprenant pas les machiavéliques rouages du pouvoir de l’industrie pharmaceutique.
Comme preuve que le vaccin est une soit-disant panacée, cette organisation pourtant née de nobles intentions, cite la variole comme ayant été « éradiquée par le vaccin », ce qui est totalement faux.
En revanche, il est maintenant reconnu que la vaccination antivariolique favorise l’affaiblissement du système immunitaire, de sorte que la virulence du bacille de Koch s’en trouve renforcée, c’est en tout cas ainsi que la tuberculose est devenue le fléau du XIXème siècle.
A l’inverse, la suspension de la vaccination anti-virale a provoqué un spectaculaire déclin des cas de tuberculose dans les années 80.
Mais si la peste et la lèpre par exemple, ont été endiguées, c’est avant tout grâce aux progrès de l’hygiène ainsi qu’une connaissance relative de certaines médecines traditionnelles.
Les enfants sous-alimentés du tiers monde n’ont pas été sauvés par les vaccins !
C’est le retour à une bonne alimentation, l’eau potable et une hygiène fondamentale, qui ont été garants de leur survie.
Dans son livre Vaccinations : l’overdose Sylvie Simon écrit que le vrai héros de la lutte contre les épidémies, ce n’est pas Pasteur, mais le préfet Poubelle, qui a imposé la collecte rapide des ordures ménagères dans des récipients réservés à cet usage.
Pionnier de l’hygiène publique qui se battra encore pour instaurer la construction d’égouts dans toutes les villes.
Lorsque l’on découvrit que le choléra et la typhoïde se transmettaient par l’eau souillée et les matières fécales, l’adduction et les assainissements d’eau mirent fin aux épidémies sans avoir recours au moindre vaccin.
Comme tout le monde le sait, le bon état du système immunitaire permet de faire face, à conditions égales, aux mêmes maladies contractées par ceux au système immunitaire déficient.
C’est d’ailleurs par ce biais que la vaccination entend gérer la constance de sa consommation :
→ abaisser nos défenses immunitaires,
→ faire de nous des proies faciles pour d’autres maladies.
Une technique criminelle infiniment plus rentable que n’importe quelle association de malfaiteurs.
Par conséquent, conserver notre capital immunitaire tout en nous opposant à ces manipulations de mort, c’est aller dans le sens de la vie, à l’encontre des préjugés et de la désinformation.
A lire : Vaccinations : l’overdose, Sylvie Simon
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Merci Jean Baptiste pour cette lettre bien documentée. J’espère qu’elle fera bouger les gens, j’étais à la manifestation du 8 juillet concernant les 11 vaccins et il n’y avait pratiquement personne. Les gens ne bougent pas et se laissent faire ou pensent que les autres le feront à leur place : beaucoup préfèrent faire les soldes plutôt que de faire entendre leur voix. Notre corps nous appartient, et comme les médias sont incompétents à faire leur travail et sont de parti pris, il est de notre devoir, pour nos enfants, et si l’on partage cette opinion, de faire entendre notre… Lire la suite »
merci! j’ai regardé une video sur la manif du 8 juillet, tres interessant! des gens courageux! et plein d’infos! voilà le lien https://www.youtube.com/watch?v=V6JXmLpxL54 un autre site interessant http://www.suretevaccins.com et beaucoup d’autres cela fait plus de 25 ans que je m’informe sur les vaccins! suite à une chute du systeme immunitaire apres vaccination! toutes les infos sur les dangers des vaccins sont accessibles facilement pour ceux qui veulent s’informer vraiment!! et elles sont là depuis bien longtemps!! Mais peu s’y interessent, sauf s’ils sont touchés personnellement En effet le role des medias officiels est redoutable! aucune objectivité! aucun debat! au contraire… Lire la suite »
C’est tellement bien réel, l’état rend le peuple soumis, ou est la démocratie, la liberté de choix ect…beaucoup de gens croient tout ce que les gouvernements nous imposent, ils ont perdu leur pouvoir de réflexion et ce font dicter tout et n’importe quoi par méconnaissance ou par bourrage de crâne par les médias mais aussi les docteurs, les pédiatres…Il est temps d’ouvrir les yeux et aujourd’hui la priorité est à l’argent et non à notre santé.
[…] Les vaccins et la marchandisation de l’être humain: Les marchands de mort de la vaccination obligatoire et de la médecine de masse répondent en priorité à des intérêts commerciaux, dans lesquels l…Source […]
Merci !!
Remercienents et salutations
MERCI. COMMENT STOPPER CE PROCESSUS DE DESTRUCTION?
MERCI
Bravo et merci pour cette lettre, qui vient s’ajouter à celles de Santé Nature Innovation pour lancer des alertes contre la toute puissance implacable et sans scrupules de Big Pharma, appuyée par le pouvoir en place et relayée par la plupart des médias.
Merci
j’ai perdu ma soeur jumelle à l’age de 6 ans en 1946 suite à une complication de coqueluche et aujourd’hui elle serait encore vivante grace aux vaccins trouvés depuis.(le BCG par exemple)
Tout n’est pas négatif.
Lisez Vaccination, la grande désillusion, du Dr Suzanne Humphries, éd. Résurgence
Un livre parmi tant d’autre qui donne matière à penser et à réfléchir sur la fiabilité (efficacité et sureté) des vaccins. Il y a aussi Toxic Story du Pr Romain Gherardi…la liste est trop longue. Informez-vous, lisez, réfléchissez!
Merci!
Merci pour ce très bel article !!! <3
Je fais de mon mieux pour la Vie depuis que Claire Séverac
s'est invitée sur mon écran 😉 https://www.facebook.com/toutestpourlemieux/posts/162111351004646
Il faut peut-être rappeler que les vaccins sont tout aussi efficaces en intradermo et que les adjuvants ne transitent pas, dans ce cas, dans le sang ce qui est beaucoup moins dangereux.
Merci